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    Bessie Love
    Métier Actrice
    Nationalité
    Indéfini
    67
    ans de carrière
    19
    films et séries tournés
    1
    nomination
    Les Prédateurs Bande-annonce VF

    Filmographie

    Les Prédateurs
    Les Prédateurs
    13 juillet 1983
    Reds
    Reds
    27 avril 1982
    Ragtime
    Ragtime
    6 janvier 1982
    Mousey
    Mousey
    Date de sortie inconnue
    Un Dimanche comme les autres
    Un Dimanche comme les autres
    22 septembre 1971
    Isadora
    Isadora
    Date de sortie inconnue

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    Commentaires
    • Plume231
      Bessie à Broadway (1928) de Frank Capra [img]http://1.fwcdn.pl/po/98/20/898...[/img] Synopsis : Un acteur célèbre, Don Wilson, perdu dans un recoin obscur de l'Etat de New York, assiste par hasard aux répétitions d'une troupe locale, les «Bolivar Players». Amusé, il se fait passer pour un amateur et décroche d'autant plus aisément un rôle que la fille du directeur, Ginger Bolivar, en pince pour lui. Le producteur de Don, Wingate, assiste au spectacle et décide de le programmer à Broadway, pour que les spectateurs puissent se moquer de ses travers qui le rendent hilarant. Don se prête au jeu, non sans remords, car lui aussi a été touché par le charme de Ginger. A New York, il est contraint de jouer un double jeu, tout à la fois l'amateur débutant et la star confirmée... [img]http://t3.gstatic.com/images?q...[/img] Critique : C'est léger, très léger donc ça n'a pas la profondeur des oeuvres futures de Frank Capra. Mais comme c'est léger, très léger, c'est une comédie très agréable à regarder. D'autant plus que le réalisateur possédait et maitrisait déjà à la perfection son sens du timing prodigieux. Son talent de mettre les gags en scène et la pétillance de la comédienne Bessie Love font le reste. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser dans un premier abord, c'est loin d'être un Capra impersonnel car on retrouvait déjà l'affection qu'il avait pour les gens simples et honnêtes des petites villes de campagne, et donc inévitablement son thème de prédilection qui est de les faire affronter le cynisme des gens des grandes villes. Résultat, indispensable pour les fans de Capra. Note : 13/20 (***) [img]http://4.bp.blogspot.com/_stba...[/img]
    • Plume231
      Broadway Melody (1929) d'Harry Beaumont [img]http://thinesclaude.wifeo.com/...[/img] Synopsis : Deux jeunes danseuses (Queenie et Hank, "The Mahoney sisters") déménagent à New-York pour jouer dans un spectacle dans lequel leur ami Eddie joue. Il est certain de leur obtenir une place auprès du producteur du spectacle, M. Zanfield, ce qui fut le cas. Eddie était déjà amoureux de Hank, mais à la rencontre de sa jeune soeur (Queenie) maintenant devant une belle grande femme, ses sentiments changent. S'installe graduellement un triangle amoureux dans lequel Queenie n'est pas du tout à l'aise et pour tenter de dissuader Eddie de poursuivre ses avances elle feinte l'amour pour un autre homme, un riche copain de M. Zanfield... [img]http://1.bp.blogspot.com/_dpAU...[/img] Critique : Deuxième film à recevoir la statuette suprême aux Oscars, "Broadway Melody" est, un peu à l'instar du "Chanteur de jazz", une oeuvre qui se distingue plus par son côté précurseur, dans le sens où c'est un des premiers films entièrement parlants et la première véritable comédie musicale, que par ses qualités artistiques. L'ensemble est très imparfait et on ressent bien que les appareils du parlant étaient sortis très fraîchement de leurs emballages. En particulier dans le jeu des acteurs masculins très guindé, des dialogues un peu plat et dans la staticité de la réalisation qui se ressent cruellement en particulier dans les numéros musicaux. Il ne faudra pas attendre très longtemps pour avoir beaucoup beaucoup mieux dans le genre notamment avec l'arrivée de Busby Berkeley. Reste beaucoup d'éléments intéressants qui apparentent plus le film à un canevas sur lequel on se servira beaucoup notamment sur le plan de l'histoire. Deux comédiennes (Anita Page et Bessie Love) absolument charmantes, quelques références amusantes dans les noms des personnages (Francis Zanfield pour Florenz Ziegfeld, Jock Warriner pour Jack Warner!) et un manager dont le bégaiement a dû inspirer fortement celui de Porky Pig, la chanson qui donne son nom au film et bien sûr son intérêt historique font de cette oeuvre pourtant mineure artistiquement une curiosité incontournable. Note : 12,5/20 (***) [img]http://4.bp.blogspot.com/_gUyp...[/img]
    • Plume231
      test
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