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    Verónica, Ouija... : 13 séances de spiritisme qui ont mal tourné

    Esprit es-tu là ? Les séances de spiritisme, souvent, ça tourne mal, surtout au cinéma. La preuve en 13 exemples.

    Sony Pictures Releasing España

    "Verónica", de Paco Plaza (2018)

    À Madrid, après avoir participé à une séance de spiritisme avec ses amies, une jeune fille, Verónica, est assaillie par des créatures surnaturelles qui menacent de s'en prendre à sa famille. C'est, à ce jour, le seul cas d’activité paranormale officiellement reconnu par la police espagnole. 

    "Ouija", de Stiles White (2014)

    Après avoir perdu son amie d'enfance dans des circonstances atroces, une jeune fille tombe sur une vieille planchette ouija dans la chambre son amie et tente d'y jouer avec son petit-ami pour dire au revoir une dernière fois. Des événements de plus en plus étranges se multiplient et peu à peu, les adolescents réalisent qu'ils ont ouvert un portail qui les conduit tout droit vers la mort. 

    "Ouija", de Kevin Tenney (1986)

    Déjà, en 1986, sortait un petit film d’horreur qui mettait en avant la planche de ouija (witchboard en anglais). La première séance s'y termine, comme on peut l'imaginer, assez mal et par la suite, on retrouvera dans tous les films du genre la scène dans laquelle chacun suspecte l'autre d'avoir fait bouger la flèche. 

    "Jusqu'en enfer", de Sam Raimi (2009)

    Pour avoir refusé d'aider une cliente dans le besoin, l'héroïne de Jusqu'en enfer se voit frappée d'une malédiction. Elle en appelle donc à un médium. Le clou du spectacle est très certainement la séance de table tournante, où se côtoient le gore et le second degré et où se croisent notamment une chèvre démoniaque et un esprit frappeur... et danseur. 

    "Espions sur la Tamise", de Fritz Lang (1944)

    Fritz Lang a une fascination pour le spiritisme et on aurait aussi bien pu citer Docteur Mabuse, le joueur (1922) ou Le Diabolique Docteur Mabuse (1960). Dans Espions sur la Tamise, le héros est d'abord confronté à une voyante dans une fête foraine, avant d'assistera à une séance de spiritisme en groupe qui renvoie, d'ailleurs aux grandes heures de l'expressionnisme des premiers Docteur Mabuse. 

    "Paranormal Activity", d'Oren Peli (2007)

    On retrouve également un ouija dans Paranormal Activity, installé par le compagnon de Katie, Micah, sur la table du salon. Alors qu'il quitte la pièce, le bois commence à prendre feu en combustion spontanée. On en déduit alors que le démon n'est pas très amical, mais c'est rarement le cas. 

    "L'Exorciste", de William Friedkin (1973)

    Dans L'Exorciste, avant d’être possédée par le démon, la petite Regan MacNeill joue, en compagnie de sa mère, avec un ouija, qu'elle utilise pour discuter avec son ami imaginaire, le capitaine Howdy, qui n'est autre que le démon Pazuzu. 

    "Insidious", de James Wan (2010)

    Dans Insidious, la famille Lambert fait appel à une médium qui, vêtue d'un masque à gaz un peu bizarre et accompagnée de son équipe de choc, se plonge dans un "voyage astral" dans les rêves de leur petit garçon pour sauver son âme des démons qui la rongent. Le problème, c'est que cela se passe plus mal que prévu. 

    "L'Esprit s'amuse", de David Lean (1945)

    Dans cette comédie fantastique de David Lean, un écrivain curieux des sciences occultes engage une médium pour qu'elle donne des séances de spiritisme chez lui. Alors que les convives se moquent du rituel, l'esprit de la première épouse de leur hôte est invoqué par accident, et elle en veut beaucoup à sa nouvelle femme... 

    "Magic in the Moonlight", de Woody Allen (2014)

    Dans Magic in the Moonlight, la séance de spiritisme tourne mal pour le personnage de Colin Firth... qui tombe sous le charme de la jeune médium campée par Emma Stone qu'il tente de démasquer.

    "Beetlejuice", de Tim Burton (1988)

    Dans Beetlejuice, Otho, le décorateur des Deetz veut leur prouver que la maison est véritablement hantée. Il vole le livre des morts et organise une séance de spiritisme, qui tourne au drame, puisqu'il procède sans le vouloir à un exorcisme. 

    "Hypnose", de David Koepp (1999)

    Lors d'une soirée entre amis, Tom accepte, par jeu, une séance d'hypnose. Plus tard dans la nuit, il est assailli par des visions et des rêves troublants. De jour en jour, il voit toujours davantage de choses qu'il est incapable d'expliquer. 

    "L'Orphelinat", de Juan Antonio Bayona (2007)

    C’est une séance de spiritisme assez high-tech que proposent la médium incarnée par Géraldine Chaplin et ses acolytes à la mère du petit Simon disparu dans L’Orphelinat, mais parfois, les choses ont une explication beaucoup plus rationnelle qu’il n’y paraît. 

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