Avis Ares - Page 3

Une série qui nous plonge dans un univers fantastique sombre et mysterieux.
Le suspens est présent des le début et il le déroulement de l'histoire est majoritairement imprévisible!
Les personnages sont intéressants et surprenants.

La photographie est superbe!

A voir!

Premiers instants très accrocheurs. Esthétique intéressante, visuellement dans la recherche de la symétrie, du solennel à tous les étages.
C'était vraiment très prometteur. Et c'est bien le problème quand on vend du rêve et du lourd tout de suite, Il faut savoir garder de la cohérence. Passé le premier épisode c'est déception sur déception jusqu'à une fin sans queue ni tête...
A ce stade qu'ils fassent des clips, pas des séries.

spoiler: Ce que j'en ai compris? Marie-Rosa, en bas de l'échelle sociale, a besoin de reconnaissance au point de vendre son âme pour se créer un réseau dans l'élite en puissance dans son milieu jusqu'à vouloir les tuer tous sans rien en retirer parce qu'elle comprend soudain que ce sont de méchants blancs riches esclavagistes démoniaques... J'aimerais me tromper sur cette conclusion mais la scène du bateau dans le dernier épisode me fait dire qu'il y a un lien, même si le thème des inégalités raciales n'est pas clairement abordé jusqu'alors.

Assez surprise de voir autant de mauvaises critiques.
Malgré quelques incompréhensions et questions qui restent en suspens spoiler: (présence de cette vieille femme étrange, personnification du béal en deux personnages qui tirent des chaînes...
, la série a un bon rythme, une belle esthétique et mets en haleine au long des épisodes qui s'enchaînent facilement.
Interprétation de la fin: spoiler: Amsterdam s'est construit et s'est élevé grâce à beaucoup d'événements répréhensibles (esclavagismes, meurtres, guerres et conflits). Le Béal correspond à toutes la culpabilité des familles élitistes qu'ils déversent au fur et à mesure qu'ils prennent du pouvoir et de l'ampleur grâce à leurs méfaits. Ils craignent ce Beal mais ne cessent de le nourrir car celui ci leurs permet de continuer à prospérer sans culpabiliser. À la fin, Rosa qui est tiraillé tout le long de la série entre sa culpabilité et son ambition décide de se jeter dans le Béal et de confronter toutes personnes qui la croise face à leur propre culpabilité. La plupart s'enfuit effrayé et d'autres se suicident. Au vue des meurtres commis leur culpabilité les tues