Avis Homeland S7

Une saison tirée par les cheveux avec la théorie du complot sur l'assassinat d'un président et Carrie qui part un peu en vrille. C'est bancal.

Cette saison 7 reste à nouveau, après la saison 6, sur les terres américaines. Alors que "Homeland" trouve ses meilleures saisons quand elle se joue à l'étranger, en prenant une certaine hauteur et en lui donnant plus d'allure et de charisme, cette saison 7 s'assoit plus mollement autour de Washington avec un certain copier-coller douteux avec la série "House of Cards" (dans l'histoire de ses couloirs et manigances présidentiels, ou comme ses nombreux acteurs qui jouent dans les 2 séries à la fois !). Le scénario a du coup un certain déjà-vu, l'action en deçà de ce qu'a pu déjà nous offrir la saga, et des incohérences pointent trop souvent le bout de leurs nez. Et les saisons (comme celle-ci) qui s'attachent aux ennuis de santé de Carrie ne sont jamais les meilleures, l'héroïne n'est pas très crédible quand elle joue de ses faiblesses. Pour autant, cette saison 7 garde néanmoins son ADN qui fait son succès critique, mais reste ici, à cette 7ème saison, un peu à bout de souffle et en manque d'originalité. On se rassurera que Carrie Mathison ne sait jamais raccrocher et qu'elle rebondira assurément sur la saison suivante. Du moins, on l'espère.

La présidente est caricaturale et antipathique au possible. Les invraisemblances s'accumulent depuis plusieurs saisons maintenant, et après avoir vu Le bureau des légendes, ça fait d'autant plus tâche... On n'a jamais vu une espionne aussi nulle ! Et nom d'un nom, je ne supporte plus cette nana !!! Fini pour moi !

La septième saison de Homeland a pour principal sujet la profonde division intérieures des États-Unis après l'arrivée au pouvoir d'Elisabeth Keane qui se lance dans une purge massive des agents de l'Etat après sa tentative d'assassinat ratée. Symbole de cette division, l'animateur radio O'Keefe, en cavale, continue d'émettre clandestinement et parvient à se rallier à lui les milices d’extrême droite américaines qui le prennent sous leur protection dans un face à face sanglant avec le FBI. Mais Carrie qui cohabite difficilement avec sa sœur Maggie, va par sa ténacité et son instinct contribuer à mettre à jour un complot des services secrets russes pour déstabiliser le gouvernement en place. Une saison 7 qui démarre bien avec le charismatique O'Keefe puis qui bascule vers quelque chose de plus classique en faisant appel aux "bonnes vieilles" recette de la guerre froide. Le personnage de Carrie n'évolue pas spécialement, sa vie privée étant toujours un naufrage entre une santé précaire et son inaptitude à élever sa fille. Toujours efficace mais inférieur aux deux saisons précédentes, il est vrai exceptionnelles. Les chroniques de tous les épisodes sur mon blog : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2020/04

7e saison de la série culte “ Homeland “ . Cette 7e saison se déroule après les événements de la fin de la saison 6 qui avait vu la présidente des États-Unis faire arrêter beaucoup de membres de ses services de renseignement auquel elle n’avait plus confiance dont Saul suite à la tentative d’attentat auquel elle a survécu et qui la rendu totalement parano . Cette 7e saison reprend donc après ses événements avec Carrie qui va tenter de faire libérer Saul et tout les autres personnes qui ont été arrêter tandis qu’en parrallèle la présidente toujour aussi parano continue de vouloir faire arrêter des gens qu’elle soupçonne d’être mêler à sa tentative d’assassinat et donne l’ordre de faire arrêter un journaliste qui la traîner dans la boue . Au même moment à lieu le procès du général McClendon l’un des instigateurs de la tentative d’assassinat de la présidente . Mais voilà que le général McClendon est mystérieusement assassiné dans sa cellule . Carrie va alors enquêter sur ce meurtre et découvrir une véritable conspiration qu’elle va tenter de déjouer ...
Bon que vaut cette 7e saison de “ Homeland “ ? La saison commence plutôt doucement avec donc le meurtre du général McClendon et donc par la recherche de son meurtrier avec en parallèle les autorités qui tente d’arrêté un journaliste sur ordre de la présidente . Et on se dit que si toute la saison tourne autour de la recherche du meurtrier de McClendon et la traque de ce journaliste dont on se fout royalement sa va pas être très palpitant . Mais en fait plus la saison avance et plus sa devient prenant quand on va découvrir que le meurtre de McClendon cache en fait une véritable conspiration que Carrie va donc tenter de déjouer ce qui va donner lieu à son lot de suspense , de tension , de rebondissements et d’action . Donc la saison démarre plus ou moins doucement et monte en puissance tout le long avec cette conspiration à déjouer qui va nous tenir en haleine jusqu’à la fin . Carrie cette saison va devoir également gérer en parallèle sa vie privée en essayant de concilier sa maladie ( sa bipolarité ) qui reprend le dessus sur elle , son travail qui lui prend beaucoup de temps et sa fille auquel elle a pas beaucoup de temps à accorder et se ne sera vraiment pas facile de concilier tout ça . Cette partie de l’intrigue va être prenante également pour voir comment elle va réussir à gérer tout ça . Claire Dances est toujour parfaite dans son rôle de Carrie Mathison qui va être très tirailler cette saison entre sa maladie , son travail et sa fille .
La saison se termine sur une épisode très prenant spoiler: qui verra donc la fin de la conspiration russe
. La saison se termine par spoiler: le retour au États Unis de Carrie Mathison qui avait été arrêter à Moscou par les russes pendant qu’elle tentait de déjouer la conspiration des russes contre la présidente des États-Unis . Saul qui a réussit a passé un Marché avec eux a réussit à la faire libérer mais elle semble complètement folle et désorienté et ne semble ne reconnaître personne . Sa maladie semble vraiment avoir pris le dessus sur elle vu que les russes ont refuser qu’elle prenne sont traitement pendant son incarcération chez eux . Hâte de voir ce qui va advenir d’elle dans la saison 8 .
. À la fin on a qu’une hâte découvrir la saison 8 au plus vite .

Dans la continuité de la sixième saison, le complot visant la présidente se dévoile avec peu de ressorts scénaristiques. Privée d'idées, la série aura stagné durant deux saisons maladroites qui auraient dû être amassées. La conclusion en saison 8 devra être irréprochable pour laisser Homeland dans les esprits.

Très déçu ! Des longueurs interminables sur la maladie de Carrie. Et pour moi quasiment une saison blanche ou on n'apprend pas grand chose qui fasse avancer l'intrigue. La saison 8 à intérêt à relever le niveau !

Saison sans grand intérêt, beaucoup de longueurs, spoiler: et sur la fin notamment sur l'action qui se déroule en Russie on tombe dans le n'importe quoi.

De plus toute l'action consiste à sauver le poste de la présidente, qui je trouve n'est pas du tout attachante et on se fiche finalement de ce qui pourrait lui arriver.
Très déçu de cette saison.

Homeland a cette qualité de parvenir à créer une fiction crédible en s'appuyant sur l'actualité récente. Cette saison agglomère ainsi les problématiques politiques majeures (américaines et plus généralement occidentales) que sont l’ingérence russe dans les campagnes électorale et plus largement dans la déstabilisation des démocraties, la montée des populismes, l'utilisation des réseaux sociaux à fin de propagande (fake news), les média complices, la montée des populisme, l’insoluble Amérique des armes, du racisme du repli sur soi...
Les dialogues sont pertinents, l'intrigue monte sans jouer la surenchère. Enfin l'histoire personnelle de Carrie permet habilement d'imposer une tension permanente même si son personnage psychotique s'avère parfois à la limite du supportable (mais cela concerne toute la série). Certainement pas la meilleure saison (1-2-5-6) mais totalement recommandable.

C'est une très bonne saison avec suspens et rebondissements jusqu'au bout, on attend la suivante avec impatience!!

Saison très inégale : un début long et ennuyeux, puis une seconde moitié qui se termine en coup de poing, une des plus passionnantes de la série. On se dit que cette saison aurait pu être réduite à un film de deux heures. Claire Danes est plus époustouflante que jamais. Une mention aussi pour Elisabeth Marvel, incarnant excellemment une présidente glaçante.

Long, lent, pas vraiment accrocheur et cerise sur le gâteau Carrie est à baffer ... On est tellement loin des 2 ou 3 premières saisons.