Avis Glee - Page 8

Si la série a commencé en trombe en attaquant et en taillant un costard aux clichés états-uniens, elle met les pieds dans le plat sans hésiter et c'est ça qu'on aime. Les chansons et chorégraphies sont bonnes, les histoires des personnages variées et accrocheuses. Malheureusement, depuis la saison 3 on commence un peu à s'ennuyer et il est temps que ça se finisse.

J'aime Patrick Jane. Malgré tout ce qu'il a subi, il arrive encore à se lever le matin. Je l'admire pour ça et j'ai vraiment hâte de voir la prochaine saison.

Quelle série géniale ! Sans cesse à donner du baume au coeur avec ses chansons excellemment bien reproduites !
Certes , on retrouve les clichés des ados américains , mais ils sont bien réutilisés , et les personnages deviennent attachants , avec leurs qualités et leurs défauts. En plus, cette série a été plusieurs fois récompensée , preuve que tout le monde ne la déteste pas.
A suivre pour l'année prochaine !

C'est le pied intégral ! Je suis une grande fan de comédies musicales en générale, le concept ne pouvait donc que me plaire, mais en plus je trouve à cette série un humour irrésistible. Sous ses airs lisses et clichés, Glee a quelque chose d'un peu subversif, ironique et insolent que j'adore. Les personnages ont tous une profondeur que l'on découvre au fur et à mesure des épisodes. Et, last but not least : le choix des chansons et leur interprétation sont parfaits !

Je n'en suis qu'au troisième épisode de la saison 1 et pour l'instant je dois dire que j'aime assez. A suivre...

5 étoiles pour une saison un qui m'a soufflé surtout qu'au départ je déteste les comédie musicales! Les personnages sont attachants et les musiques bien choisies. Attention cependant je trouve que la saison 2 se perd un peu dans des intrigues peu intéressantes.

GLEE apporte un vent de fraîcheur rare sur les networks américains.
Loin des séries policières et médicales, les aventures de la chorale permettent de se détendre réellement et de bien rire.
On peut être dubitatif de prime abord vis à vis de la part des chansons dans la série mais elles gardent en majorité une raison au delà de la simple prestation scénique. Seul bémol, les sous titres français ne sont pas toujours présent alors que la compréhension des chansons est assez primordiale.

Glee est une série assez moyenne de Ryan Murphy, Brad Falchuk et Ian Brennan (II). Le concept de base n’a rien d’original et la série ne réussit pas à intéresser le spectateur. L’humour est trop superficiel et ne fonctionne pas, les histoires n’intéressent pas et pour finir, les acteurs comme Matthew Morrison, Kevin McHale ou encore Lea Michele sont juste passables dans leurs rôles. Bref, à éviter.

Si vous aimez les séries musicales je conseillerais de loin "Britannia High". Alors "Glee" c'est du propre sur soi, des chorégraphies peu élaborées, des musiques qui s'améliorent, des guest-stars nombreuses (vive NPH et Joss Whedon !) bref l'ensemble demande encore pas mal de répétition. Ensuite on dit que Finn est le petit prodige question voix et présence, alors là faut me le montrer son talent oO. De même que Rachel, à part sa voix nasillarde et sa justesse je ne sais pas ce qu'on lui trouve. Après bon, je préfère Quinn Fabray, mais elle ne chante pas beaucoup et c'est dommage... Par contre c'est un beau petit panel de gens divers qu'on a dans les personnages secondaires ^^ et Jane Lynch est vraiment cool ^^.
Vivement la saison 2 ^^.

Peut importe la journée que l'on a passé, un épisode de Glee (voir plusieurs d'affilée lorsque l'on a le temps) donne la pêche et nous met toujours de bonne humeur. Je n'en suis qu'à l'episode 15 de la saison 2 et je suis déjà accro, faites que la saison 3 soit vite complètement tournée!

une série pour tout les ages ! la preuve j'ai 30 ans et je suis fan !.
Il est vrai que parfois c'est un peu gnangnan mais au bout du compte on en deviens accros !!!
j'ai déjà commencer la saison 4 et j’espère bien qu'il y en aura une cinquième ;-)

Vous aimez High School Musical, Hannah Montana et les Jonas? Alors cette série n’est absolument pas faite pour vous. Fuyez vers vos immondes productions Disney gentilles où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il est heureux. Il y en a marre de ces conneries que l’on fait subir aux gosses. Contrairement à toutes ces ringardises irregardables, Glee se trouve être un excellent remède contre les comédies musicales où tout est parfait. Des créateurs de Nip/Tuck, on pouvait se demander quel délire ils allaient nous concocter. En fait, c’est moins trash que je ne le pensais. Dans le Glee Club, le groupe de musique dans le lycée, on trouve de tout : une fille assez forte, une autre assez laide, une qui est enceinte, un gars dans une chaise roulante, un homosexuel, … Bref, c’est l’anti-Disney. En effet, chez Disney, on ne trouve que des beaux gosses avec un sourire d’ange et une coiffure parfaite, sans un seul épi. Ce n’est pas dans High School Musical que l’on verrait un homosexuel, ni dans Hannah Montana que l’on verrait une fille forte. Non, chez Disney, on est parfait, et on dénigre les gens qui ne le sont pas. En fait, je critique certaines productions Disney, pas toutes, car j’ai grandi avec les dessins animés. Mais je dois dire que la machine à bien changé depuis quelques années. Voilà, j’applaudis Glee de ne pas être comme Disney, mais à part ça, cette série en vaut-elle la peine ? Réponse : OUI, absolument. Tout d’abord, certains personnages sont incroyables. Jane Lynch, qui incarne la prof de gym Sue Sylvester, est une dingue. Ce personnage est terrible. Elle mériterait des tonnes de récompenses dans le registre meilleur personnage dans une série télé. Ensuite, même si les jeunes acteurs ne sont pas très bons dans leur jeu, on ne peut qu’applaudir leur talent de chanteurs. Ils chantent extrêmement bien. Pourquoi je ne sais pas chanter comme eux ?! Et puis, Glee, c’est aussi faire revivre certaines chansons qui ont marquée leur époque, mais qui malheureusement ont été oubliées avec les années. C’est ainsi que ‘Don’t Stop Believing’, du groupe Journey, fait un revival grâce à Glee. Même les chansons ou les artistes que je n’apprécie guère arrivent à attirer mon attention. Par exemple, dans la prmeière saison, il y a un épisode spécial Lady Gaga. Moi qui déteste cette ‘chanteuse’, je m’attendais au pire. Eh ben non, cet épisode était juste excellent. Bref, Glee est la meilleure série télévisée musicale du moment.

J'ai toujours aimé Glee, mais c'est vrai qu'après la saison 2, les intrigues se sont éssouflées. Mais dès le début de la saison 4, on sent de la remotivation de l'équipe, le Show redevient intense et les chansons prenantes. Dépassant même la saison 1, à faire frissonner.
Ma série préférée de loin.

Très bonne surprise que fut la découverte de cette série. J'avais un peu peur que la série soit trop "adolescente", et sous quelques aspects, elle l'est, mais l'énergie et l'originalité de la série rattrapent cela facilement. Heureusement qu'il y a quelques histoires "adultes", car leurs histoires d'ados nous ennuient facilement. Le problème est qu'une grosse partie de la série tourne autour de Rachel et Finn, qui sont pour moi les personnages les plus agaçants de la série. J'espère que par la suite, les histoires des autres ados de la série seront plus développées. En tout cas, Sue me fait bien rire !

La série phénomène aux Etats-Unis, voilà ce qu'est Glee, la dernière création de Ryan Murphy, qu'on avait quitté avec la corrosive Nip/Tuck. Ici, retour à une série plus sage, mais pas lisse pour autant.

Avec un regard extérieur froid et cynique, Glee a tout de la niaiserie fadasse pétrie de sentimentalisme type "High School Musical". Et sur bien des aspects, Glee irrite. Les acteurs ne sont pas tous géniaux, surtout les principaux. Lea Michelle tape plus sur les nerfs qu'autre chose, ce qui en soi ne devrait pas être une mauvaise chose, sauf que son omniprésence éclipse malencontreusement le reste du casting féminin, pourtant de haute volée. Quand on fait une série sur une chorale avec une dimension forcément chorale, les personnages principaux doivent aussi apprendre à s'effacer de temps en temps. Malgré sa belle gueule et son atout vocal, Corey Montheit a un peu de mal avec les expressions faciales. Qui plus est, la série dans sa structure (celle des leçons de vie, où la musique sert d'illustration à un grand principe de l'existence) a le malencontreux défaut d'être parfois répétitive, ce qui est fâcheux sur une seule saison, la première qui plus est. On peut aussi pester sur la manière dont sont recyclées les chansons : tout y est propre, remixé, voire sur-remixé, et imposé en playback, ce qui peut irriter les amateurs de performances live, qui auront l'impression de se retrouver devant des reprises sans âme.

Mais en dépit de tous ses défauts, Glee est une série merveilleuse, parce qu'elle ne ressemble à aucune autre. Certes la plupart des personnages sont des clichés, dont l'existence ne se définit que par quelques traits de caractère. Mais conscient du caractère volontairement cliché de ses héros, Murphy amplifie lesdits clichés et en profite pour brocarder la toute puissante étiquette qui sévit dans les années lycée. Et c'est cette guerre entre clichés qui fait le sel de cette série, car tout y sonne vrai. Oui le lycée est une période où l'apparence, l'appartenance à une catégorie sociale ou à un club en particulier peuvent conditionner beaucoup de choses. Cette superficialité volontaire nourrit un petit théâtre de la cruauté assez jouissive, où les puissants se complaisent à outrance dans leur médiocrité.

Et là où les héros deviennent attachants comme toujours, c'est quand ils arrivent aux marges de leur propre cliché. C'est pourquoi une Lea Michelle n'est que rarement attachante, car elle reste toujours ancrée dans son propre cliché, son personnage n'évolue que trop peu, et apparait comme trop artificiel à un âge où la personnalité évolue plus vite qu'à n'importe quel autre. Glee devient savoureuse quand ses héros perdent les pédales, le contrôle de leur propre façade et apparaissent, l'espace d'un instant comme des individus, parce qu'à ce moment-là, Glee touche au réel. A travers le trouble identitaire et sexuel de Kurt, les névroses d'Arty, la déchéance de Quinn, les coups tordus de Terri (dont l'intrigue savoureuse est un coup de pied dans la fourmillière du consensuel), l'indécision de Puck, l'incapacité de Mercedes à s'imposer au sein même de la chorale, Glee dresse une galerie de portraits dans l'ensemble assez touchants, et qui sonnent juste. A ce titre-là, le personnage qui tire le plus son épingle du jeu est évidemment la réjouissante Sue Sylvester, coach vacharde ne vivant que pour la compétition, vouant une haine viscérale à Schuester, sa coiffure et aux losers du Glee Club. Campée par la formidable Jane Lynch, Sue est sans doute le personnage le plus névrotique, le plus jouissif et le plus touchant de Glee, ce qui a valu à son interprète un Emmy plus que mérité.

Mais évidemment, comment parler de Glee sans parler des numéros! Fidèle en cela à l'esprit du musical à l'américaine, très typé Broadway, Glee aligne une série de performances assez époustouflantes, qui clotûrent en plus la majorité des épisodes. Dans ces moments-là, Glee tutoie la grâce, que ce soit dans une reprise poignante du Keep Holding On d'Avril Lavigne, prétexte à une allusion sur les indécisions du coeur et la difficulté de l'engagement ; dans un mash-up inspiré et débordant d'énergie d'It's My Life de Bon Jovi et de Confessions (Part II) d'Usher, ou encore dans le tout premier numéro de la série, qui sublime de manière ahurissante Rehab d'Amy Winehouse, qui atteint une perfection visuelle, chorégraphique et mélodique qui force le respect. Les numéros musicaux, parfois spectaculaires, parfois d'une réelle sobriété, ne sont jamais des coups d'esbrouffe, ce sont avant tout des numéros d'artistes qui impressionnent, qui nous marquent profondément, et là est la réussite majeure de Glee.

D'une incroyable modernité, d'une diversité désinvolte assez réjouissante (alternant les artistes pop les plus hype et les morceaux parfois d'une ringardise extrême), Glee est une série colorée, survitaminée et positive, qui dépoussière le genre de manière jubilatoire. A ne manquer sous aucun prétexte.