Karine Lemarchand avait prévenu qu'elle serait intransigeante envers les prétendantes mal intentionnées de Patrice. L’éleveur de vaches allaitantes de 39 ans, touché par une hémiplégie de naissance, n’avait jamais connu le véritable amour. Son histoire et sa fragilité avaient touché les fidèles de L’amour est dans le pré, dont les espoirs reposaient sur Justine, également tombée sous le charme du Normand. Attention, spoiler !
Patrice et Justine ont frôlé la rupture
Mais, très vite, l’idylle entre ces deux êtres sensibles en manque d’affection a cristallisé les passions, beaucoup reprochant à l’Alsacienne son caractère bien trempé, voire "militaire", et sa décision express d’emménager rapidement chez l’agriculteur. Le couple était même sur le point de se séparer, Patrice exprimant au Pays Basque ses doutes quant à leur compatibilité. Pourtant, c’est ensemble que le duo phare de cette saison s’est présenté face à Karine Lemarchand pour le bilan de son aventure, dans l’épisode du 20 novembre (mais déjà disponible sur 6play max). Et Justine risque de se souvenir de ce face à face toute sa vie tant l’animatrice habituellement guillerette l’a malmenée.
Karine Le Marchand lâche ses quatre vérités à Justine
Dans un premier temps, l’entremetteuse préférée des agriculteurs s’est attaquée au tempérament trop prononcé de celle qu’elle pensait plus douce. "Justine, tu maîtrises tout, tout le temps, depuis le début", a-t-elle martelé, avec l’exemple des courses au supermarché et du déménagement à l’appui. Puis, c’est le mode de vie, bien différent de celui de son homme, qui a été reproché à l’adepte des grasses matinées. "Mais ce n'est pas possible (...) Si tu te lèves à 10h30, que tu ne fais rien de la journée, que tu attends que ton mec rentre pour qu'il fasse à manger avec toi, qu'il fasse avec toi la vaisselle (...) Il n'y a pas une personne lambda qui travaille et qui va accepter cette situation", s’est agacée Karine Lemarchand, avant d’enfoncer le clou avec une dernière saillie : "Non seulement tu ne fais rien mais tu l’engu**les". Sonnée, la victime de violences conjugales par le passé essaiera bien de défendre cette carapace qu’elle s’est forgée pour ne plus souffrir. Mais ce rappel à l’ordre l’a brisée en mille morceaux.