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    Le Voleur de lumière
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    3,3
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    14 critiques spectateurs

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    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2013
    Je me faisais un certain plaisir à découvrir ce film provenant du Kirghizistan (pour ceux qui ne le savent pas ce pays se situe en Asie centrale), mais au final "Le voleur de lumière" me laisse un sentiment d'inachevé, en grande partie à cause d'une histoire qui manque de consistance et qui devient même assez rapidement confus. Mais heureusement nous avons le droit à une prestation de qualité de la part du casting et une bonne mise en scène d'Aktan Arym Kubat, ce qui fait que dans son ensemble ce long-métrage se visionne sans trop d'ennui.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2011
    Un joli film, dont le titre est bien choisi car son intérêt principal est effectivement la lumière. Pas celle, électrique, que le personnage incarné par Aktan Arym Kubat "offre" à ses voisins désargentés et qu'il tente de produire avec une éolienne bricolée, mais celle, crue, entêtante, qui inonde les paysages kirghizes. Ces paysages, d'ailleurs un peu trop cantonnés à l'arrière-plan, donnent au "Voleur de lumière" un souffle que la seule histoire, sympathique mais guère originale, ne pourrait lui conférer. Ajoutons le caractère attachant du personnage principal et de sa famille, l'aspect documentaire sur la société kirghize (superbe séquence du Conseil des Anciens!). Retranchons le côté fourre-tout du scénario, qui alterne scènes intimistes et bouffonnes, séquences à caractère folklorique et pamphlets contre la rapacité de la classe dirigeante, ainsi que l'absence d'idée forte qui donnerait une réelle intensité dramatique au récit. Nous obtenons un film, certes pas majeur, mais séduisant, véritable invitation au voyage et à la découverte de ces lointaines vallées balayées par le vent et la poussière.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 142 abonnés 7 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 mars 2011
    Le Voleur de lumière (2011) narre les mésaventures d'un petit électricien dans un village perdu au milieu des montagnes Kirghizes (au Kirghizstan). Il trafique les compteurs afin que les plus démunis puissent eux aussi bénéficier de la "lumière". Aktan Arym Kubat y dénonce la corruption et la pauvreté à travers ce joli drame qui oscille avec le documentaire. Le réalisateur, qui officie aussi en tant que scénariste et acteur principal, nous restitue une oeuvre humaniste et plaisante, sublimée par de superbes paysages et des seconds rôles haut en couleur. Une histoire assez simpliste en somme mais qui contre toute attente nous tient en haleine à travers les mésaventures de cet électricien pas comme les autres qui tente à lui toute seul de sortir de la misère son petit patelin.
    velocio
    velocio

    1 158 abonnés 3 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2011
    Des films en provenance du Kirghizistan, on n'en voit pas tous les jours. Quand il s'en présente un et, qu'en plus, il est plutôt bon, autant s'y précipiter. Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2010, "le voleur de lumière" nous fait partager la vie d'un petit village de ce pays de l'Asie Centrale. Le film est centré sur le personnage de "Mr Lumière", un électricien sympa qui fait des branchements pirates pour donner l'électricité à ceux qui n'ont pas les moyens de la payer et qui rêve d'installer des éoliennes pour rendre le village auto-suffisant en électricité. On apprend aussi que les élections municipales sont proches et que le maire sortant se méfie beaucoup de son adversaire, certes originaire du village mais qui vient de la ville et qu'il soupçonne de vouloir "acheter" le village. Le film parle très peu des problèmes religieux que connait le pays et bien davantage de l'implantation des russes et, surtout, des chinois. Il nous montre aussi la grande pauvreté du pays. A noter que le réalisateur joue également le rôle principal et a écrit le scénario du film. En résumé, ce n'est pas un grand chef d'oeuvre mais il s'en dégage une petite musique bien sympathique !
    Cinephille
    Cinephille

    135 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2011
    Cet électricien m'a rappelé celui de En attendant le bonheur d'Abderrahmane Sissako . Ces deux personnages sont -sans mauvais jeu de mots- des êtres de lumière, des êtres de bonté, de simplicité, qui ne font et ne voient pas le mal, sont restés proches de l'enfance et donc des enfants. Le film est une sorte de fable dont la morale est que la bonté, l'authenticité, triomphent toujours. Il est à la fois bien ancré dans le réel, la pauvreté, la corruption, la dureté de la vie, mais également dans une grande poésie, l'amour d'un couple, l'amour des enfants, la solidarité, un mode de vie minimaliste et heureux, les paysages, et la lumière, la vraie, celle du soleil. La réussite du film tient beaucoup à ce tissage entre la dure réalité de la vie et sa beauté ; elle tient également à la photo et au réalisateur-acteur très attachant.
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Ce voleur de lumiere est attachant, mais je me suit vite eteint.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 mars 2011
    De la même façon qu'il est regrettable d'entendre certain de mes amis plus calés en cinéma que moi me dire "Ouah un film kirghize, t'es con", il serait erroné de prétendre que ce "Voleur de lumière" est un chef d'oeuvre. Néanmoins, il est à regarder pour deux raisons : justement parce qu'il est kirghize ; et parce que le réalisateur n'est vraiment pas mauvais. C'est simple (l'histoire est elle aussi très basique), mais ses prises de vue en plongée sont magnifique. La bande originale est également pas mal du tout. Heureusement que des producteurs français, allemands et hollandais ont décidé de financer ce film. Heureusement aussi qu'il existe quelques salles art et essai (LA salle lyonnaise surtout, le Cinéma Opéra en l'occurrence) qui permettent à ce genre de films d'être diffusé chez nous. Un film poétique et touchant.
    traversay1
    traversay1

    3 078 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mars 2011
    Du cinéma du Kirghizstan, on ne connaissait guère qu'Aktan Abbdykalikov, réalisateur du Fils adoptif et du Singe, ce dernier datant déjà de 10 ans. Qui est donc cet Aktan Arym Kubat, dont Le voleur de lumière vient de sortir ? Renseignements pris, il s'agit du même metteur en scène qui a adopté le nom de son père biologique. Si le cinéma d'Asie centrale est parfois porteur de bonnes surprises (Chouga de Darezhan Omirbaev), ce film kirghize est hélas fort décevant. Après un démarrage prometteur, où la vie rurale est traitée avec tendresse et sens de l'humour, à travers le personnage de Monsieur Lumière, la chose se gâte rapidement, dès lors que la politique, les pratiques mafieuses et des hommes d'affaires chinois s'invitent dans le petit village sans histoire. Le film devient confus et le scénario s'éteint à petit feu. On attendait une Asie centrale électrique et elle manque de jus, au fil des minutes. Coupez !
    islander29
    islander29

    755 abonnés 2 269 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2011
    un petit film qui ravira tous les amateurs de vie rurale et de portraits sociaux....C'est l'histoire d'un électricien dans un village du Kirghiztan qui est un homme précieux parce qu'il a des projets et est l'unique électricien du village...Valse hésitation du passé et de l'avenir, le film décrit de façon assez juste sans être poignante la vie de cette petite communauté qui convoite le progrès ...C'est assez sommaire et assez frais, entre quelques cuites et des dialogues incertains, mais c'est surtout la fin du film qui donne une émotion subtile au travers d'une scène iconoclaste, d'une femme déshabillée, comme un message de l'enjeu affectif auquel se trouve confronter les hommes de conviction....C'est frais, court (1h15) et exotique, alors pourquoi pas ?
    rpcine
    rpcine

    21 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2011
    Très joli film. L'intérêt de l'oeuvre ne réside pas tant dans le scénario en lui-même, mais surtout dans le fait que le réalisateur nous présente une culture, une authenticité, un autarcisme méconnus, car il est vrai que rarissimes sont les films kirghizes, et que ce pays d'Asie Centrale, aux confins du territoire russe, ne fait guère les unes de l'actualité. Le metteur en scène met en lumière un peuple de culture nomade, assez pauvre, pris entre maintien des traditions et nécessité de passer à un mode de vie plus moderne sans en avoir pour autant les moyens. Un film rare donc, de belles couleurs et une belle photo, voilà ce que nous réserve ce "Voleur de Lumière"
    Fbienne D
    Fbienne D

    13 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mars 2011
    Rien de tel qu'un film Kirghiz pour se rincer les pupilles. Une photo magnifique d'un pays pourtant ardu. Beaucoup de tendresse et d'émotion autour d"un personnage naïf et touchant, aux cuites monumentales. Et là dessus, une vision politique plutôt desespérée.
    J'ai beaucoup aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Petit film tourné avec les moyens du bord, mais plein de profondeur. Je rigole encore de la critique de Télérama qui déplore que lorsque A.A. Kubat "se pique de dénoncer mafia et corruption", cela nuit au film, à "la singulière poésie" qui en émane et à toutes ces choses si plaisantes et si gentilles qu'on voit sur l'écran, comme ces beaux paysages, ces ciels limpides et ces gaillards de mongols, solides sur leurs jambes et tellement vrais. Ben oui, les amis, c'est justement ça le thème. Dénonciation revendiquée, car Le voleur de lumière pourrait apparaître comme un conte de la tradition orale qui brusquement ferait irruption dans une réalité taraudée par le cynisme politique et l'inexorable progression de l'affairisme chinois. Sous sa bonhomie, A.A. Kubat nous parle de nostalgie d'un monde irrigué par la tradition, de l'humanisme désuet d'un petit traficoteur de compteurs qui ne veut pas que les vieux sans argent manquent de lumière, de modernité aussi, celle de Monsieur Lumière qui rêve de couvrir la plaine venteuse d'éoliennes. Problème : toute cette générosité n'est pas vraiment dans les projets des mafia sino-russes, et puis surtout mettre des éoliennes partout gâcherait le paysage pour les prochaines vacances de quelques étranges esthètes du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 février 2011
    N'ayant vu que la bande-annonce, je me dis "vivement mercredi !"
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 mars 2011
    Une bonne petite touche de poésie qui nous vient de l'est et qui m'a foi dénote bien avec les grosse machines en ce moment à l'affiche.
    Les meilleurs films de tous les temps
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