Petit rappel des faits. Jeudi 21 septembre, un article de Médiapart révèle que Stéphane Plaza, l'animateur star de M6, est accusé de "violences verbales, psychologiques et physiques" de la part de trois de ses anciennes compagnes. Via son avocate, l'animateur dénonce aussitôt "des allégations totalement extrapolées, voire mensongères", des "accusations fantaisistes" et avance qu'elles se seraient toutes les trois "liguées contre lui pour lui porter préjudice par tous les moyens".
"Il faut laisser Stéphane tranquille"
Quelques jours après la sortie de l'article de Médiapart, Laurent Ruquier, avait accordé un entretien à Puremedias.com dans lequel le présentateur prend la défense de Stéphane Plaza, également sociétaire dans Les Grosses Têtes qu'anime Laurent Ruquier sur RTL : "Il faut laisser Stéphane tranquille pour qu'il puisse se défendre de ces accusations. Je n'ai aucun doute sur sa probité", avait-il déclaré, avant d'évoquer l'absence de Stéphane Plaza dans Les Grosses Têtes : "Pour l'instant, il est absent parce qu'il est en tournage d'un téléfilm [N.D.L.R, une fiction intitulée En cavale pour M6]. S'il en a envie, il sera le bienvenu."
Laurent Ruquier met à nouveau les choses au clair sur l'affaire Plaza
Près d'un mois après la révélation de l'article de Médiapart, Laurent Ruquier a de nouveau pris la parole dans les colonnes de Télé Star en kiosque ce lundi 16 octobre. Interrogé sur l'affaire Stéphane Plaza - "Avez-vous des nouvelles de Stéphane Plaza, qui vous accompagne régulièrement aux Grosses Têtes, depuis les accusations dont il fait l'objet ?" lui demande-t-on -, le présentateur de BFMTV préfère se passer de commentaires. "Je ne réponds rien à ça. J'ai déjà répondu, et tout a été déformé. C'est malhonnête. Vous n'aurez rien là-dessus", a-t-il répondu, cash et sans détour. Lors de sa précédente interview à Puremedias.com, Laurent Ruquier avait donné son avis au sujet de cette affaire : "Je prends toujours ce genre de choses avec beaucoup de pincettes. On a vu des tas d'affaires du même genre qui ont été contredites ensuite par les intéressés eux ou elles-mêmes", avait-il déclaré.