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    Best-of 2017 : le meilleur et le pire du cinéma !

    Revivez les temps forts de l'année cinéma, drôles, étonnants, tristes, gênants, à travers notre diaporama best-of. 2017 c'est tout ça !

    The Walt Disney Company France / DOMINIQUE JACOVIDES / BESTIMAGE/ Céline Nieszawer

    Le plan de l'année : les yeux de ‎Daniel Kaluuya dans "Get Out"

    Get Out, thriller horrifique des plus malins sur fond de racisme, restera comme l'une des sensations de l'année cinoche 2017. Comment oublier les yeux de l'acteur ‎Daniel Kaluuya, dont le personnage se retrouve progressivement plongé dans l'horreur la plus totale ? Un regard si puissant qu'il a été choisi pour illustrer l'affiche du film. Et un regard (mais pas que) qui vaut bien un Oscar.

    Le fail de l'année : le faux Oscar attribué à "La La Land"

    Pour qui a suivi la cérémonie des Oscars en direct après une nuit blanche arrosée de café, ce moment de légende retransmis en mondovision a pu sembler un mirage, une hallucination liée au manque de sommeil. Et pourtant, cette scène a bien eu lieu devant des millions de téléspectateurs médusés... Pour la première -et sans doute la dernière- fois de l'histoire, la statuette du Meilleur film a été attribuée à un film (La La Land) par erreur, le véritable lauréat (Moonlight) étant sacré quelques secondes plus tard dans la pagaille générale. Embrouille dans les fiches, bafouillements sur scène, regards hébétés puis personnes virées : un fiasco culte !

    Le King de l'année : Stephen King

    Simply the best ! En 2017, Stephen King a clairement été le roi des écrans. Entre les sorties événements des adaptations ciné de La Tour Sombre et Ça (énorme succès au box-office), mais aussi le lancement de deux films sur Netflix (Gerald's Game et 1922) sans oublier les séries Mr Mercedes, The Mist22.11.63 (diffusée en France cette année) et le dévoilement de la bande-annonce de la série Castle Rock (attendue en fanfare pour 2018), l'écrivain américain était partout ! Et ce n'est pas prêt de s'arrêter avec la nouvelle année...

    Le séisme et le Hashtag de l'année : l'affaire Harvey Weinstein, #metoo et #balancetonporc

    Le 5 octobre 2017, le New York Times dévoilait au terme d'une enquête de plusieurs mois la face obscure, maladive et perverse de celui qui siégeait encore tout en haut de l'Olympe hollywoodien depuis près de 30 ans : Harvey Weinstein. Accusé et soupçonné de plusieurs dizaines de cas de harcèlements et d'agressions sexuelles, sa chute fut aussi spectaculaire que le séisme qui a suivi ces révélations explosives, catharsis libératrice de la parole de femmes partout dans le monde. Après le hashtag #balancetonporc propre à la France, ce fut au tour de #MeToo, lancé par Alyssa Milano, de devenir un puissant symbole pour révéler l'ampleur du phénomène.

    La bestiole kawaï de l'année : le Porg de "Star Wars - les derniers Jedi"

    Lorsque la toute première bande-annonce de Star Wars - Les derniers Jedi a été dévoilée en avril 2017, nombreux sont ceux qui se sont quasi instantanément attaché à la nouvelle mascotte kawaï du film, au point de devenir un mème internet : le Porg. Né dans l'esprit diabolique des services marketing de Disney, histoire de vendre des palettes entières de peluches, cette créature est le croisement improbable entre le regard du Chat Potté, un macareux et un pingouin, vivant sur l'île où s'est réfugié Luke.

    Les retours/ retrouvailles qu'on a attendu longtemps de l'année : T2 Trainspotting et Blade Runner 2049

    Les deux suites étaient dans les tuyaux depuis si longtemps que les fans ont fini par désespérer. Résultat : des chiffres décevants pour les sorties en salles de T2 Trainspotting et de Blade Runner 2049. Le premier s'est fait attendre 21 ans, le second 36 ans. Résultat : deux films archi-nostalgiques qui partent à la recherche du temps perdu. Les héros légendaires vieillissent aussi.

    Le jackpot de l'année : "Wonder Woman"

    Mettre une femme en haut de l’affiche d’un film de super-héros, les studios n’étaient pas très chauds malgré le succès du genre depuis dix ans. Wonder Woman tenait donc du vrai pari pour la Warner, et il s’est révélé gagnant. Pour tout le monde : le studio a empoché près de 822 millions de dollars dans le monde, Gal Gadot est devenue l’une des stars de l’année et la figure de proue du DC Extended Universe, et son salaire devrait exploser pour la suite, au même titre que celui de Patty Jenkins, qui rempilera derrière la caméra avec le statut de réalisatrice la mieux payée de l’Histoire. Avec le même jackpot à l’arrivée ? Verdict fin 2019.

    La scène WTF de l’année : le headbanging de "Jeannette"

    Dans Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc, Bruno Dumont offre une vision personnelle, décalée et musicale de la jeunesse de La Pucelle d'Orléans. Dans les dunes du Pas-de-Calais, il faut voir (pour le croire) sa Jeannette se lâcher sur la bande-son électro-pop-rock d'Igorrr, accompagnée de deux soeurs adaptes du headbanging ou d'un jeune garçon féru de dab. Jeanne d'Arc et Hellfest, même combat ?

    Le baiser de l'année : Alien Covenant

    Michael embrassant Fassbender, Walter embrassant David : un baiser robotique et fratricide entre les deux androïdes de Ridley Scott, l'un totalement dévoué aux humains de la mission Covenant, l'autre indépendant et porté par ses rêves de création depuis Prometheus. Un étrange face à face, qui fait notamment écho à Blade Runner et "le baiser de la mort" donné par Roy Batty à son créateur.

    L’accent de l’année : Marion Cotillard dans "Rock'n roll"

    Il fallait oser mettre en scène sa personne et son couple de façon aussi réalistico-barrée. Il fallait oser proposer à sa compagne oscarisée un rôle aussi cocasse. Et il fallait oser l'affubler d'un accent québécois aussi outrancier. Dans Rock'n Roll de l'audacieux Guillaume CanetMarion Cotillard se parodie, en actrice scrupuleuse, s'investissant corps et langage dans son prochain rôle sous la direction du célèbre Xavier Dolan. "J'en ai les yeux dans l'eau", "Tu trouves ça poche mon affaire","Me pogner le beigne"... : conseillée par le cinéaste prodige lui-même et coachée par une spécialiste de la langue, l'actrice nous a offert les répliques les plus réjouissantes de l'année !

    La suite inattendue de l'année : Split

    Habité par 24 personnalités, James McAvoy devient la terrifiante Horde. Alors que Split semble s'achever sur cette menace,  spoiler: les notes de James Newton Howard se font entendre, accompagnant un plan-séquence où apparaît Bruce Willis / David Dunn, (super) héros d'Incassable. Shyamalan frappe fort en offrant ici la suite (tant attendue) de son film culte. Vivement Glass qui conclura la trilogie.

    Celui qui a déjà le César de l'année : Nahuel Perez Biscayart

    Révélé au grand public par sa bouleversante composition dans 120 battements par minute, l'argentin polyglotte aux ascendances basques Nahuel Perez Biscayart n'en finit plus d'être sur une trajectoire ascendante, comme l'a encore confirmé son incarnation de gueule cassée de la Grande guerre dans le somptueux Au revoir là-haut. Deux performances qui pourraient bien lui valoir au moins une nomination aux prochains César. On prend le pari ?

    Le Arturo Brachetti de l'année : Rihanna dans Valérian

    Chanteuse de cabaret, infirmière adepte du pole-dance, écolière à couettes, danseuse brésilienne, experte en rollers, soubrette sexy, dominatrice façon Catwoman, femme fatale blonde... En deux minutes, Luc Besson et la diva RnB offrent à Dane DeHaan / Valérian (et aux spectateurs) un show unique, où la glampod métamorphe joue avec les codes et les stéréotypes des fantasmes masculins.

    La maltraitance sur personne âgée de l’année : Jean-Louis Trintignant dans Happy End

    Happy End de Michael Haneke sera probablement la dernière apparition de l'immense Jean-Louis Trintignant au cinéma. Pour son dernier film, le comédien de 86 ans accepte de pousser seul son fauteuil roulant sur des centaines de mètres le temps d'un long travelling. Encore plus fort : pour les besoins de la dernière scène, on le plonge jusqu'au cou dans l'eau glacée de la mer du Nord. Décidément, on n'est jamais trop vieux pour se faire bizuter.

    Le rap de l’année : Coexister

    "Ca, c'est de la merde, ça va cartonner !" Critique acerbe du milieu de l'industrie musicale, Coexister, nouvelle comédie de Fabrice Eboué, nous donne à voir l'enregistrement de plusieurs "tubes" en puissance, dont le tournage d'un clip de gangsta rap d'anthologie...

    Le gare au gorille de l'année : Terry Notary dans "The Square"

    Des singes, on en a croisé dans notre vie de cinéphile. Des gros, des petits, des rigolos... Mais jamais on n'avait été confronté à un tel phénomène. Car, si Terry Notary est bel et bien un homme, il est aussi l'homme qui se rapproche le plus du primate. Sa capacité à imiter les postures et les gestes d'un singe est telle qu'elle crée la sidération chez le spectateur. L'espace du scène de banquet mémorable, The Square devient le film le plus attirant-repoussant de l'année.

    Le loser sympa de l'année : Manu (Vincent Elbaz) dans "Il a déjà tes yeux"

    Vous avez déjà eu la sensation d'assister à la naissance d'un personnage culte ? Avec Il a déjà tes yeux, c'est exactement ça ! Ce Manu, composé par un Vincent Elbaz inspiré comme rarement, vous fait rire et vous attendrit à la seconde où il apparaît à l'écran. Une voix pas possible, un look d'un autre âge, des lunettes abominables, il ne passe pas inaperçu, et on se prend à imaginer les soirées de folie qu'on aimerait passer avec ce type-là.

    La roue libre de l'année : Yvan Attal dans "RAID Dingue"

    Que les choses soient claires, on adore Yvan Attal. Mais disons que RAID Dingue, il pousse tellement loin l'art du grotesque que ça en devient gênant. Le comédien accumule les outrances dans le rôle d'un terroriste (avec accent slave en prime) qui ne recule devant rien, surtout pas le ridicule.

    Le montage de l’année : Les trois temporalités de Dunkerque

    Avec DunkerqueChristopher Nolan n'a pas seulement réussi à magnifier une défaite militaire, mais réalisé un long métrage bâti sur trois temporalités. Ce montage audacieux, qui a pu désarçonner certains spectateurs, présente à la fois l'histoire du pilote joué par Tom Hardy, celle de Mark Rylance qui veut rapatrier des soldats et celle des militaires sur la plage. Du grand art !

    Le full frontal de l'année : Louis Garrel dans "Le Redoutable"

    Il est à qui, hein, le kiki ? Il est à Louis ! Dans Le Redoutable, l'acteur apparaît nu comme un ver le temps d'une scène où les protagonistes pointent la surabondance de nudité dans le cinéma moderne. Quelques secondes pendant lesquelles Garrel balade son anatomie en toute décontraction.

    La "Seine" de l'année : "120 battements par minute"

    Film n°1 de notre top cette année120 battements par minute nous a bouleversés et secoués de bien des manières. On se souvient de cette scène unique où Nathan tente, comme il peut, de regagner la sphère des vivants en dansant jusqu'au bout de la nuit puis de Sean, à l'hôpital, seul, dans le silence de la maladie. Sur sa respiration lourde, se dévoile à l'image la Seine, devenue rouge sang, menaçante, inquiétante mais, à la fois, calme et presqu'apaisante. Inoubliable.

    Le titre bisounours de l'année : "C'est beau la vie quand on y pense"

    Non, nous n'irons pas jusqu'à dire que la vie, c'est moche (quand on y pense). Surtout qu'on a une réelle tendresse pour la vie, cela va sans dire, mais aussi pour Gérard Jugnot qui a voulu faire un film apaisé. Mais, ce titre, bateau, plat, sans sel et sans imagination, ce n'est vraiment pas possible. On a limite envie de lancer une révolution en l'entendant.

    Les sosies de l'année : Elvis Presley dans "Baby Boss"

    Dans un film d'animation gentiment balisé comme Baby Boss, l'apparition dans un avion de ce cortège de faux Elvis à destination de Graceland apparaît comme une fulgurance géniale. Rarement le King ne nous aura fait autant rire.

    Les jours sans fin de l'année : La Colle et Happy Birthdead

    D'un côté, Benjamin, condamné par le génie Akinator à revivre perpétuellement ses deux heures de colle jusqu'à ce qu'il arrive à séduire la fille dont il est secrètement amoureux. De l'autre, Tree, assassinée le soir de son anniversaire par un mystérieux tueur avant de se réveiller... le matin de son anniversaire. Cette année, les teenage movies s'inspirent Un Jour sans fin !

    Le "c'est sans danger" de l'année : The Birth of a Nation

    Sans aucune concession et d'une brutalité troublante du début à la fin, le film choc de Nate Parker nous aura tout de même laissés repartir avec le souvenir d'une séquence plus terrible que toutes les autres : celle au cours de laquelle un contremaître particulièrement sadique, pour s'assurer que son esclave ne se laisse pas mourir de faim, lui casse la dentition au burin. Une scène terrifiante qui n'a rien à envier à celle de Marathon Man.

    La débandade de l'année : "Cinquante Nuances plus sombres"

    Ce second volet des amours sulfureuses d'Anastasia Steele et de Christian Grey se devait d'être -comme l'indique son titre et l'esquisse son roman- plus sombre que le précédent, comprenez plus érotique et surtout plus pervers. Il n'en est rien. Gentillet, doucereux, Cinquante Nuances plus sombres a des allures de comédie romantique déjà trop visitée. Ce, malgré une scène de douche, une séquence d'ascenseur et une parenthèse sado-masochiste qui, si elles étaient bien menées, auraient pu en émoustiller plus d'un(e). La débandade et donc la frustration de l'année.

    La relou hilarante de l'année : Blanche Gardin dans "Problemos"

    Où qu'elle soit on ne la manque pas, captivés par sa férocité, son originalité et son timing comiques. Dans ProblemosBlanche Gardin ne faillit pas à ses principes de base : oser l'humour absurde sans nuance, d'un mono-ton tranchant, le tout avec une ironie qui peut en agacer plus d'un. Non loin d'Eric Judor et sa bande, elle se glisse ici dans la peau d'une altermondialiste ultra féministe aux idées bien arrêtées, aux répliques bien senties et aux scènes déjà cultes ! A savourer ici.

    Le coupe-faim de l'année : le doigt croqué dans "Grave" !

    On préfère manier l'humour dans l'intitulé, car rien que d'y penser et c'est le haut-le-coeur garanti ! Dans le genre scène qui révulse, l'ado qui croque le doigt de sa soeur dans Grave jusqu'à l'arracher restera comme l'un des musts de 2017. Mais attention à ne pas résumer le film de Julia Ducournau à ce moment sanguinolent : Grave s'impose en effet comme une oeuvre unique, aussi sensuelle que dérangeante, sur laquelle plane l'ombre du grand Cronenberg. Et des ovnis comme celui-là, on les compte... sur les doigts d'une main !

    Le regard qui tue : Eva Green dans D'après une histoire vraie

    Cela devait être un événement : un nouveau film de Roman Polanski, un thriller reprenant certains des motifs récurrents du cinéaste, adapté d'un best-seller, avec le tandem Emmanuelle Seigner et Eva Green, pour la première fois dans un rôle en français. Le film, bâclé pour être prêt à temps pour Cannes 2017, ne fera pas date dans la carrière du réalisateur et de ses comédiennes. Restera le regard incandescent, le regard qui tue d'Eva Green qu'on a envie de revoir dans un film réussi cette fois-ci...

    La fausse retraite de l'année : Steven Soderbergh

    Mai 2013 : Steven Soderbergh fête son départ en retraite sur les marches de Cannes où il présente Ma vie avec Liberace, annoncé comme le dernier long métrage mis en scène par le réalisateur. Qui n’a pas mis longtemps à revenir sur grand écran, puisque quatre ans séparent ses soi-disant adieux de son retour, avec Logan Lucky, ou la version redneck d’Ocean’s Eleven. Une drôle de comédie policière aux accents burlesques et sociaux qui nous rappelle que, même sans renouer avec les sommets de sa carrière, il en a encore sous le capot. Jusqu’à sa prochaine retraite ?

    Le Am Stram Gram de l'année : "Mise à mort du cerf sacré"

    Grâce à Jigsaw, 2017 n’aura pas été en reste côté jeux sadiques au cinéma. Mais c’est le final de Mise à mort du cerf sacré qui décroche la timbale dans ce registre. Plutôt que de lui faire choisir qui tuer entre sa femme, son fils et sa fille, Barry Keoghan bande les yeux de Colin Farrell et le fait tourner sur lui-même, fusil en main, avec l’obligation de tirer au hasard pour effectuer un sacrifice capable d’endiguer le mal qui ronge sa famille depuis le début du film. Et c’est là qu’on se rend compte que l’on est capables de rester bien plus longtemps en apnée qu’on ne le pensait.

    Le caméo de l'année : Matt Damon dans "Thor : Ragnarok"

    Non, les caméos des films Marvel ne sont plus réservés qu’au seul Stan Lee. Le studio nous l’a prouvé dès avril, avec Sylvester Stallone dans Les Gardiens de la Galaxie 2, avant d’enfoncer le clou grâce à Thor : Ragnarok. Déguisé en Odin, Loki assiste en effet à une pièce à sa gloire et nous arrivons pour revivre sa mort de l’épisode précédent, dans une mise en scène digne d’une spectacle de fin d’année d’école primaire et où le demi-frère de Thor a les traits de… Matt Damon ! Une apparition hilarante, que l’on croirait sortie d’un sketch de Jimmy Kimmel, et qui nous empêche presque de remarquer que Thor et Odin sont respectivement incarnés par Luke Hemsworth (frère de Chris) et Sam Neill.

    Le râteau de l'année : Agnès Varda dans Visages villages

    Quelle tristesse devant la scène du documentaire "Visages villages" dans laquelle Agnès Varda se rend en Suisse chez Jean-Luc Godard. Prévenu à l'avance, Godard ne lui ouvre pas et a juste collé sur la fenêtre un petit mot à l'intention de sa collègue de la Nouvelle Vague. Varda n'apprécie ni le mot ni cette façon de faire et colle à son tour un mot sur la fenêtre clamant sa colère et sa déception. Pas de happy end. "Peau de chien" va-t-elle même lancer !

    Le faux départ de l’année : La Momie

    Porté par Tom CruiseLa Momie devait lancer l'univers connecté de monstres de la firme Universal. Mais avec des effets spéciaux douteux et un humour rarement efficace, le film n'a pas rencontré le succès escompté, aboutissant à un faux départ total pour cette franchise. Cela avait déjà été le cas avec Dracula Untold en 2014. Le studio va-t-il persévérer ou jeter l'éponge ?

    Le bad buzz de l'année : Bad Buzz d'Eric et Quentin

    Quand Bad Buzz vire au bad buzz pour de vrai ! Choisir un tel titre de film était évidemment risqué... Si on a de la sympathie pour le duo télé et leurs courts sketchs, force est de constater que le passage au long ne leur a pas réussi. Scénario bâclé, gags gênants, la critique a étrillé Eric et Quentin. Le public non plus n'a pas été au rendez-vous.

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