The Fix

outre le fait que l'actrice principale Robin Tunney manque cruellement de charisme et de jeu convaincant, le scénario accumule les rebondissements extravagants à une vitesse vertigineuse, décrédibilisant un scénario déjà bien pauvre.Ajoutez à cela l'histoire inutile d'un harceleur pour faciliter 3 épisode de plus et on a finalement la sensation d’assister à une mauvaise sitcom . Vraiment dispensable..

Ça commence mal pour un pilote.

adebisi :) je voulais le dire mais je me suis dis que pas grand monde connaitrais :)mais sinon je sais pas, c'est le résumé qui dis n'importe quoi du coup? parce qu'il le définisse comme un serial killer, mais si il a juste tué sa femme ce n'en est pas un.... ou alors les mecs nous on spoiler un truc qu'on apprend que bien plus tard dans la série?

Désolé pour les fautes j’étais à l’ouest.

Le prends plus pour un Star Afro-américain qui est accusé d’avoir tué sa femme et sans sort, un procureur de la république femme qui s’est raté pour prouver la culpabilité de celui-ci, y’a même le mec qui squatte chez lui et à qui il demande de faire des trucs suspects pour le couvrir, oui y a des différences Kardashian bis à l’air badass et ils introduisent une possible récidive du mec donc une seconde chance pour le procureur un gros Come Back à l’Américain. Il a peut-être pas fait les deux mais vu la B-A il risque de ce faire prendre pour un truc. Oui très bon acteur dans lost mais cultes dans OZ 😁

si OJ était un serial killer, peut être, de loin :) et si le serial killer de la série est une star du sport... et si le procès était politique...en fait, plus j'y réfléchis, plus je trouve que le seul point commun est le tueur relaxé :) et le fait que ce soit un homme de couleur... enfin si le tueur est bien le monsieur eko de lost :)

L’affaire OJ ressuscité et remis au goût du jour.

Ce genre de série ne tiens que par deux choses : le scénario qui doit être en béton armé (ça dur de présager), et les acteurs qui doivent être charismatiques sans être caricaturaux, là ça s'annonce déjà raté.