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    Ixcanul
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    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 juillet 2015
    Un film quasi documentaire, magnifié par des paysages superbes et la découverte d'une culture qui nous est très éloignée, mais qui est un peu trop contemplatif à mon goût. Certes le film est bourré d'humanité, en particulier quand il nous montre les relations mère / fille qui sont sans doute les plus belles scènes du film, mais le rythme très lent et les plans interminables desservent un peu ce film qui aurait pu être un vrai bijou (et qui le sera sans doute pour beaucoup).
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2015
    La surprise, et le plaisir de découvrir un film totalement hors routes goudronnées. Déjà, un film dialogué en Maya, ça vous interpelle.....

    Petite communauté guatémaltèque, ils survivent sur les pentes d'un volcan. Journaliers, ils cultivent le café pour le compte de propriétaires terriens. De plus, leurs terres sont infestées de serpents, de grosses bêtes agressives et terriblement venimeuses.

    Maria (Maria Mercedes Croy) a dix-sept ans. Elle est d'une beauté fulgurante et dérangeante. Avec son nez fin et légèrement busqué, sa bouche épaisse et ses yeux en amande inversée, elle ressemble étonnement à ces idoles, à ces statues mayas qu'on voit Quai Branly. On lui prépare un beau mariage -Ignacio, un veuf, fils des patrons! une aubaine pour les parents. D'ailleurs on se reçoit: les familles échangent moult gaillardises bien arrosées sur l'avenir du couple.

    Mais à cet Ignacio (Justo Lorenzo) elle préférerait Pepe (Marvin Coroy), un gredin qui boit toute sa paye mais va partir aux Etats Unis pour faire fortune, les Etats Unis c'est la porte à côté: y a juste le Mexique à traverser! Et il emmènera Maria. Enfin, peut être. Surtout si elle est très gentille avec lui....

    Ce que le film nous fait appréhender de façon remarquable, c'est à quel point ces pauvres gens sont désarmés par leur manque de connaissance de la langue espagnole. Ils sont tributaires pour toutes choses du traducteur, et le traducteur, celui qui parle à la fois l'espagnol et le maya, il est forcément dans le clan des patrons. Qui dira ce qu'il veut, ce qui l'arrange. Et on compare leur sort à celui des ethnies montagnardes du Vietnam, {avec ce surprenant cousinage dans la beauté et la créativité de leurs tissages!} dont les enfants sont tous scolarisés en vietnamien. Le communisme a quand même de bons côtés....

    Il y a beaucoup de silences dans le magnifique film, primé à Berlin, du jeune Jayro Bustamante, (dont on est fiers de savoir qu'il a fait ses études de cinéma à Paris...). Un peu comme chez Mallick, y a la nature omniprésente, sauvage, asphyxiante. Il y a le poids des superstitions: on va faire ses dévotions au volcan, précédées de quelques signes de croix. Et ce qui n'arrange rien, il y a l'alcool, un alcool blanc qu'on boit à la bouteille et qu'on va même faire ingérer dans une scène drolatique qui ouvre le film, au verrat trop peu empressé auprès de sa femelle. Maria, qu'on se prépare à vendre, regarde....

    Mais en positif, il y a la force des femmes. C'est la mère de Maria (Maria Telon) qui porte la famille, forte femme courageuse qui défend sa fille envers et contre tout. Et Maria qui essaye, maladroitement, de se battre pour échapper à son destin.

    A voir absolument donc, indispensable!
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    "Ixcanul", film guatémaltéque, est consacré à la description des populations rurales du Guatemala qui ne parlent souvent que le dialecte local, employées par les propriétaires de plantations de café. Ici, il est surtout question de Maria, fille unique promise par ses parents au fils d'un exploitant mais qui a des envies d'ailleurs...tellement qu'elle rencontre Pepe, un jeune ouvrier agricole qui compte émigrer aux Etats Unis...et que les choses tournent mal.
    Le film, à forte connotation sociale, est très habile dans sa description subtile de cette population dont la jeunesse est attirée par les lumières des Etat-Unis alors que la plupart de ses habitants des montagnes sont peu scolarisés et ne parlent pas espagnol (et encore moins anglais). On voit également comment cette population est "pieds et poings liés" aux possédants qui peuvent les manipuler à loisir ou les chasser de leurs logements. Les acteurs sont très bons notamment la jeune interprète qui joue le rôle de Maria , il y a un déterminisme pesant tout au long du long métrage.
    traversay1
    traversay1

    3 078 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 novembre 2015
    Maria, 17 ans, vit au pied d'un volcan. Elle a un amoureux mais est promise à un autre. Sa grossesse met en danger toute sa famille. Tourné en langue maya, le film possède une écriture et une mise en scène de tout premier ordre. Ixcanul est un film militant, certainement, mais sans pesanteur. Il ne tombe pas non plus dans le piège de l'exotisme facile même s'il est visuellement impeccable. On y décèle une multitude de sujets : place des indiens dans la société guatémaltèque, syncrétisme religieux, machisme, rêve américain, précarité dans le monde rural ... sans que le film ne ressemble à un catalogue. Malgré la noirceur de son intrigue, il y a quelque chose de lumineux et surtout d'authentique dans Ixcanul. La révélation d'un jeune cinéaste formé en France qui devrait faire parler de lui dans les années qui viennent.
    islander29
    islander29

    755 abonnés 2 268 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Un film qui a de bonnes intentions, mais qui ne décolle pas vraiment.....Faute je pense à un scenario qui s'éparpille entre des traditions trop peu poétisées (alors que le potentiel était évident) et une peinture de la condition féminine au Guatemala totalement hors sujet dans la forme et le caractère (ou pour le moins trop peu soulignée).......Pour le reste le film a l'intérêt de ses images, de ses costumes, de son exotisme sociétal, plus que de ses personnages dont les émotions semblent lointaines et mécaniques......Le réalisateur dont c'est le premier film a néanmoins le mérite de nous introduire dans le réalisme du peuple rural guatémaltèque......Je pense que le film est bon pour se déconnecter, son rythme est lent, ses personnages peu communs, mais tenez compte qu'il souffre des défauts surlignés ci dessus.....(sachez aussi que le volcan est censé représenté la femme qui s'éveille, là encore la métaphore est inexploitée par le scénario)......Avec cela, à vous de voir.....
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2015
    Grâce à ses acteurs (non professionnels) très investis, Ixcanul envoûte malgré quelques longueurs. C’est aussi l’occasion de mettre en avant un pays dont les –rares – films ne parviennent jamais aux écrans européens.

    LA SUITE :
    dominique P.
    dominique P.

    784 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2015
    C'est un film remarquable en tous points.
    Le réalisateur est un français qui a beaucoup de talents.
    Malheureusement ce film est très mal distribué.
    Il a reçu de nombreux prix, dont un au dernier festival de Berlin.
    C'est l'histoire d'une jeune fille de 17 ans au Guatemala, elle vit avec ses parents, ils sont paysans, fermiers et ils travaillent le tabac pour un riche propriétaire qui leur loue une maison.
    Ses parents et elle parlent le maya et pas du tout l'espagnol, ce qui sera un gros souci vers la fin de l'histoire.
    Cela se passe au pied d'un volcan en pleine nature, la ville est très loin.
    Le propriétaire en question souhaite se marier avec cette jeune fille, les parents sont d'accord.
    Elle aimerait bien partir avec son petit copain aux USA mais elle doit obéir.
    Son petit copain va y partir et la laisser, sans savoir qu'elle est enceinte de lui, d'autant qu'ils n'ont eu des relations sexuelles qu'une seule fois.
    Au début elle va cacher sa grossesse puis essayer d'avorter avec sa mère, mais cela ne va pas marcher.
    Puis quand cela va se savoir, le riche propriétaire va la rejeter et demander à ses parents de quitter leur maison.
    Ses parents sont formidables, ils vont la soutenir, ils l'aiment leur fille.
    Ensuite un drame va arriver bouleversant les choses : spoiler: elle va se faire mordre par un serpent, se retrouver à l'hôpital, on va lui enlever son bébé et lui faire croire qu'il est mort né et enfin le riche propriétaire va permettre à elle et ses parents de garder la maison et la redemander en mariage C'est le riche propriétaire qui a fait en sorte que son enfant lui soit enlevé pour être adopté. Elle est complètement anéantie et souhaite voir le corps de son bébé et pour cela elle va aller le déterrer et s'apercevoir que dans le cercueil il n'y a pas de corps. Avec ses parents elle va faire en sorte d'essayer de retrouver cet enfant mais le riche propriétaire, qui est interprète, va mal traduire exprès les conversations entre les parents, l'hôpital, les institutions, pour ne pas qu'elle retrouve son enfant. Elle se mariera avec lui et aura d'autres enfants plus tard mais en attendant on lui a enlevé son premier enfant.
    pierre72
    pierre72

    126 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 décembre 2015
    Ixcanul est un volcan guatemaltèque situé dans un endroit isolé du pays (et pour cause). A son pied vivent quelques paysans mayas, métayers exploités par des un peu moins pauvres qu'eux. Ils cultivent du café, voire du maïs, sur des terres ingrates ou infestées de serpents. Les quelques familles implantées dans ce secteur déshérité travaillent dur et s'entassent dans des constructions spartiates très précaires. La vie est rythmée par les travaux des champs et quelques offrandes au volcan, dieu local autant vénéré par la crainte qu'il inspire que par la supposé force qu'il peut produire. Maria, taciturne jeune fille, vit avec ses parents au milieu de ce nulle part et rêve d'évasion, de grande ville, de modernité sans doute. La seule possibilité qui s'offre à elle se nomme El Pepe , jeune ouvrier qui a l'intention de fuir en Amérique. Séduite sans doute par cette promesse d'aventure, elle va s'attacher à ce jeune homme, l'aimer, alors qu'elle est promise à un autre d'une classe sociale légèrement supérieure à la sienne. Les corps étant faibles sous toutes les latitudes, elle se donnera à Pepe et évidemment tombera enceinte ce qui ne va pas arranger les choses aux yeux de sa future belle famille. Commencera pour Maria un long chemin pour entre envie de liberté et résignation devant la perfidie de la vie.
    "Ixcanul" est un joli plaidoyer féministe assez contemplatif, trop parfois avec ses scènes un poil rallongées qui n'apportent au final qu'une assez grosse insistance sur l'ennui de vivre dans cette contrée pauvre. Les plans sont beaux, mettant en valeur une nature rude et assez hostile. Maria, l'héroïne, est à l'image du décor, taiseuse et taciturne, attachante mais un peu en distance avec le spectateur. La mise en scène, entre documentaire et fiction, m'a paru trop hésiter entre les deux genres et du coup empêcher une totale empathie avec le personnage. Mais le portrait de cette femme au regard tragique se trouve soudain sublimé par un rebondissement final qui en dit long sur la misère humaine dans ce bas monde,
    Un peu plus sur le blog
    velocio
    velocio

    1 158 abonnés 3 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 novembre 2015
    Du cinéma guatémaltèque, nous ne connaissons pratiquement rien. Nous avons des excuses : cela fait seulement une dizaine d’années qu’il existe et, malgré la présence d’un certain nombre de films de Julio Hernández Cordón et de Sergio Ramírez dans des festivals, les salles françaises n’en ont vu passer aucun. C’est donc "Ixcanul", le premier long métrage de Jayro Bustamante, qui ouvrira le bal. Ce réalisateur guatémaltèque a fait ses études de cinéma en France et son film s’est vu décerné le prix Alfred-Bauer lors de l’édition 2015 de la Berlinade, un prix qui récompense le film de la sélection apparaissant comme le plus novateur, que ce soit au niveau de la forme ou du fond. Pour ce premier long métrage, Jayro Bustamante, lui-même métis, a choisi de s’intéresser et de nous intéresser à une communauté maya dont la plupart des membres ne parlent pas l’espagnol et vivent dans des conditions difficiles au pied d’un volcan qui ne demande qu’à se réveiller. Un réalisateur prometteur dont on retient surtout la sincérité et la façon d’obtenir le meilleur de comédiens amateurs.
    Laurent C.
    Laurent C.

    237 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2015
    Il y a des films, a priori petits, dont les fondements s'enracinent dans la longue tradition des tragédies antiques et classiques. "Ixcanul" est de cela. Tout est réuni pour faire de ce film un insoluble drame cornélien où il est question d'amour arrangé et d'enfant illégitime, le tout dans un contexte politique et économique particulier. Le film s'ouvre sur le visage en gros plan de Maria, que sa mère coiffe d'une couronne très colorée ; la jeune-fille est d'une tristesse infinie et la mère tente de la consoler d'un geste tendre du doigt sur la joue. Le récit est lancé. On sait qu'il s'agira d'une histoire de mariage forcé pour des raisons économiques. En effet, l'adolescente est promise au fils des propriétaires de la ferme qu'occupent ses parents, alors qu'elle est amoureuse d'un certain Pépé, qui, lui, rêve d'un Eldorado aux Etats-Unis, là-bas derrière le volcan, où comme la mère dit si bien, il fait froid. "Ixcanul" veut dire volcan. Cette masse de feu gronde pendant tout le film comme une sorte de divinité, pour mieux appuyer le drame qui se déroule dans cette famille pauvre. Aucun espoir n'est possible dans cette vie-là, dans les campagnes du Guatemala, malgré la beauté quasi touristique des paysages et ces traditions incroyables, qui, pour nous européens, pourraient faire croire à du bonheur. Le déterminisme social et culturel habite ces gens que l'on regarde ramasser le café, élever les cochons ou les poules, et déposer au pied du volcan des offrandes pour chasser le malheur. Il y a de l'amour aussi dans cette famille. Si la honte, l'échec guettent les parents et leur fille, il n'y a aucune condamnation, aucune violence entre eux. L'amour familial domine les passions, et en cela, le film prend de la distance avec les grands drames antiques. Il y a même du Duras dans ce beau film, on pense ainsi au roman "Un barrage contre le Pacifique", sinon que cette terre que la famille cultive n'est pas démolie par les eaux de la mer mais par des milliers de serpents qui hantent les collines. Voilà donc un petit bijou franco-guatémaltèque, très inspiré, et surtout très digne.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2015
    Sur les pentes du volcan Ixcanul au Guatemala, vit et trime une famille de paysans pauvres exploitant essentiellement une plantation de café infestée de serpents. Maria, jeune fille de 17 ans, et ses parents sont des mayas. Ils ne parlent pas l'espagnol. Maria est promise en mariage à un homme, mais elle cherche à échapper au destin qu'on lui impose. Elle fréquente en secret quelqu'un d'autre et, bientôt, se retrouve enceinte. Sa mère demeure pourtant sa complice et son soutien. Mais il faut compter avec les coutumes, la religiosité et les superstitions qui conduisent à prendre des risques insensés. Quant à la misère dans laquelle vivent ces gens, elle peut conduire, elle aussi, à commettre des actes de folie. C'est un film impressionnant de naturalisme qu'a réalisé Jayro Bustamante. J'aurais préféré cependant que le réalisateur nous préserve de deux ou trois scènes réalistes et difficiles à regarder. 7,5/10
    Dkc
    Dkc

    21 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2015
    Ce beau film a échappé au biais du documentaire ethnique et a celui du misérabilisme melo pour raconter une histoire universelle qui parlera au cœur de tout frère en humanité.
    Loïck G.
    Loïck G.

    281 abonnés 1 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2015
    Ca pourrait être un film qualifié de sage et tranquille, posé avec sérénité dans ce décor guatémaltèque où une famille de paysans pauvres survit sans éclat. Le mariage de la fille avec un riche célibataire va momentanément les tirer d’affaires. Après, c’est la vie qui régit le quotidien auquel le cinéaste ne tente aucune entorse, même scénique. Sa lumière est naturelle et participe à cette alchimie humaine qui se répète chaque jour entre la terre et ses chimères. Aux rites d’un autre âge, pour avorter ou chasser les serpents. Les paysans parlent très peu, leur parole est discrète. Ce que respecte le jeune réalisateur lui aussi plus observateur que témoin. Les acteurs sont très bien, encore inconnus chez nous.
    Pour en savoir plus
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 décembre 2015
    Film envoûtant. Les personnages de la mère et de la fille sont merveilleux d'authenticité, dans ce rôle d'indiennes résignées et fortes à la fois. Leur plastique est fascinante. L'univers magique de ces peuples, au pied du volcan, est admirablement évoqué.
    Domnique T
    Domnique T

    55 abonnés 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    Un premier film guatémaltèque tourné en cakchiquel, c’est assez inhabituel … et le résultat assez académique pourtant. Une famille de journaliers d’une plantation de café survit comme elle peut à l’ombre d'un volcan (Ixcanul en cakchiquel).
    Au delà de l’histoire assez convenue, la description de la précarité de cette famille est poignante. Alors la spiritualité, l’invocation des esprits, la tendresse mère/fille prennent tous leur sens. Et c’est bien la force du film ; ce sens terre à terre des intérêts de la survie auxquels se mêlent les forces fantastiques ou surnaturelles. Les tensions célestes et terrestres se joignent pour donner a ce mélodrame familial une authenticité presque documentaire. Un superbe fil tendu entre des sentiments bouleversants et les conséquences d’une réalité féroce.
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