Avis Powers

Adaptation en série télé d'une BD, Powers relate avec un manque de panache indéniable les tribulations d'un ancien super-héros devenu flics après avoir perdu ses pouvoirs. Tête d'affiche de la brigade anti-puissants de la police de Los Angeles, il est précédé de sa réputation en tant qu'ancien "Puissant" au nom de scène évocateur : Diamond. Autour de lui, bien d'autres puissants, amis, ennemis ou aux relations floues s'agitent pour contrer un certain Wolff. On navigue alors entre passé et présent, on découvre les personnages avec un manque flagrant de consistance. Powers fait preuve d'un potentiel certains en recyclant à la manière d'un Watchmen le mythe des supers-héros dans une société où ils sont établis depuis bien longtemps. Le récit soulève malheureusement des questions intéressantes mais il le fait avec tellement peu de subtilité et d'intelligence qu'on y reste totalement hermétique. Ajoutez le peu de charisme des acteurs, le sentiment de vide qui s'étale sur 10 épisodes dans une première saison bien creuse, des effets spéciaux "back in the days" et vous restez dubitatif au fait d'en enchaîner 10 autres dans le seconde et dernière saison. La série était initialement prévue pour 4 années mais cette mouture licenciée "Playstation" ne passera malheureusement pas son deuxième round. Et sachant cette annulation, il est bien difficile d'accepter le supplice, à moins bien sûr qu'on soit porté masques en cuir et talons aiguilles et qu'on cède au twist du dernier épisode.

La saison 1 est parfois difficile à suivre, c' est vrai, il faut bien l' admettre, les costumes semblent ringards, les effets spéciaux sont parfois ridicules et l' histoire peut sembler longue à s' installer mais moi j' ai bien accroché et j' ai été franchement séduite par la saison 2.
J' espère qu 'il y aura une saison 3 car le final de la S2 laisse présager une nouvelle intrigue très intéressante.

Critique des trois premiers épisodes :

Powers est une série bizarre. C’est moche, mal réalisé et le support technique est catastrophique (coupures réseaux, application gratuite planquée), mais bizarrement, je l’aime bien. Il faut dire que les acteurs ne sont pas mauvais et l’intrigue donne globalement envie d’en découvrir plus, sans compter sur un univers solide, même si peu original.

Cette série est comme la vie avec ton ex, pleine de promesses et finalement plate et sans saveur. Rupture / 20.

Bonjour powers est une super série j'ai trop kif mon mariée et moi sommes un peux déçu que il ni a pas de saison 3 car la saison 1 et super et la saison 2 on accroche à font

C'est simplement la série la plus ambitieuse sur les super-héros. On est entre Watchmen et Heroes, enregistrement des pouvoirs, acceptation des héros, brigade des puissants, prison fédéral pour puissants agence de recrutement des puissants pour en faire des héros, une société ou les pouvoirs sont acceptés, les bases de l'univers de la série sont vraiment différent de ce qu'on à l'habitude de voir dans les série habituel de superhero. Le coté sombre et violent est aussi appréciable, il contraste avec les costume kitsch façon années 80/90. Le scénario est confus pour le moment, mais je laisse sa chance à cette série car j'attendais ça depuis longtemps.
Rien que pour voir un scénario de Brian Michael Bendis porté à l'écran, ça vaut le cout

Cette série était l'occasion de voir le mythe du super-héros américain sous un nouveau jour, en plus avec l'arrivée des séries produites par des médias internet (ici, la boutique PlayStation), pouvant être capable de mettre au monde des séries originales et ambitieuses à l'image des chaînes du câble comme AMC ou HBO.
Mais non, on se coltine une série B fauchée à deux doigts d'un sentaï, tant la production semble être au bord de la cessation de paiement.
On nage en plein nanar, entre des costumes mal fait, des décors loués une journée, d'où des plans identiques dans chaque épisode, un parking abandonné pour figurer la prison des Powers, des figurants filmés en boîte de nuit comme dans un reportage France3.
Tout suinte la médiocrité, la facilité et la fainéantise des auteurs. Car si un certain Peter Jackson était capable d'en mettre plein la vue avec des courts-métrages, le réalisateur ne sait pas filmer, installer les personnages ou l'intrigue, transmettre la moindre émotion aux spectateurs.
Idem pour le scénario, à la fois linéaire et bordélique, plat et dénué de tout enjeu, comme un vulgaire feuilleton de dimanche après-midi.
Seul point positif de la série son casting. Même s'il n'y a pas de stars hollywoodiennes, il y a quand même quelques acteurs habitués aux rôles secondaires qui sont bons et savent jouer, même avec peu de moyens : on pense à Sharlto Copley, acteur fétiche de Neill Blomkamp, à l'éternel second rôle Eddie Izzard ou encore à Noah Taylor, connu par les fans de Game of Thrones pour son rôle de Locke.
On comprend, au vu du résultat, qu'aucun chaîne américaine n'ai produite le show.

Possible bonne série en devenir, elle s'améliore nettement à partir de l'épisode 4. La mise en place a été douloureuse, et elle n'est pas bien servi par des effets spéciaux qui font un peu tache en 2015 (mais dans le fond, on s'en fou un peu, c'est pas le centre de la série). Le jeu des acteurs n'est pas égal, certain cherchant encore comment incarner leurs personnages je suppose (bien : Sharlto Copley et Noah Taylor; moins bien : Susan Heyward qui en fait trop). Le scénario commence à se stabiliser à partir de l'épisode 4 et franchement la trame à l'air rafraîchissante. En espérant qu'on ne tombe pas, comme dans trop de série, dans une suite sans fin de rebondissement qui n'ont pas de valeur ... "artistique" mais qui sont là uniquement pour prolonger la série.
Je surnote un poil je pense, en signe d'encouragement et parce que après la déception Shield (et le fait que ni Arrow ni Flash ne m'a convaincu), cette série sur le thème des super héros est enfin sympathique et s'éloigne de ce qui se fait au cinéma.
Et c'est là je pense le bon côté de Powers (pour le moment), traiter du sujet des supers héros, de façon complètement différente de ce qui se fait au cinéma sans pour autant (et encore une fois pour le moment) reprendre exactement les codes d'autres genre (salut Shield et les séries policières/espionnages).

Est-ce une blague ? Cette critique ne se base pas sur le comics que je ne lis pas, bien trop pris par d'autres.

3 premiers épisodes qui doivent poser des bases, et à la fin de ces 3 épisodes nous n'avons aucune base ! C'est mal filmé, les FX sont moches, les acteurs mauvais (même Sharlto Copley pourtant intéressant dans District 9 et Elysium), l'histoire est mal amenée et le scénario semble bien mal maîtrisé. Le tournage de cette série fut stoppé en 2012 car deux acteurs avaient quitté la série, peut-être pas pour rien vu la piètre qualité de cette dernière. Les costumes sont d'un ridicule rarement atteint, on replonge en plein dans les années 80-90. C'est franchement dommage car le scénario de base a du potentiel mais il est inexploité et la production nous sert une série sans queue ni tête qui coulera certainement très rapidement.

La nouveauté de la série est de suivre un superhéros déchu - il n'a plus ses pouvoirs - et de le voir se débrouiller dans un quotidien qui s'est "normalisé" pour lui. Évidemment, pour que la série fonctionne, ce personnage va continuer à vivre des choses extraordinaires mais contrairement à un Oliver Queen (Arrow) super-entraîné ou à un Batman super-équipé, il ne pourra pas y répondre d'une façon surhumaine.

D'où l'intérêt d'avoir pris Sharlto Copley dans ce rôle. Révélé en paria dans District 9, ce comédien ajoute à ce Christian Walker un corps et une voix atypiques dans cet univers aux personnages souvent très lisses. Il pose le regard d'un homme brisé par la vie mais toujours debout pour défendre ce en quoi il croit.

Bien sûr, les effets spéciaux et les costumes sont kitsch à souhait - on pense notamment à cette intervention de Retro Girl (Michelle Forbes) pour mettre fin à une dispute aérienne - et les personnages ont parfois des réactions un peu trop stéréotypées - par exemple, les réactions anti-Powers pas très subtiles de la coéquipière de Walker, Deena Pilgrim -.

Cependant, le plaisir de voir Walker-Copler et la fin du troisième épisode annonçant des lendemains qui déchantent avec le big bad guy Wolfe (Eddie Izzard) nous intriguent assez pour avoir envie de voir la suite. En tout cas, une saison 2 semble déjà être prévue.

À suivre..

Un scenario potentiellement intéressant et donnant des possibilités, un mix entre Heroes et Almost human. Le problème, Powers n’est à la hauteur ni de l’une ni de l’autre. C’est mou, il y a une histoire de fond pas clair, un univers non expliqué, des pouvoirs non décrit, … Le passé des gens est également flou. Le premier flash-back n’apparait qu’au bout du 3eme épisode, alors qu'il était vraiment attendu. De plus, les effets spéciaux ne sont pas si bien, les acteurs passent tout juste. Et il n’insiste pas sur les pouvoir comme Heroes rendant cet univers fantastique plus proche du notre, mais moins intéressant. D’ailleurs notre héros n’a plus ses pouvoirs et c’est fort dommage. Une seule pensée alors, il va soit les récupérer soit la série ne marchera jamais. Trop amateur (c’est sony en même temps). Pas terrible.

On retrouve un peu de the Watchmen dans cette série. Même atmosphère, même traitement des héros qui sont devenus les méchants. C'est une série policière très originale du coup, ça change.

Petite série bien sympathique pour ceux qui aime les super héros

se laisse regarder mais sans interet et très mauvais jeu d'acteur surtout l'acteur principal

Mis à par le manque flagrant de moyen pour les effets spéciaux et décors, le tout est tellement prenant qu'on l'oublie très vite. Pour une fois que la débauche d'effet spéciaux ne prime pas sur un scénario, et tant mieux car des effets il n'y en a presque pas, c’est très sobre. On navigue entre watchmen, Misfits et Heroes.
Sans le côté teenage, sans le fameux triangle amoureux impossible habituel.
Plutôt sombre et adulte.
Coup de cœur. Vivement la suite.