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    House of Cards
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    90 critiques spectateurs

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    NarnoNarno
    NarnoNarno

    25 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2020
    Voici donc les coulisses de Washington, et c'est peu dire si elles sont bien encombrées, malsaines et peu recommandables. Et ceux qui les fréquentent ont les dents bien longues et acérées, les ambitions bien prometteuses mais incertaines, une hargne sans pareil et des méthodes toutes sauf orthodoxes. Cette première saison de "House of Cards" pose tout suite le ton: spoiler: la Maison Blanche domine un océan peuplé de requins dont la vie est en sursis à la moindre faiblesse. Cette série est un monument de cynisme, de manigances et de tactiques politiques où le règne réside dans les mains du plus fort et du plus perfide.
    Tout sonne vrai, et ça donne froid dans le dos. L'ombre de D.Fincher se reflète dans la réalisation feutrée et millimétrée, qui n'entame en rien dans la mise en scène d'un scénario bien alambiqué et retors. "House of Cards" a également un duo d'acteurs et de personnages qui rafle la mise: K.Spacey monumental et R.Wright sublimement charismatique. Très prometteur pour la suite, ce premier opus est un ravissement d'impudence, aussi réaliste que flippant.
    julien2222
    julien2222

    26 abonnés 1 223 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    C'est extrêmement bien écrit et si le scénario est tiré ou inspiré de personnages ou de faits réels, ça fais froid dans le dos ! Série très rusée ! Kevin Spacey et Robin Wright sont exceptionnels !
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 138 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 septembre 2014
    David Fincher, Kevin Spacey, politique et coups durs... Il ne m’en fallait pas plus pour susciter mon intérêt, surtout que les bonnes surprises ont su suivre très rapidement. Première bonne surprise, ce ton très particulier qu’adopte la série. Le personnage de Kevin Spacey s’adresse souvent face caméra aux spectateurs, comme pour les mettre dans la confidence. Cela nous confère le rôle de ceux qui ont enfin accès à l’arrière de la scène, et il faut avouer que c’est assez jouissif car cela donne forcément accès à une double lecture pour chaque scène. Cette astuce fonctionne d’autant mieux que l’écriture est excellente, très crédible, et que Kevin Spacey a vraiment l’épaisseur qu’il faut pour incarner ce personnage remarquable d'ambiguïté (...parce que oui, je trouve que la série donne suffisamment d’éléments pour qu’on le perçoive autrement que comme un salaud.. Moi je trouve qu’il nous est plutôt présenté comme un lucide désabusé qui connait les règles du jeu). Autre bonne surprise aussi, la présence de Robin Wright. Elle m’avait déjà scotché dans « le Congrès » (qui n’est pas un film politique contrairement à ce que le titre laisserait penser) et qui incarne là aussi un personnage remarquable d'ambiguïté. C’est un magnifique pendant féminin qui m’apparait indispensable à la série et à son enrichissement. Mais bon, franchement, ce qui est aussi pour moi la pierre angulaire de cette saison, c’est son final. Alors que la série était déjà très bonne avant les deux derniers épisodes, le final lui donne une dimension absolument dantesque. Là franchement, il y a du bon. Espérons que l’ami Fincher sache enchaîner...
    Bastien Quéreillahc
    Bastien Quéreillahc

    2 abonnés 164 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2022
    Idée intéressante, mais ensemble glauque et malsain. Difficile de tenir la distance de l'ensemble. Je m'arrête à la saison 1.
    Yalfy
    Yalfy

    90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2021
    Excellente série digne de Shakespeare et dérangeante avec son spoiler: chantage sexuel
    .Kevin Spacey est plus vrai que nature, vraiment machiavélique au sens politique.La série ne donne pas envie d' être politicien spoiler:
    spoiler:
    tt bb
    tt bb

    5 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 janvier 2023
    J'ai plutôt bien accroché dès le 1er épisode à la série (je me suis arrêté à l'épisode 11 de la 1ere saison).
    Mais j'ai vite déchanté quand, au fil des épisodes, je me suis rendu compte que la méchanceté des personnages principaux n'allaient pas en s'améliorant.
    Je ne suis pas capable de prendre du plaisir à regarder des personnages aussi odieux, manipulateurs et machiavéliques. Le tout sans une once de compassion, de regrets ni conscience morale.
    L'épisode 11 a été la goutte d'eau. Je sais déjà pas comment j'ai fait pour tenir jusque là. Peut-être une petite espérance au fond de moi que les personnages seraient plus humains...et c'est l'inverse qui s'est produit...
    Dans le même genre de serie, j'ai beaucoup aimé Designated Survivor. Dans cette série, le héros de l'histoire est tout bonnement l'opposé de Franck Underwood.
    Kana57
    Kana57

    31 abonnés 892 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 janvier 2014
    Quel Ennui Regarder 3 episodes et ca ma suffit,pas parce que les acteurs sont mauvais NON mais c'est tout simplement pas mon genre la politique retranscris en films ou série car c'est mou du genou sa manque de rythme et sa parle vraiment pour rien dire pour combler et meubler
    La narcolepsie quel fléau
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 août 2013
    Jouissif !

    Voici le maître mot de cette série. J'ai eu tout de suite envie de regarder la série car voir Kevin Spacey avoir le rôle principale d'une série mettant en scène le pouvoir et la vendetta est une super idée !!
    Le résultat est vraiment très surprenant.
    L'alchimie prend tout de suite. Les dialogues sont excellents, l'histoire très bonne, à la fois simple mais en même temps très complexe. Les personnages secondaires font partie intégrante de la série et ça aussi c'est une bonne nouvelle !

    Mais la petite chose qui fait toute la différence c'est de voir à plusieurs moments dans les épisodes Kevin Spacey s'adresser directement aux téléspectateurs (alors même qu'il est en train de prononcer un discours par exemple). Ce mode de communication direct avec le publique est totalement jouissif !!!
    On ne peu s’empêcher que d’idolâtrer le personnage principale Frank Underwood.
    Après un épisode on a qu'une seul envie c'est de goûter à ce pouvoir ! Une série m'a rarement autant motiver a en voir plus !

    Pour vous que ça dure ...
    adrien67
    adrien67

    38 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 avril 2014
    Je cherche à travers les critiques les raisons qui placent cette série au top... mais rien ne me convainc. "scénario machiavélique" ? je pense avoir vu bien mieux par ailleurs (en films ou séries) et David Fincher cherche surtout ici à compliquer le scénario pour nous alourdir l'esprit... Comme si la politique fonctionnait réellement ainsi... Les personnages ? entre l'épouse sans éthique, la pseudo reporter incarnée par une gamine de 15 ans et un jeune et faible politicien camé, seul le personnage de Kévin Spacey, il faut le reconnaître, en impose. Par ailleurs, la relation avec la journaliste est malsaine (il pourrait être son grand-père...) et vient de nulle part.
    Cette série tourne trop autour d'une succession de magouilles et de "blabla" pour que je puisse accrocher. D'ailleurs sur les 6 épisodes que j'ai regardés, j'avais oublié 90% de l'histoire au démarrage de l'épisode suivant... J'ai évidemment regardé en VO sous-titrée, mais avec une série comme ça on passe son temps sur les lignes de ss-titres! (pourtant mon anglais n'est pas mauvais) Bref, un série sans intérêt, que j'arrête avant de me rendormir une nouvelle fois devant.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    186 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2014
    Fondamentalement, en dehors de son mode de diffusion inédit - le Net au lieu de la télé, et tous les épisodes d'un coup, assez curieusement -, "House of Cards" respecte à la lettre les règles des meilleures séries modernes : un personnage principal a priori haïssable mais fascinant, un casting d'acteurs exceptionnels (Spacey et Wright, tous deux parfaits) et une réalisation "cinématographique" haut de gamme garantie par la signature de David Fincher sur les deux premiers épisodes, les meilleurs, tout simplement époustouflants. Difficile donc de faire la fine bouche devant le résultat, addictif et de très haute volée. Ce qui empêche "House of Cards" d'atteindre le niveau de "Breaking Bad" (son principal concurrent de l'année), ce sont quelques scories au niveau du scénario, qui dérape parfois franchement vers l'invraisemblable, sans que l'on comprenne bien pourquoi alors que le "plot" tient si bien la route... Et puis le fait que, quelque part, en se centrant sur les luttes (de pouvoir...) internes du Parti Démocrate, et en faisant l'impasse sur l'affrontement avec les Républicains autour de vraies questions de société, la série est finalement tout (un thriller, le portrait d'êtres monstrueux,...) sauf une vraie série politique... Ce qui prouve que, au delà des ambitions artistiques de ses producteurs, ces derniers ont clairement souhaité se cantonner au domaine bien "safe" de l'entertainment. C'est là une réserve non négligeable, mais il faut néanmoins avouer que le plaisir que nous prenons devant "House of Cards" est aussi raffiné qu'intense.
    kal-el 02
    kal-el 02

    96 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 janvier 2015
    Bon, pour une série sur un sujet aussi "sérieux", il fallait bien un Kévin Spacey. Grande réussite sous une direction experte de Fincher (sur 3-4 premiers épisodes seulement),et aussi joel shumacher . accompagné d'une très très bonne prestation de la belle Robin Wright qui semble être comme le bon vin, elle se bonifie avec le temps. Et aussi la belle kate mara qui monte grace a cette serie .Intelligemment "tournée" puisqu'à chaque gros probleme, un nouveau réalisateur entre en jeu... (Fincher, Schumacher...) assure une qualité à cette série qui n'est pas sans rappeler l'excellente et cultissime série morte-née que fut Profit en son temps. Le principe reste le même, une histoire du comment et pourquoi, parvenir tout en haut du sommet... Une série intelligente, des acteurs très bon...on attends avec impatience la suite !
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 décembre 2013
    Depuis le succès de West Wing, les coulisses du pouvoir politique est devenu un thème très prisé dans les séries télé américaines, c’est bien pourquoi voir la série britannique House of Cards se faire adapter outre-Atlantique par Beau Willimon (qui avait déjà abordé le sujet en rédigeant le scénario des Marches du pouvoir) avec le soutien financier de notamment David Fincher (qui d’ailleurs signe les deux premiers épisodes) n’est pas une surprise. Le personnage de Franck Underwood, ce député en pleine quête de vengeance, qu’incarne majestueusement Kevin Spacey et ses manipulations machiavéliques, aussi bien dans les plus hautes sphères de l’Etat qu’au sein de sa propre vie de couple, sont d’une telle cruauté que ses jeux d’influence illustrent à merveille la déchéance morale du microcosme politico-médiatique américain. Même si la complexité de certaines de ces manœuvres complotistes, faites de corruption, de mensonges, de chantages mais aussi de coucheries, fait que certains épisodes soient essentiellement composés de longs dialogues et perdent ainsi en intensité dramatique, l’ensemble reste d’une telle intelligence dans son écriture et d’une telle maitrise dans sa mise en scène qu’il enn fait une des séries les plus addictives de cette année 2013.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2014
    Remake d'une série anglaise de 1990 que je n'ai pas encore vu (mais cela ne saurait tarder !!!), "House of cards", série politique dans les coulisses du Capitole, un personnage sans le moindre scrupule... non pardon deux personnages sans le moindre scrupule, Kevin Spacey et Robin Wright dans les rôles principaux, David Fincher à la production, il faut vraiment y mettre de la mauvaise volonté pour ne pas saliver d'avance...
    Ce qui contraste fortement avec les autres séries politiques ce sont les références à Shakespeare. Kevin Spacey joue un véritable Richard III, Robin Wright une véritable Lady Macbeth, et aussi le fait que le protagoniste n'hésite pas à s'adresser directement au spectateur face caméra (enfin il faut signaler que le même procédé est utilisé dans l'original !!!), soliloques qui rappellent aussi le théâtre.
    Avec toute cette combinaison d'idées et de talents, dans laquelle on peut inclure aussi des très bons seconds rôles, dont la très charmante Kate Mara (la soeur de la non moins charmante et très talentueuse Rooney !!!), un générique de début avec vues accélérées de Washington et musique qui met très bien dans l'ambiance, et le style Fincher dans la réalisation, la manière dont il dirige la gestuelle de Robin Wright est excellente.
    J'ai quelques réserves malgré tout. Que le personnage joué par Spacey soit un manipulateur hors pair je veux bien mais on peut parfois s'étonner que les autres personnages n'essayent pas mieux d'échapper à son contrôle, la révélation du coup de la brique dans un épisode on la voit à des kilomètres, et l'épisode 8 (je crois que c'est celui-là, si je me trompe désolé !!!) où on revient sur le passé du protagoniste dans le but certainement de le rendre plus humain et plus proche est totalement inutile car quand on suit une crapule dans la moindre de ses actions on finit inévitablement par ressentir de l'empathie pour lui.
    Reste que "House of cards" dans sa globalité est une série assez prenante... En tous les cas suffisamment pour que la saison 1 donne envie de se plonger dans la saison 2 qui s'annonce encore plus noire.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Une série événement à plusieurs titres.
    Très gros budget, mise en chantier par le réseau payant NetFlix, House of Cards est la première salve d'une révolution en cours dans le onde de la fiction télévisée. Les grands networks se font déjà tailler des croupières par les chaînes cablées ("The walking dead" chez AMC et bien sûr "Game of Thrones" chez HBO) que de nouveaux acteurs tentent de se faire une place sur le marché de la série adulte et classieuse, en mettent à disposition en téléchargement TOUS les épisodes de la série le même jour. Et quel projet : 100 millions de dollars de budget pour une saison, portée par un immense acteur (Kevin Spacey) et dont les deux premiers épisodes ont été confiés au metteur en scène le plus hype du marché (David Fincher).

    Et la série dans tout ça ? Efficace, indéniablement, mais un poil décevante. Car derrière le vernis classe du produit packagé "adulte", "House of Cards" reste quand même une série grand public, qui ne chasse pas sur les terres de l'excellente artistique et de l'exigence d'œuvres comme "Breaking Bad", "Mad Men" et bien sûr "The Wire".

    Washington DC, le cœur de la démocratie américaine, lieu de bataille permanente entre une Maison Blanche et un Congrès nouvellement élus. Au milieu de ce cirque républicain, Franck Underwood est sensé mettre de l'huile dans les rouages...mais passe beaucoup plus de temps à s'occuper de sa carrière et à saboter les initiatives de ses amis politiques.
    Les branches exécutives et législatives intéressent décidemment beaucoup la télé en ce moment. Quelques mois après "Veep" et son angle clownesque, "House of Cards" a choisi celui du cynisme et du tragique, teinté d'un humour grinçant. D'où un Kevin Spacey qui s'adresse régulièrement à la caméra pour sous-titrer les coups tordus et les basses intrigues politiques auxquels il nous convie.

    Des aventures politiques habituelles à Washington : trafic d'influence, arbitrages budgétaires orientés et coups de billards à cinq bandes pour récupérer les postes les plus en vue. Sans oublier les deux grands classiques de ce type d'administration : la place centrale de l'argent des lobbyistes et les scandales toxico-sexuels de quelques élus dépravés. On n'oublie pas non plus la presse, à qui notre héros donne la becquée de manière calculée pour que le flux d'infos soit en cohérence avec ses plans machiavéliques.

    Un grand barnum de la médiocrité humaine toujours réjouissant à observer, surtout quand la partie d'échecs appuie là où le bat blesse : la place invisible du Vice-président, le rapport compliqué d'un député avec sa circonscription, la place de l'argent dans la vie politique. Le problème, c'est que le scénario pourtant assez dense se réserve régulièrement de très grandes facilités, et des twists dramatiques capilotractés. Même facilité du côté des personnages, assez monolithiques et peu nuancés, en tous cas pas assez pour surprendre. Des députés lâches, des syndicalistes jusque-boutistes, des lobbyistes fourbres, des journalistes à l'éthique hasardeuse, une majorité turbulente : tout est finalement assez convenu.

    Seul le couple formé par Kevin Spacey et Robin Wright y échappe. Fascinant, repoussant, intriguant, ce pas de deux apporte beaucoup de noirceur et de nuance à un ensemble un peu trop bien huilé par ailleurs.

    Grâce au talent unique de Kevin Spacey pour jouer la canaille manipulatrice, grâce aux gros moyens mis sur la table et grâce à son sujet passionnant, la série reste extrêmement efficace, et suffisamment divertissante pour attendre avec confiance une deuxième saison. Qu'on peut quand même espérer un niveau au dessus.
    Pastel P
    Pastel P

    11 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 septembre 2013
    Franchement je trouve cette série SANS INTERET !!!
    magouilles et autres, c'est de la téléralité...
    Bref, moi je déconseille. ON S'ENNUIE à mourrir...j'ai arrêté à l'épisode 7
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