"Pretty Woman" et "Ghost" fêtent leurs 20 ans ! - Page 9

"Pretty Woman": La revue de presse
L’Express le 29/11/1990 : "Il y a peu de chances pour que les français résistent […] ils succomberont donc à la plus jolie bluette de l’année".

Libération le 01/12/1990 : "Qui aurait parié un rond qu’on se laisserait piéger par un truc aussi niais ? Et pourtant, ça marche. Pire, on plonge tête baissée, comme la dernière des midinettes".

Le Monde le 04/12/1990 : "Bien que rien ne soit inattendu, on ne s’y ennuie pas. Les bonnes recettes, mille fois éprouvées ne vieillissent pas : c’est comme Noël, c’est ça qu’on aime".

Le Nouvel Observateur le 13/12/1990 : "Les artisans de Pretty Woman […] mériteraient qu’on les décorât tous de l’orre de la clé des songes. Ils ont splendidement su caractériser leurs personnages, art dans lequel les Américains, dont on méprise ici les œuvres « grand public », pourraient donner des leçons à tous nos cinéastes".

France Soir le 29/11/1990 : "Etincelant, délicieux, enchanteur, romanesque, amoureux, sexy, et même féérique, ce film mérite tous ces qualificatifs […] Du cinéma comme on en rêve".

France Soir le 26/11/1990 : "C’est tellement bien fait, bien filmé, bien raconté, bien joué que l’on croit à ce conte de fées".

La Croix le 29/11/1990 : "Aucune raison de ne pas marcher dans cette comédie légère à la Billy Wilder. Elle est menée avec un bon brin d’humour, juste ce qu’il faut de méchancetés bien envoyées sur le monde des affaires et quelques kilos de bons sentiments […] ".

Les Echos le 28/11/1990 : "On ne doute jamais du dénouement, que l’on ait vu, ou non, « My Fair Lady » et, pourtant, on ne s’ennuie pas une seconde…"

Le Point le 03/12/1990 : "C’est un conte de fées, dans la lignée de « Cendrillon » et « My Fair Lady », modèle rectifié 1990. C’est un rêve, une coupe de champagne."

"Ghost": La revue de presse

VSD le 08/11/1990 : "C’est transparent, inodore, impalpable et incolore. Un film fantôme autrement dit".

Pariscope le 14/11/1990 : "On rit beaucoup grâce à l’inénarrable Whoopi Goldberg. Les sentimentaux y iront de leur larme à la fin parce que cette histoire de fantôme protecteur est une très belle histoire d’amour […] ".

Le Quotidien de Paris le 13/11/1990 : "Sans la désopilante Whoopi, le « Ghost » de Zucker n’existerait pas !".

Le Monde le 11/11/1990 : "Il faut croire que la majorité des spectateurs trouvent ça irrésistible car le film a cartonné dur aux Etats-Unis. Quand on ne parvient pas à rire, c’est franchement insupportable".

Libération le 07/09/1990 : "Comme c’est Whoopi Goldberg qui joue Oda, la voyante récalcitrante, et que chacune de ses scènes est plus hilarante que l’autre, sa présence suffit à faire d’une gentillette comédie fantastique quelque chose d’infiniment plus explosif".

L’Express le 08/11/1990 : "Y’a-t-il quelqu’un pour nous sortir de c’t’ennui ? Il y a Whoopi Goldberg, un Stromboli".

L’Evènement du jeudi le 08/11/1190 : "Jerry Zucker, coauteur de « Y’a-t-il un pilote dans l’avion ? », démarre brillamment ce premier film en solo pour sombrer dans le plus mièvre et le plus moralisateur des mélos."

Les Echos le 07/11/1990 : "Sa présence volcanique [Whoopi Goldberg] mais toujours sans vulgarité donne à cette comédie finalement douce-amère (et un brin policière) une dimension aimablement loufoque."

La Croix le 08/11/1990 : "[…] le film trouve son rythme, son humour et son intérêt dès qu’apparaît la pétulante Whoopi Goldberg […]".

Le Box-office de l'année 1990

Avec www.cbo-boxoffice.com

Réponses au quizz "Ghost": 1- B; 2- B; 3- A; 4- C; 5- A; 6- B; 7- B; 8- A; 9- C; 10- B; 11- A.

Revoir le dossier

La Rédac vous recommande aussi

Toutes les news