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Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,7
23 titres de presse
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Entertainment weekly
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Critictoo
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Critictoo
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DailyMars
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DailyMars
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Los Angeles Times
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New York Times
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Paris Match
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Slate
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The A.V. Club
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The Hollywood Reporter
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Télé Loisirs
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Variety
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Washington Post
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Boston Herald
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Le Figaro
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Télérama
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Télérama
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20 Minutes
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20 Minutes
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Le Parisien
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New York Daily News
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Season One
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Entertainment weekly
La série aurait pu donner des leçons de morales, mais non, elle sonne très juste. Et dans l’ensemble, c’est une grande partie de plaisir.
Critictoo
Jane the Virgin a su allier au concept farfelu de la telenovela des situations davantage ancrées dans la réalité, notamment dans les rapports entretenus entre Jane (Gina Rodriguez) avec sa mère (Andrea Navado) et sa 'abuela' (Ivonne Coll).
Critictoo
Bien que le casting, porté par Gina Rodriguez (Golden Globe 2015 de la meilleure actrice dans une série comique), s’en sort honorablement, le charme fou de la série vient d’ailleurs. Elle arrive à créer un équilibre parfait entre respect des codes de la telenovela qu’elle parodie et dont elle tire son humour et traitement sérieux et crédible de ses personnages.
DailyMars
Jane the virgin n’est pas un plaidoyer pour la vie ou pour l’avortement. La série place la question sous l’angle de la comédie (…) Le mélange série dans la série, légèreté de la vie et absurdité de la situation en fait une vraie réussite.
DailyMars
Jane the Virgin n’est pas un plaidoyer pour la vie ou pour l’avortement. La série place la question sous l’angle de la comédie. Jane reste au centre de sa vie, au cœur de ses choix, et sans jugement. Sa mère, Xiomara, semble ainsi fantasque, ouvertement séductrice, et pourtant, elle est celle qui protège le plus les choix de sa fille. La série réussit alors un équilibre délicat entre comédie et sujet de société en filigrane.
Los Angeles Times
L’une des meilleures séries de la rentrée 2014. En tant qu’adepte de divertissements, je succombe !
New York Times
Jane The Virgin ne se distingue pas vraiment de ce qui a été fait dans le genre. Dans la lignée d’ et , qui mêlaient déjà fantaisie et malice, cette série met en scène une héroïne exquise propulsée dans des situations méchamment drôles.
Paris Match
La série est aussi une ode aux femmes fortes. Tous ses personnages féminins, des trois générations de la famille Villanueva aux plus anecdotiques, valent le détour. Comment ne pas tomber sous le charme de la pétillante Gina Rodriguez ?
Slate
La série ne se prend pas au sérieux, mais est sérieusement prête à devenir plus divertissante, plus sensible, plus clinquante et plus savoureuse que tout ce qu’on peut voir à la télévision.
The A.V. Club
La série trouve le juste équilibre, s’imposant tel un Ovni dans le paysage audiovisuel actuel. Par le choix judicieux de miser sur une héroïne très terre-à-terre et d’éviter l’approche auto-parodique, Jane the Virgin se révèle être une véritable bouffée d'air frais.
The Hollywood Reporter
Talentueuse, magnétique, sexy, et par-dessus tout très sympathique, Gina Rodriguez est le centre d’intérêt de la série, sans qui il serait difficile d'imaginer Jane The Virgin.
Télé Loisirs
Un petit bijou de comédie très maîtrisée, qui peut se regarder au second degré. L'actrice Gina Rodriguez apporte tout son charme et tout son énergie à cette fiction.
Variety
Malgré quelques aspects handicapants dans son point de départ, Jane the Virgin détient un ingrédient secret présent dans la plupart des récents soaps de la CW : son charme.
Washington Post
Jane the Virgin n’est pas une folle parodie de telenovela. C’est avant tout une dramédie amusante, remarquablement habile, avec d’incroyables performances d’acteurs, particulièrement celle de Gina Rodriguez.
Boston Herald
Une dramédie sur une grossesse imprévue ? La CW a le culot et la créativité de bien s’en sortir.
Le Figaro
Légère, drôle, folle, sucrée, cette adaptation américaine d’une telenovela vénézuélienne raconte l’histoire d’une jeune femme inséminée accidentellement. L’occasion d’un joyeux mélange des genres.
Télérama
Jane the Virgin n'est pas une parodie de telenovela. Son charme vient de son équilibre très 'méta' entre respect du genre (les émotions des personnages sont traitées le plus sérieusement possible) et recul amusé (…) un divertissement suffisamment neuf et enlevé pour un peu rafraîchir le paysage de la comédie romantique outre-Atlantique.
Télérama
Jane the Virgin n'est pas une parodie de telenovela. Son charme vient justement de son équilibre très "méta" entre respect du genre (les émotions des personnages sont traitées le plus sérieusement possible) et recul amusé. Un narrateur au fort accent mexicain raconte cette histoire-là non sans humour (qu'une voix-off soit la bienvenue dans une série est assez rare pour être signalé), et une mise en scène très pop et nerveuse multiplie les apartés clin d'oeil aux telenovelas.
20 Minutes
Il faut accepter d'avaler des couleuvres plus grosses les unes que les autres et être prêt à subir un triangle amoureux qui devrait durer au moins neuf mois. Pour les amateurs du genre uniquement.
20 Minutes
Rodriguez joue Jane avec ce qu'il faut de fraîcheur, et un charme latino renforcé par un narrateur à la Amélie Poulain. Pour le reste, il faut accepter d'avaler des couleuvres plus grosses les unes que les autres et être prêt à subir un triangle amoureux qui devrait durer au moins neuf mois.
Le Parisien
Résolument drôle, touchante et bien balancée, cette série nous prend par surprise.
New York Daily News
Calibrée en apparence à la façon des telenovelas, Jane the Virgin s’écarte pourtant du genre. Les pièces du puzzle ne se mettent pas toujours en place en douceur. Gina Rodriguez est formidable bien sûr. Et cela pourrait bien être la seule telenovela qui ne reste pas sur l’estomac !
Season One
Le pilote n’a strictement rien d’original. Tout ce que vous pensez qu’il va se passer s’y passe. Évidemment, Jane vit un conflit interne (normal en même temps). Évidemment le père du bébé veut le garder (normal aussi). Évidemment, le fiancé de la fille n’en veut pas (soit, ça aussi ça se comprend) (…) Il n’y a eu aucun effort de nuance.