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Synopsis et détails
Of Time and the City est une chanson d'amour mais également une ode à Liverpool, ville natale du réalisateur Terence Davies. Ce film représente aussi la mémoire de ce qui fut et qui n'est plus, une réflexion sur le temps qui passe.
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
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380 abonnés
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0,5
Publiée le 10 mars 2009
Un documentaire d'une banalité inattendue qui repose essentiellement sur de fausses émotions... Of Time and The City atteint les sommets de la pédanterie et de la grandiloquence : des choix musicaux inadaptés aux images, une voix off emphatique proprement insupportable, un lyrisme dégoulinant de lieux communs et un sujet relativement inintéressant. Si piocher dans un dictionnaire quelques grands noms de la Culture relève de la poésie, ...
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Flavien Poncet
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167 abonnés
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0,5
Publiée le 16 juin 2009
Terence Davies est reconnu en son pays comme l’un des plus grands cinéastes nationales. Sa prudence à réaliser des films en fait un cinéaste parcimonieux, et par conséquence évènementiel. A chaque fois que sort un de ses films, la cinéphilie britannique est en effervescence. Tant et si bien qu’«Of Time and the City» (Grande-Bretagne, 2008) est apparu dans le top 10 de la revue réputée Sight & Sound. Pourtant «Of Time and the ...
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Urbain-F
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13 abonnés
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0,5
Publiée le 7 juin 2009
Si je devais noter ce film, je lui mettrais un "zéro pointé"... Pas une minute de bonheur durant la projection. Vraiment une horreur. Le pire, c'est la voix "off" qu'il faut supporter du début à la fin... une voix rauque et éraillée... apparemment celle d'un homme qui a été récemment opéré des cordes vocales. En plus le commentaire est un bric à brac de phrases toutes-faites sans intérêt. De toute évidence, l'auteur déteste tout ...
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velocio
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502 abonnés
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2,5
Publiée le 3 novembre 2009
Jamais un film ne m'a autant prouvé l'importance que peut avoir la musique sur la façon qu'on a de le recevoir : dans ce documentaire très personnel sur Liverpool, j'ai bien aimé les moments pendant lesquels j'avais des affinités avec la musique qui les accompagnait (Sibelius, Bruckner, Mahler, John Tavener, la belle version de "Dirty old town" par the Spinners) et je me suis ennuyé lorsque la musique m'ennuyait. A ce sujet, on notera une ...
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Cinquième long métrage du cinéaste Terence Davies. Même si ses précédentes oeuvres sont très personnelles, Of Time and the City est la première du genre documentaire. Qualifié de poème visuel, le film a pour modèle un classique de Humphrey Jennings, Listen to Britain.
Des producteurs convaincants
Solon Papadopoulos et Roy Boulter voulaient déjà faire un documentaire sur Liverpool quand Digital Departures a organisé un concours pour le financement d'un film dans le cadre du programme " Liverpool Ville Européenne de la Culture 2008 ". Lorsque Solon Papadopoulos et Roy Boulter ont contacté Terence Davies, dont ils admiraient les films, pour lui proposer le projet, ce dernier a commencé par refuser. Mais l'enthousiame des deux produ...
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Une oeuvre autobiographique
Dans son premier documentaire, Terence Davies reprend les vingt-huit premières années de sa vie à Liverpool avant son départ de la ville en 1973. Portrait très personnel de Liverpool, dont le narrateur est le cinéaste lui même. Le film est présenté sous forme de souvenirs, revisitant les lieux où il vécut, la communauté de son enfance, en faisant des allers-retours entre passé et présent.
Le cinéaste gay Terence Davis s'essaye ici au documentaire dans une oeuvre de commande sur la ville de Liverpool mais qui va bien au-delà du simple reportage. Par des chemins de traverses très personnels et parfois assez obscurs pour le spectateur en quête de linéarité, Davies nous parle de son enfance, et de sa jeunesse pauvre et catholique. Les images ne correspondent pratiquement jamais aux textes déclamés car il s'agit d'un travail sur la mémoire que Davies à de la ville. Parfois les images semblent coincider avec le texte comme celles e l'inauguration de la cathédrale ou davies nous raconte sa haine de la religion catholique. Il s'agit donc de correspondance et jamais d'illustration.Il découvre aussi l’homo-érotisme et la lutte contre la culpabilité judéo-chrétienne qu'elle entraîne. He discovers homo-eroticism, and it's tinged with Catholic guilt. Ses premiers émois musicaux pour la pop musique période Beatles est vite remplacé par son goût pour le classique,Malher en particulier. D'ailleurs parfois la voix s'arrête laissant place à d'impréssionnantes compositions classiques et à de superbes voix(Angela giorgiou...). l'utilisation d'archives en noir et blanc puis colorisés, un jour à la plage , Les avancés de l'après guerre qui apportent un certain bien-être mais qui est pour l'auteur d'une très grande laideur, des enfants jouant dans la ruefont pendant à des images de chômeurs et de précarité.Quand à la narration de Davies elle mêle étroitement de longues citations littéraires en prose ou en vers(Shakespeare, James Joyce, Freud...) et des textes sortis de sa mémoire. Une oeuvre foisonnante , une sorte de miroir de la pensée de l'auteur sur la ville ou il est né.