Partager sur WhatsAppPartager sur FacebookPartager sur Twitter
Exporter
The Box
Sortie :
4 novembre 2009
|1h 55min
DeRichard Kelly
AvecCameron Diaz,
James Marsden,
Frank Langella,
Gillian Jacobs,
James Rebhorn
Presse
3,5
Spectateurs
2,3
2 Bande-annonces & Teasers
The Box Bande-annonce VO
449 497 vues - Il y a 14 ans
The Box Bande-annonce VF
252 549 vues - Il y a 14 ans
4 Extraits
The Box Extrait vidéo VO
5 872 vues - Il y a 14 ans
The Box Extrait vidéo VF
4 331 vues - Il y a 14 ans
The Box Extrait vidéo (2) VF
1 649 vues - Il y a 14 ans
The Box Extrait vidéo (2) VO
134 vues - Il y a 14 ans
5 Emissions d'actu ou bonus
Frank Langella Interview : 1492 : Christophe Colomb, The Box, Dracula, Frost / Nixon, l'heure de vérité, Good Night, and Good Luck.
30 716 vues - Il y a 11 ans
Merci Qui? N°151 - Les sorties du 4 novembre 2009
42 548 vues - Il y a 14 ans
La Minute N°404 - Wednesday 04 February 2009
321 384 vues - Il y a 15 ans
La Minute N°502 - Monday 29 June 2009
32 603 vues - Il y a 14 ans
La Minute N°571 - Tuesday 03 November 2009
36 291 vues - Il y a 14 ans
Commentaires
Pour écrire un commentaire, identifiez-vous
laster
Bonjour.Décidément, The Box est un bon film, mais difficile à aimer. Tout d'abord, d'aucuns remarquera le peu de pertinence du synopsys : qu'est-ce que c'est que cette histoire de "plusieurs boutons" ? Au contraire, il n'y en a qu'un ! Un peu comme s'il s'agissait d'un bouton d'arrêt d'urgence, ou de frappe nucléaire... L'affiche est d'ailleurs assez explicite concernant ce point.Quant au fond du film, car la forme me semble irréprochable - quand bien même le traitement de l'image n'est pas à l'avantage de Cameron Diaz, & c'est compréhensible - le dilemne que propose la boîte ressemble à celui de notre société ultra-libérale, monopolisée par la mondialisation de la finance au détriment de tout le reste. Il vaut mieux admettre, au final, que nous sommes hélas tous enclins à commettre, de façon impulsive & en fermant les yeux aussi fort que nous le pouvons, par délégation il est vrai, l'acte irréparable qui consiste à vivre au détriment d'autrui - & après moi le déluge. Pourtant, en dépit d'un déroulement à l'apparence inexorable, le scénario laisse une marge infime & miraculeuse de rédemption, qu'hélas la réalité n'offre pas - à mon avis.
Un film à revoir, sans doute.