Scandar Copti, Yaron Shani Interview : Ajami

Il est marrant d'observer la personnalité des deux réalisateurs:le juif veut donner du sens, parle de logique et de maitrise et s'émeut de la reconnaissance d'enfants. le musulman parle de style dans la dramaturgie et s'émeut du courage qu'a eu son cousin, d'oser parler de sentiments. Le premier est un occidental, le second un oriental.C est intéressant.

Je l'ai vu et franchement c'est bien.Quant on apprend que les acteurs sont amateurs ( en tout cas il me semble que c'est le cas de la majorité) c'est bluffant parce qu'ils jouent bien.

J'aimerai vraiment allé voir Ajami. Je trouve les deux gars qui ont réalisé le film très sympathiques. Bravo pour ce projet !

Emporio 68 je ne peux que constater ton manque de connaissances du cinéma israelien que je t'invite à regarder car tu seras étonné de voir à quel point les israeliens savent faire leur autocritique,ce qui n'est pas le cas de beaucoup.(Lebanon,valse avec bachir,the bubble entre autres).D'ailleurs si tu n'aimes pas le cinéma israelien (que tu ne connais en réalité pas,mais ca c'est typique de nos jours ; on déteste ce qu'on ne connait pas) pourquoi viens tu poser ce commentaire ici?Bon visionnage.

Allez... C'est reparti! --'J'imagine que les Israeliens seront encore et toujours des victimes. A quand un film qui traite les évènements qui se déroulent réellement "à cet instant même" là-bas?Dans tous les cas, le cinéma Israelien ne m'a jamais intéressé car il n'est jamais objectif! Jamais!

un très bon film. une sorte de vendetta corse mais qui a comme terrain Ajami un quartier de Jaffa en Israël. Tous les comédiens sont criant de vérité . Un film sans concession que l'on reçoit comme un coup de poing. Scénario bien ficelé et mise en scène au cordeau. On se rend compte combien la paix est quelque chose de fragile que le moindre incident peut faire dégénérer en violence et en affrontement;