Voila finie la Saison....C'était épique.
Clairement le must en terme d'action (notamment le masterpiece sur l'épisode 5 par Gareth Evans). Même dans nombre de films sortie au ciné, ils on du mal a proposer une telle maîtrise, c'est vous dire.
On a quand même un ptit relâchement avec l'épisode 6 et 7. Mais le reste est excellent. J'ai cependant deux reproche a faire a la série, dont le 1er est le plus important.
Si en terme d'action, la série balaie quasiment tout ce qu'on a vu a la tv (même si Banshee ou Stricke Back lui colle au fesse). Je trouve qu'il manque des perssonage charismatique et bien écrit dans la majorité des perso proposer.
Je prend Banshee, rien qu'Antony Starr illuminer le show, mais on avait des perso comme Proctor, Carrie, Emmett, Siobhan, et Saison 3 Kurt Bunker qui rien qu'en 1min de présence s'imposer déja.
Ici, mis a part le perso d'Elliot Finch (Sope Dirisu), et dans une moindre mesure Marian Wallace (Michelle Fairley), tout les autres perssonage manque affreusement de charisme, et de profondeur. Même Joe Cole (Sean), et trop crisper pour convaincre.
Du coup, j'ai traverser la série en étant peux ou pas dit tout attacher au perso (a part 1), et cela me poser problème, au vu du danger qui rode, et du massacre qui se joue a chaque épisode (quasiment). Ils sont assez froid, pourtant on a tout une galerie de perssonage qui était potentiellement intéressant.
La ou Evans avait su crée des perssonage iconique en 2h de temps, dans les The Raid (Mad Dogs, Hammer GIrl, Bat-Man), ici ils avait tout le temps de développer des caractère aussi taré, avec des perso bien frapper. C'est donc d'autant plus une déception quand on connait le Mr la dessus.
Et le second mauvais point (qui reste a relativiser), c'est le rythme de certains épisode, qui est souvent un peux long a se mettre en place...1h a chaque épisode, ça y fait beaucoup.
Cela reste une petite bombe tout au long de c'est 9 épisode proposer, et encore une fois, dans le genre action, notamment a la tv, c'est une des meilleur chose qu'on a eu depuis quelque année.
Monsieur Evans confirme sa virtuosité pour le genre, on en voudrait plus !