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    Ruggero Raimondi
    Métier Acteur
    Nationalité
    Italien
    Naissance 3 octobre 1941 (Bologne, Italie)
    Age
    82 ans
    40
    ans de carrière
    13
    films et séries tournés

    Biographie

    Ruggero Raimondi, baryton basse de renom se révèle un grand interprète de Verdi. C'est la réalisation du plus grand opéra de Mozart : Don Giovanni, filmé par Joseph Losey qui le révèlera en temps qu'acteur en 1979. Interprétation convaincante puisqu'Alain Resnais l'engage pour jouer auprès de Gassman dans La Vie est un roman (1983). En 1984, il tourne Carmen sous la direction de Francesco Rosi, entouré de Julia Migenes-Johnson et Placido Domingo. Il est le Boris Godounov d'Andrzej Zulawski (1989). Après plusieurs interprétations du baron Scarpia, l'un des héros de La Tosca de Giacomo Puccini, il reprend son rôle pour Benoît Jacquot (Tosca, 2001).
    Beaux-parents Bande-annonce VF

    Filmographie

    Beaux-parents
    Beaux-parents
    19 juin 2019
    Rigoletto a Mantova
    Rigoletto a Mantova
    Date de sortie inconnue
    Le Sanglot des anges
    Le Sanglot des anges
    7 septembre 2021
    Tosca de Giacomo Puccini
    Tosca de Giacomo Puccini
    Date de sortie inconnue
    Tosca
    Tosca
    14 novembre 2001
    Les Couleurs du diable
    Les Couleurs du diable
    22 janvier 1997
    Boris Godounov
    Boris Godounov
    13 décembre 1989
    Carmen
    Carmen
    1 juin 2011

    Photo

    Commentaires
    • Marthe H.
      Aprèscinq mois de soucis, cause : avaries d’appareils informatiques…Arrivele printemps & ses néo-envies !Avisd’averses de mots ! Pour cultiver les pensées, c’est pratique…Ferapeut-être renaître, ce que d’amères tristesses, ont flétris !Extraitde lettres. Essence de l’être…Rêvetoujours de ‘peut-être’ !Ah !Cruels sont les lettres, les signes alphabétiques…Sile phrasé inverse, s’introduit, il devient ‘être peu’…!Ah !Horrible est le mot !Desmaux, il est le pire du lot.‘’Peut-êtreou être peu’Làest le jeu, L@ est l’enjeu !Journal-romancé,1er jet, ne peut guère évoluer,Sansle regard inquisiteur d’un philanthrope.Erreursnon décelées, par le novice-narcissique, à coup sûr, son vers estropent…Larime, sabotent & l’élan, emportent !Souhaitexaucé, ne s’avérant jamais… Avéré…Seperdent, in the Ordinant, les Strophes.L’Alphabetéjaculant des jets de lettres dans le néant. L’attrait des mots, il ôte !Ah !Si vouloir c’est pouvoir…Désirdevrait suffire, pour saisir le savoir.Savoirpouvoir, c’est à mon sens, pouvoir concrétiser le vouloir.Vouloirpouvoir, n’est hélas, pas suffisant cependant,Sile désir n’anime pas cet engagement,Bienvite s’envole, le ‘veux’, du je ‘peux’,Quandle ‘peux’ réfute le ‘veux’.Illusoireest avoir PU…Bienpeu sera le résultat obtenu !Oh !Père. Page ou Phantom, La voix, qui stimule mon cœur,Agitemes sens, soulage mes langueurs.Cellequi embrase mes ardeurs, apaise mes douleurs,Estcelle d’un roi, qui à l’Opéra, est devenu un dieu.Achacun le sien. A chacun ses vœux !Cettevoix, est celle, que j’espère en ces lieux.Journal-romancédevient l’idéal,Pourexprimer des songes bancals.Rêveséveillés, d’éclopés cherchant appui,Ildevient, au fil des versos, un ami.Oh !Père. Page. Phantom ou Ami…Entendez ceci : Lorsque l’infortune embrume les pensées,Que,spectre falot et blafard,Dansla cervelle enfuméeSurgitle halot du sinistre cafard……Petitebête trotte, trotte dans la tête,Lesespoirs toujours, elle émiette….Quandtout trouble et rien émeut,Quanddans le cortex coule, des songes visqueux,Quandrêve rime avec déboires dérisoires,Quandon se sent veule et fangeux,Mouet vaseux…Onadage qu’on a les idées noires.Idées noires concept de la déprime,Peut s’avérer une nuit blanche, contexted’une rime.Vers,fait de mots ordinaire, s’encrent sur l’ordinant...Alignant le long d’un fil imaginaire, des sentiments.AhVain serait le devenir, de l’avenir, en ce sombre empire,Sivotre Présence, n’eût inspiré les lettres @ dedoux délires…Oh !Voix Divine,Celled’un Dieu, j’imagine. Sel des cieux, j’en devine…Elégance,prestance, aisance,Illumineles scènes de sa Présence.Lumièredu monde, enchante les ondes,Quela portée de ton chant, la terre, inonde.‘JE’Unique, Jeux scéniques,Ames yeux, il est magique.Oh !Silence et regret auraient été mes soupirs,Sije n’avais pu ici-bas, de son image jouir & de sa voix, ouïr.Oh !Absence et remord eût été mon existence,Sije n’eus été la proie, de cette circonstance…O-De-Làd’un fantasme, essence même du désir,Quela chair ne peut assouvir, Ô risque de le voir périr…J’eusseaimé, qu’il m’eut aimé, comme un être au-dessus de sa vie.Commeun authentique aïeul, aux prévoyant discours…Commeun frère craintif, à mes maux asservis…Commeune enfant, que l’on a dans ses vieux jours.DeVictor Hugo à Charles Gounod,Des« odes » au « Juliette & Roméo »,Quetranscriraient mes vers, que clameraient les mots…Quelautre Nom pourrait éveiller ces délires,Ceux-làmême qui évitent à mes sens de mourir…Quelautre patronyme,Pourraitanimer de mon stylo, la mine.Seulecette apostrophe, cette interpellation,Meprocure de singulières sensations.Sidésirs d’Anges, ne sont point vicieux,Louangesétranges, se veulent vertueusesSympathieparticulière n’espère pas mieux,Quecelle qui ici, rend la rime délicieuse.Ah !Voyez mes yeux, de grâce, Allure, Stature, Posture…Jamaisplus sûr, vous n’avez contemplé.Entendezmes oreilles, d’Harmonie, Son, Ton, Mesure,Jamaisplus pur, vous n’avez écouté.Gagezmes sens, sous l’extase d’un frisson,Jurezma raison, sous l’emprise d’une pulsion,Jamaisvous n’avez ressenti, de telles émotions.Oh !Nomination sublime, ranime la flamme, reteinte l’émoi.Acrosticheprime, le roi légitime de mon choix.Grugore Di romain est postiche. Artifice plein de malice,Empli de charme, il est pour l’ouïe, purdélice.Etincellepulse d’inertes prestations,Arecouvrer le feu de la passion.Intra-connexion,secrète liaison,Depuissept saisons, Ô diapason,Estl’unique source, de mes inspirations…Interprèteétrange de mes sensations,Sanscesse tout bas, Il enrôle mon imagination.Ah !Gru gore ! Qui pourrait croire à mon sort,Sid’un aveu, se voulant un peu fort, ‘je plantais le décor’.Conversation :Converse les ions.Unevoix solo, est monologue. Deux voix,duo, est dialogue…Troisvoix, trio, n’est pas trilogue, ni catalogueMaisla cata, quand plus de quatre voix, il y a.Attention !Ions sous tension, déversent un charabia.Là,voire un psychologue.Sinon,Attention @ l’attention, quand attend le ion……Quand patiente un lion, dans la constellation,Vierge& Balance, sont @ l’unisson !Aucaisson, faire attention ! Au dégât, attentionCacophoniede son, rend l’audition brouillon !Brouhahaincompréhensible,Estle tumulte des voix, la première fois.Vaguessubmersibles, ondes auditives successives, Éloquences virtuelles, se capturent en moi.Troisverves tour @ tour,S’invitentau discours.LePhantom, je le tutoie.Vous,je ne peux pas !LaPage, je me l’octroie.Elleest Moi !LePère lui, il est, ce Il ! Il est celui qui va !Ilest, ce Tu ! Il est celui qui viten moi.Ilest, ce Je … Quand je voudrais qu’il soit !Vousplaît-il… Seriez-vous celui-là ?Celuique la raison invoque,Etque le cœur provoque.Celuique la raison exige,Etque le cœur oblige.Lapensée est le moteur de l’action.Songesconcentrés, sous la pression de l’esprit,L’émetteurpulse au récepteur, l’ordination.Ondescérébrales enduisent le fil de l’avis.Fluidesconceptuelles, naviguent dans la nuit… Peu de temps, après minuit.Ah !Fiction ou potentielle vérité,Influesur les sens engagés.Lesmêmes qui, jadis Enfant, m étaient reprochés…Ah !Aveu d’expérience de sciences occultées,Etudesnégligées des livres d’écoliers…Conduittout droit à l’H.P.Lesilence érige des barrières. Mots absents. Maux venant,Emmurentles commentaires, atrope l’éveil d’adolescent.L’indifférencecultive l’insolence,&l’affliction favorise l’inappétence.Ah !Docteur… Chercher l’erreur !Sile ridicule ne tue pas, l’absurde lui, même au trépas.Dudébut à la fin, de l’alpha à l’oméga,L’apprentissagedu langage, vocalise la pensée.Aufil du temps passé, fleurissent les idées !Illocalise les sujets à exploiter, les thèmes à aborder.Ilfocalise les affinités, ce qui lui plait d’étudier…Lavie n’étant pas constituée de hasard,Ellese découvre & s’épanouie, à l’ombre des regards.Ellese fane & se tarie, aux vues des ‘rencards’.L’environnementcontribue à son évolution,Terreaufertilisant, plus ou moins, chargé d’érudition,Biensouvent ne favorise guère, l’éducation.Arrivéequinze jours avant le terme programmé, 125 jours après, père était DCD.Traductionlittérale, au sens propre comme au figuré :DevenuCadavre Dorénavant !Simulacreorganisé d’un mafieux, parti ailleurs la pilule se l a dorée.OU,Patiente patience silencieuse, attente d’un partisan…Allant,venant et un matin, revenant !Mortdans un état, vivant dans un autre,Frontièrefranchie, ne tue pas … celui qui de la vie, se fait l’apôtre.Quoiqu’ilen soit, un jour ouvré de janvier,L’endroitoù père exerçait, son activité de serrurier, a explosé !Del’immeuble boulevard Lefebvre, il en ait rien resté.Corpsdisloqués, mutilés ; Lambeau de chair éparpillés,Nefurent jamais identifiés. ADN, n’étant pas encore né.Faittroublant, fait inquiétant,M’entrainentdans un délire délirant...Ah !Si j’étais riche Men, je le ferais exhumer… Afin d’authentifier sa paternité.Avecles Morts, mieux vaut être prudent.A undéfunt, jamais personne ne s’attend !Interaction… de la pensée.Interruption...de la réflexion.MR20 (Suiten° 33 in the Journal des Patients.)
    • Marthe H.
      Aude à la Terre. Hymne à ma Mère !Mère nourricière, depuis desMillénaire !Vers réserves, dédiés au Enfants,Qui, faute de Parent,Débarque sur ce SOL, avec pour tout vêtement,Un statut d’Orphelin ! Venant- Entrant, entant qu’Enfant,Longue parfois s’avère, la route du bambin.Nombreux sont les vils compères, qui croisent sont chemin !Naissance n’est point mystère, juste fait de circonstances,Qui font d’une énigme, son existence !Quelle importance ! Tout le monde, a sa chance !Principe étant : pour Obtenir ! Il faut souffrir !D’1 premiers langes à la dernière couche, difficile de se retenir,Avant 2 ans ! Ce n’est pas, qu’on ne veut pas, dire.N’est pas évidence de déchiffrer… le langage d’1 BéBé. Du premier biberon, à la fin despetits-pots,Chaque fois qu’il y a besoin, faut manifester haut !Surtout quanta-A plein les couches, & que le nez mouche, Et la bouche tousse…Avant 3 ans, nos mots, ceux des Enfants,Sont ses songes-charmant, tissés de fil-de-soi,blanc !Il sourit d’une joie profonde, Ô images, qu’il voit !Nombreux apprentissage, en vue d’évoluer, il se doit !L’apprendrons à marcher, à parler,a devenir…Du moins, Si, il veut aller !Sinon au pire, un jour ou l’autre, il faut payer !Sombre est l’avenir, pour qui s’y voit mourir.Clair est le devenir, pour qui sait s’y tenir.Car avant d’ALLER, avant d’avancer,Devoirs étudies le VenirIl faut discerner les alentour,Pour être sûr, du Parcours, avant-d ’Aller !Car, chance … n’est pas Amour,Elle n’est pas toujours, bonheur !Sous Apparence-Rieuse,l’Aspect-menteur,Cache souvent, un malheur ! Une Vérité.Pomme empoisonnée, à toujours belle couleurs.Le poisson est toujours à l’intérieur.Toujours laisser première part au premier.Attitude-Généreuse, évite de trépasser !Ce n’est pas que doute se méfie…Mais bien d’autre, avant lui,Faisant fi de cela, non pas fini la nuit !Ne jamais rire de la misère d’un autre,Au détour d’un carrefour, de la misère,T’en deviendrez, l’Apôtre.Résumé-d1’enseignement,Acquis au fil du temps,En regardant,Passer les gens !Tout en Vers, Avec manière…Tout pour plaire,In the matière !In the Journal- « RoMenCé »Of the Journal-HospitalierSûr H.P formaté & H.Pcertifié…Trace les faits Ordinaires,D’un « être ou n’être pas »,In the système Solaire.Avant l’heure du premier trépas.Matière n’est pas à Juger.Juste les Maux, déchiffré…Pour voir ce qui ne va pas.Pourquoi, terre en Arrive, LA !Long & sévère parcours du combattant. Il est de chaque instant !Histoire de Santé, sur le chemin, 3 quatrains !3 en 4 et 4 en 1, ah ! Il en manque 1 !S’en vont conter, leur baratin,Sur un parchemin.333 nombre du divin.Chiffre porte-bonheur,D’1 R, qui est mien.Il en ait un, qui résonne de bon-cœur,Celui qui indique, le numéro d’un Docteur.N° 33 ! Allo ! Docteur ?33, tendez, j’mets le Haut-parleur,Ah ! J’suis sur le fil, …., de l’ erreur.Le 33 comme indiqué, est le numéro du domicile,D’1 qui a ah !... Au di…tablela résista ; il me vint la nausée !Besoin d’une Ordonnance pour un remède, passé.Celui qu’un de mes pères, il y a longtemps, à absorber.Histoires de plaisirs, point démodé,Pour quérir, cœur d’une Belle,A invoqué, a fait appel,D’un Eternel…& ce n’est point,Celui du ciel.Breuvage, lui fut donné.Apparence, il a changée.Et cet Aïeul, a pactisé !L’Acte, il a signé !Docteur, dans cette rue, je suis juste de passage,Ici est point chez-moi ! J’ai entendu d’1 appel, le message,« Au secours ! Aidez-moi… allo 632 écoutez-moi ! »Donc ! Je suis là, au N° 33,Rue J. Moulin.Pardon ? Quelle année… Pourquoi ?Ah ! Sommes, 4mois & 2 jours, depuis fin 63Cher médecin, pendant qu’au bout du fil,Je vous tiens, pourriez-vous avant que je ne file,M’indiquer, où se trouve le labo, de l’enchanteur-Merlin ?Il me faut hélas, ingurgiter cette mélasse.Pour comme feu, l’Ancêtre, DR Faust, allé en bas, voir ce qui s’ypasse !Histoire de cassette & de bijoux… Histoire d’époque, qui fait,Que là, est, la solution, de laclé de l’objet.Vous-dire, ce que c’est, ne sert pas à grand-chose,Et ferait votre humeur morose.Donc, il me faut voir dès à présent, l’Enchanteur-Merlin,Afin de de trouverl’Ensorceleur-Malin !Lui, pourra surement demander ödiable,Où se trouve Phélès,Car sans nouvel de lui, grand est mon stress !Le blessé ? Il est à mes pieds.Non. Le souffle vital l’a quitté !Inutile devous pressez.Ah !Pour sûr ! Il est sans vie.Rien n’estplus sûr que le moins sûr, qui règne ici !Voirapparaître, Phélès, in the champ-vision,Serait poursûr, ultra choc pour ma raison…Tout dépendà qui on s’attend ! Evidement !Dans unpremier temps, on s’attend à des vivants !Dans undeuxième, il apparait, qu’entre vivant-Il y a des morts…Des morts vivant, en autre état,Quin’appartient, pas au trépas !Là n’est pasle débat.Mais 1commentaire se Doit : Pseudo-identitaire,Permetailleurs, d’aller prendre l’air,De l’endroitoù, on a fort, ou eut fort, à faire.SimulacreOrganisé, n’est pas nouveauté.Depuis lesRois, en cas d’échauffourée,Il estprincipe de sureté.Dérivé d’uneprotection rapproché,Jamais nul,ne doit connaitre l’identité,De celui,qui est témoin protégé…Au risque dese retrouver,Dans de salesdraps…Allo !Docteur ? Êtes-vous là ?Bien ! Deuxminutes, je tire une chaise,Histoire de prendreaise, ne déplaise,En attente,du corps-Médical, des médecin-delà-mort.Comment ?Ah ! Non ! Confusion.Ce sont deslégistes, une qualification.Longue estla science !Nombreusesen sont les expériences,& lechangement de nom !Médecinelégaliser, plus besoin d’Aller,Dans lescimetières se promener,À larecherche de cadavre, afin de les étudier.Oglala !Comment le cas est grave ! Ah ! Vinci !Si tu savais !Comme dit J. Coffee - on rit,Pas à passur la ligne verte, on va !Sur laveuve-noir, assit.Eclairs-électrolyse & là,Paralyse, letrépas !Non !Non ! Pas vous Docteur !La remarqueétait pour celui,Qui parlanttout bas, à l’Intérieur….Ah ! L’Heure…20 h 41, Docteur.Ca va !& vous ? Pas de quoi ! Merci.Ceci-dit, ilfaut que je vous dise,Que mort esthantise !Dialoguerdans un combiné,Avec à sespied un ‘macabbé’,…… ah ! Juste un terme, guère employé chez-vous,& quichez-nous, désigne un trépassé, 1 DCD.Voulez-vous,vous l’expliquer ?Abbé, est en signe d’Effacement des Actions, perpétrées.Seule lamort, rendant l’innocence du nouveau-né ! BB& le Macest, pour Grand. Car Grand est celui, qui va au trépas,Sans baisserles bras ! Sans laisser son pas !Avec pourseul vision,Celle qui aitfait, cette occasion.Celle qui adevant les yeux.Un peloton, d’exécution,Dans unecours, … prêt à faire feu !Importe lamisère du monde,Cela ne Stoppas, la Bombe !Coin d’1feu, in the champs d’ossement,Dort aucôté, d’1 enterré-vivant !Rire de toutet de rien, fait le pouffe.Reste &ce qui vient, font la Bouffe !Enfant,chanson vantait de rime particulière,L’Aspect decertain cimetière !Entre lacouleur & le vermisseau,Extra-ordinaireen sont ses vers !Avec dejolis mots, décrire le pire des tableaux.Ilssoufflaient qu’ils étaient allés jusqu’à la mortPour voir siil ni avait pas encore, des crevés !Ils prétendaient, y avoir vu, Femme-Morte !Les vers,lui attaquaient, ses Pieds !LesAsticots, lui dévoraient son Dos,& leslarves se collaient à ses os !& sur sapeau, était inscrit,… 1 numéro !A chacun ses‘je t’aime’,& sesAdieux.A l’heure suprême,Il n’est delieu.Pourtraverser le miroir !A l’ombred’un regard,Sans haine& sans blasphème,Avec joie& avec peine,& lapensée d’1 ‘jeT’M’…D’1 regard,invite le Pas,A ne pasbaisser les bras…Ah ! Docteur,je ne sais …pas,Maissemble-t-il, IL a Bougé,Le ‘Macabbé’…Crack ! Ligne coupée !Conversationsuspendu…D’1 bout defil, bien-entendu !Un Convenufaisant le Malentendu,L’Inconvenanteface détendue,S’En faitl’Inter-prétation…expresse-sèment !Puisque,Convenu est entendu…Allons-y,bien-gentiment.Convention :Conserve d’Action : Le Cas !D’une conversede décision : L’Idée !Entendu d’unEntendement-Défendu,PuisqueAssemblée, l’Idée, y ai débattu !Entre- Là,l’idée-retenu,Reconnu parl’état,-in the Cas !Idée-Concept-Objet,Notion créée,Fait lapotion du Fût,Des règles& des expressions !S’Entendantà tout point de vue,Point devue… qui Allant-Vanormalement, normalement …Puisqueentendement est entendu !Semblent-Allant,vacille pourtant,En faveur dela déconvenue !Personnecontent ! Tout le monde déçu !Convenu seperdant dans, 1 ON C quoi ?Fait du : ON C quoi,Le malvenue,du propos tenu !Ah !Grugore ! Ah ! Cher docteur !Père ouPhantom, Ami d’Autre-fois !Est Mortelle dénie d1 Dit !& N’estpoint cruel, celui qui en Rit !Raison est +forte,Que Cœur quis’emporte.HandicapMental est aussi sûr,Que HandicapMoteur in the valeur sur !De R2-D2 àRobot-Cops, des téléguidés aux manipulés,Légions sontles rescapés de toute nation. Déambules tous les désarticulés !
    • Marthe H.
      Mon Cher GréGour, Alias Professeur Grugore de Rome…Nul besoin de discours,Si vous voulez votre Pomme…Venez donc LA cueillir vous-même.Entre Poires & Raisins, Variées sont les fruits d’un verger in the Jardin !Pour l@ croquer, Vous n’aurez point de peine, Elle a cent Pépins et est sans blême ! La Seine est claire dans ses veines,Et La Marne idem !Le Loir dans la Loire s’y promène. 1, 2, 3… nous irons aux bois,Avec le Serpent, le Dragon et le ChaT…Toutes trois balances, ma foi !Trop jeune est le Rat !4, 5, 6… manger des cerises de Serris…La Bigarreau est pure délice !Et le noyau pur malice !7, 8, 9 dans mon panier à œufs !Ici T’attend la Nassau neuve! PHO- 39Le Scorpion du néO-Millénaire, est passé !Encore 2 ans à piétiner avant la majorité !Le sage-vulgaire, n’est pas loin de trépassé !Fonctionnaire d’un petit état déglingué…Le capricorne Rasé, de 24 années, lui, vœux être Barbier !Et le Ver-Seau-Tigre désin-tégré… Du 15ième quartier,Totalement reconstitué ! 38 F Petit chemin de VauVertVille 18 OOO Bourges. Département Cher !La terre est bleue comme une Orange,Elle n’est point étrange, ni mystère, Mon Ange…Elle appartient à ceux qui l’arrangent, En gardant espoir! & veulent encore y croire!Paul, la Terre savait la voir,Eluard en connaissait le devoir !Génie en fin de vie,Rêve à d’autres mi- nuits …Au fond de son liT !Tant de suite à donner,..A vous la clé de ma cité!Fleur de Lys du Marais,Attend l'Iris qui lui plait!MR20L'ES-poire de demain.... !
    • M.HR??
      malade pas de l'imaginaire, n'a pas l'éternité devant soi...pour les sanglot à quand le début, ma fois,histoire de voir, avant de finir in the noir !D'Anke !
    • M.HR??
      JOURNAL HOSPITALIERDE George Sand à Allo-ciné.Annexe improvisée.A Mon Cher, ici,De-là, t@ Chérie,Altercation amical,Entre alter-égo idéal,Donne un Récital,Des plus, Originales !Vous êtes trait fort.Je suis point faible.Alter-égo, in the corps,En moi, je vous adore !Oh ! GruGore…Ah ! GréGour !Vous êtes le jour,J’en suis le déclinEn fin de parcours,Je suis votre jardin.Vous êtes l’amour,J’en suis le dédain.Pour le discours,Je suis vers, de demain.De l’aurore à la nuit,Vous êtes de mes pensées, le kidnappeur.De Minuit à midi,Vous êtes de mon Esprit, lebaladeur !Vous êtes lumière,J’en suis lueur.Particule élémentaire,Je suis votre bonheur.Vous êtes l’éclat,J’en suis las.Alter-égo in the moi,Chante sa voix.Vous êtes merveille,J’en suis éveille.En veille, la vielle in the vieux,A nous deux, Merveille sera leMerveilleux !Ah ! instant-bonheur fait lesuivant moins chanteur !Histoire de peut-être, d’un délire sefait précurseur.Plus de ‘peut-être’… ni de, pas être,Il est 1 temps, ou Si tu ne peux,être, à présent,Etre peu, tu seras, dès maintenant.Alphabet, est la Bête de L’Alpha !D’1 Jet, D’1 Trait, il installe le Bêta !D’1 appel, D’1 Pas, Arrive le Sigma !Pas de pot ! Il est BO, mais il est Idiot !Le Gramme ! J’ai !Il a le Graal !Des mots, j’ai le jet !Il est le final !Entre le poids & le volume…Vierge, je suis ! Il est Balance !Folle-Nature ! Correct-Rature !Point de chance ! Je vous le Jure !Je suis le fil ! Il est l’aiguille !Ancre, je suis ! Couleur Marine il est !Masse, je suis ! Fluide, il est !Enclume, je suis ! Plume, il est !DON-Giovanni a la liste de ses conquêtes,Moza, a le livre des recettes !Moza comme les œufs … les œufs mimosas,Cela se prononce pareil …Mais ne s’écrit point idem !Ah ! Sourit ! Rire de John coffee,Éclate in the Nuit !« Ô pays de Souris-ville »,Moult Wonde…, il est gentil !DE George Sand à Allo-ciné.Annexe improvisée.A Mon Cher, ici,De-là, t@ Chérie,Que nul ne voit !Même celui qui treille, au fond demoi.Que nul n’est pas !Même si la loi est pour tous,trépas !DE Roland-Louis-Auguste…. D’unebrèche a un roi,Advienne ce César, pour suivrel’honneur de son pas !Ô ! A toi ! Toujours à toi !
    • M.HR??
      JOURNAL N ° 2Pensée tara busque la caboche…Le peut-être accroche… Le doutes’effiloche.Le pourquoi pas reproche &l’éventualité approche.Ah ! Le cas est moche, mais cen’est encore la catastrophe…Juste l’occase pour déverser quelquesstrophes.In spi ration,Est ration de l’imagination !L’image en action… anime lasuggestion.Il arrive que pour x raison,L’Idée suggérée se fonde, dans la situation crée,Générant ainsi, une fausse réalitéd’un semblant de vérité…Mais idée toute bête, trotte, trottinedans la tête,Et si c’était vrai !Suggestives suggestions Interpellent,l’évocation.Fragments de phrases étalent,Sur le papier, des mots acéphales…Maux de crâne, mots de tête, sanstête, s’entêtent,A émettre, sans que raison s’ysoumette, des épithètes.Oh ! Bon roi Dagobert !Dormez-vous encore ?Allons, allons ! Déjà dehors,paraît l’aurore.Fragments de phrases étalent, desmots acéphales…Rappel mémoire, directive mental, deslignes latérales, À mesure de l’écriture, s’emplissent dedétails.Childebert à Saint Denis,Posa première pierre sur le parvis…Dagobert l’embellie, ses ailesagrandit !Porte Paradis, dixième arrondissementjadis, de Paris.Treize siècles à peine écoulés,Phantom à l’opéra prit ses quartiers…Secteur voisin de celui ou je naquis,un demi-siècle après…4 mois 2 jours qui s’en suivit, Pèredisparait, in the quartier…Juxtaposée de celui où il est né.Jamais ne fût identifié,L’homme à la montre cartier.Farce du destin ? Blague de ‘Pantin’ ?Toujours est-il, les maux vont bontrain…sur le chemin.& les autres sont pleind’entrain… in the calepin.Saint Eloi a la loi. Saint Pierre adeux clés…Saint Martin, le remède & SaintPaul a l’épée.Clé du sol est boussole & lesémaux mérovingiens !L’idée même affole, Si, elle nes’avère point frivole.Instrument de repère, rossignol… unpôle, auréole.Clé de voûte, point positionne in theconstellation.Entre réalité et fiction, se crée lasituation !Si la clé est énigme, le serrurierest solution.Vision analogique d’une filiation.J’Suis une ‘vieille ‘Femme’,Qui connus beaucoup de drames,Calculée par un médecin savant,Je fus ‘fabriquée’ par un serrurierde talent.Oh ! Père, Page ou Phantom ! Similitudes de l’histoire,Forcent la certitude à croire.Troublantes coïncidencesForgent l’évidence.Orpheline-anonyme, d’un père sansfaciès,Visage ôté, corps écrasé sous destonnes de béton,‘Identifié’ sans être authentifié,Etre méconnaissable, portait-il sonnom.Est-il vraiment DCD dans ceteffondrement,Quand dans mes rêves oppressantsd’enfant,Toujours la dalle se soulève,lentement.Flot de lumière jaillissant,L’homme vêtu de noir, sort vivant decet encombrement.Mots, notes trottent dans la tête.Voix d’un père, appelant son enfant ?Fibre paternel, lien de sang, c’estbête, réveillent peut-être, des sentiments.Enfant du silence communique @distance avec l’être inspiré de l’absence.Voix d’un père, ‘force le destin’incite @ faire convergence.Seule la véritable histoire de‘Juliette & Roméo,Accroîtrait tout à fait ce propos.Du XIV au XVème25-01-1939, Il naît…15-01-1964, Il disparait !Entre ‘naître & disparaître,Faut –il un jour paraître !Ah ! Être ou ne pas être.Si ne pas être est, être n’est pas,A quoi sert de naitre, in thecas !Dans la carrière, il se promène.Boulevard Lefebvre, il se démène.Sous le pont Grenelle, coule laSeine.Au père Lachaise, sa marche le mène…Nul ne sait qui il est, ni où va sonpas !Phantom toujours vient, vit, va, àl’Opéra.Paris est sa lie,Il erre au grès de ses envies.De vingt noms, il se vêt,Sous cent visages, il apparaît.Mort il est,Vivant il va, … produisant son effet.Hors-là, il vit ici, miroir d’unreflet.Germe humain venu de Loing.Le Rhin est son bassin & le Ruhrson voisin.Un jour-ci, un jour-là, un peupartout ici & làLa lune, toujours éclaire ses pas.Homme sans faciès, visage ôté,Masquée est la beauté !Nier l’existence du Phantom,Serait avouer n’avoir pointd’esprit !Tout corps, toute matière, sedéfinies en atome,Capacités sensorielles limitées,Occultent du spectre,l’effigie !Phantom est ‘vivant-passé’ & feu futur !Esprit-présent, pas encore traittiré,Monde transitoire, en mode aléatoire,est ici-bas, augure.Maux de crâne, mots de tête, sanstête, s’entêtent,A émettre, sans que raison s’ysoumette, des épithètes.Ah ! Réveilles-Toi Soleil !Fait pâlir ces étoiles qui sur unetoile,S’étalent impunément, brulant lefirmament.Ah ! Lèves-toi Soleil !Raie, de grâce, ces sujets quivoilent,L’avenir naissant, de notre chair& notre sang.Ah ! Viens, Astre pur & charmant.Pour que chance soit au futur venant.Viens, parais ! Le vent estcolère. L’air est tonnerre.Il n’est guère temps, d’attendre pluslonguement.Viens, parais ! Avant que Terrefinisse poussière.Maux de crâne, mots de tête, sanstête, s’entêtent,A émettre, sans que raison s’ysoumette, des épithètes.Bientôt Mon Roi apparaîtra.De sa lumière, le sol resplendira& toute l’humanité,tremblera !Bientôt Seigneur apparaîtra.De par sa voix, la terre grondera,& l’univers tout entier,s’éboulera. !Seigneur, il est mon Roi !Seigneur, il est ma loi !A l’aube de cette aurore-là,Mon être, sera plus là. Mon cœur en lui, palpitera !Don d’Organe sera honneur,Souffle vital insufflera.Remède au Seigneur,Prolongera les heures !A cet instant l@,Pour qui « A çaira ! »,Il fera le bonheur,Des jours meilleurs.Pourquoi raison légitime-t-elle,L’idée de nos gènes, fussentcompatibles ?Pourquoi l’idée persiste-t-elle,S’évertue à rendre l’acteplausible ? Ah ! Donner son cœur sans raison,Serait bientriste abnégation… Interpelle l’affirmation !Le cœur a ses raisons que la raisonignore.Il en va de même pour laraison !Elle a ses raisons que le cœurignore !Les mots filent, au rythme desmotions susurréesLes maux s’extirpent, au fil descommentaires publiés.Libre-expression n’étant pointcensurée...Au nom de la liberté chérie, quirégit ce paysPourquoi empêcher les voix internes,de deviser ?Cacheton- bâillon, camisole desinterdits…Pourquoi freiner, le souffle del’esprit ?Pourquoi aliéner les mots dits !Un jour, ‘overdosés’ de maux à taire,et des autres à soustraire.Les voix usant de leurs lettres,émulsionnent le symposium.Elles se fixent & s’enfilent surle fil de la conception.Un jour, rêvant d’évolution, ellesfinissent in the équation :Rêve + Evolution = RéVolution !Commentaire in action… Explosel’ultimatum !Petit délire toujours en moi…Qui est la voix ? Qui estlà ?…Qui est l’@? Dites-moi ?Si est, ce que je j’entre-voies,demain sera fait d’autres matins…Et si cela n’est pas, chacun détient,en soi, un hologramme d’une fin.Pensées pulsées sensationniste,toujours in the cabèche, se nichent,Qui est la voix ? Qui estlà ?Ce n’est pas vous, ma foi.Qui est là, qui est l@? A qui mémo, j’envoie ?Divagation aléatoire, digressionprovisoire, font des mots, le baratin.Qui est là, qui s’affiche ? Qui les mots, défriche ?Qui en moi, se niche ?Quoiqu’il en soi,Père, Page ou Phantom, la voix, quiouvre mon cœur,Eveille mes sens, soulage meslangueurs,Celle qui embrase mes ardeurs &apaise mes douleurs,Est celle d’un roi, qui à l’Opéra,est devenu un dieu.Elle est celle-là, que j’espère ences lieux.Journal-romancé devient l’idéal,Pour exprimer des songes bancals.Rêves éveillés, d’éclopés cherchantappui,Il devient, au fil des versos, unami.Cri du Cœur est-il Raison ?Car si Raison est Cœur, … Ö Diable,la chanson !D’ans l’Antre de la Bête, Belle en esL ‘intonation.Si mon ton, vous déplait,Vôtre teint, lui est parfait !Dit la Bête, au BÔ,Qui lui tournais le dos ! A Bien-tôt,Cher Ruggero.
    • Marthe H.
      Logique sans logique fait l’être sanslogis!Mal lotit par cet esprit, lettress’écrient :L’absolution pardonnant tous lespéchés, Le paradis est surpeuplé !Absoudre n’est pas résoudre.Innocence devient trouble.Pardonner, n’est point changé…Attention ! Les Anges sont endangers !O ! Cher Ange ! Que tessanglots, me semble monotone !A ! Voilà l’Etrange ! Avecdes rires qui fanfaronne,Des mots qui tourbillonnent &d’Autres qui bouillonnent !JOURNAL N° 1Toute chose a une histoire.Tout objet à une mémoire.De leur conception à leurutilisation,Au fil des saisons, des manipulations& des générations,Elles & Ils se platinentd’émotions.Farce du destin ? Blague de ‘Pantin’ ?Un jour à la croisée d’un chemin,Un écart du hasard à notre égard,Le soumet, à notre regard.S’accapare alors, l’impression d’unesensation.Échange standard, n’est pas avared’information…Sur le Sol de la Terre, sous lesstrates du planisphère…Du fossile à la pierre, dort métauxet minéraux, depuis des millénaires.Façonnés par l’homme, matièrepremière devient, au fur du temps,A mesure des ans, ustensile ordinaireindispensable à ses occupants.Si l’existence parfois énigme s’avère,De nos jours la vie elle, n’est plus mystère.Deux milles quinze, esquissé.Vingt et unième siècle, hypothéqué,Troisième millénaire, étrenné,Dans quantité de domaine et nombreuse matière,Somme de secrets, ne sont plus ignorés,Depuis un zéro pointé… Pour point de repère !Terre ! Terre ! Terre !Mère Nourricière, source de vie. Unique tu fusengendrée !Née de la gravitation d’un amas de poussière,Générée lors d’une explosion stellaire,Il y a six milliards d’années !Ta position au sein du système solaire,Dans l’océan galactique, est privilégiée !De la goutte d’eau à la pierre. Des cristaux aux minéraux…En passant par les végétaux, les animaux…Toute chose in the sphère, est constituée de matière.Multiple sont les atomes, qui en composent l’univers.Choses inertes ou alertes inspirent à la découverte,Quant à nos sens, elles sont offertes.Objets usuels ou insolites, à notre vue apparues,Eveillent parfois, un intérêt inattendu.L’Histoire de l’Humanité est faite d’actes renommésD’exploits répertoriés et d’anecdotes ignorées.Faits historiques certifiés, récits populairecolportés,N’ôtent en rien, les actions diverses occultées…Qui peut connaitre l’effet d’un objet,Quand celui-ci parait inerte et sans vie.Qui peut soupçonner l’impact, qu’il aura sur nos vies,Quand on ne sait, ni d’où il vient, ni ce qu’il est.Oh ! Suspicion ‘poisse’, un évident reflet !Intime conviction, désigne à qui il est !Souvenir du premier regard est intact, in the mémoire.Mais problématique. C’est l’année de l’ an ‘noir,’Celle qui amorçait, la fin de ma vie sociétale.Douloureux est le rappel, de cet Hivers fatal !Ah ! C’est là que je trouvais l’objet,Semblant dormant, sur le fond d’un coffret,Dans la chambre ou personne ne venait jamais,Ne venait plus jamais.Histoire d’un pendant, quej’imaginais boussole.Instrument de repère, pour ne pasperdre le nord.Fut-il vrai, que l’idée même affole,Si, elle ne s’avère point frivole.Ah ! Triste sort !Si la pensée se permet d’accepter,Ce que la raison refuse decautionner,Il est futile dans cette condition,d’espérer encore,De mon état, une totale guérison.Entre espoir et abandon,Sur les lignes s’interjettent desintentions…S’introjectent des attentions.Entre rébellion et soumission,Les maux soulignent l’inclinaison.Faut-il les mots dire, les clamerd’un trait,Même ceux d’un caractère plus secret…Ou les ensevelir à jamais, dans dediscret regret…Quitte à désavouer un souhait.Oh ! Peu importeAutant que la page, les emporte.Page s’étalant sur l’écran, devientconfidente,@ Mesure que se macule la confession,Sur le fond blanc de ‘l’ordinante’…Machine @ écrire performante !Minuscule & majuscule, alignentles déclarations,Attisent d’étranges sensations, augré des révélations.Présentation.Qu’importe le jour, en ce mois deMars, de cette année,Dans quelques heures inévitablement,il sera achevé.A l’horloge du temps qui m’estalloué, sur ce sol séculier,Un demi-siècle s’est écoulé …Depuis qu’un matin de septembre, àsix heures trente,Il m’ait d’une mère sommeillant, libéréedu ventre.Césarienne, je suis. Par cette voixdonc, je naquis.Parus en vie, @ un homme, j’ai souri.Ah ! Saint Denis. Porte Paradis…Dixième arrondissement jadis, deParis.Ah ! « Saint Denis !Que trépasse, si je faiblis !Devise familière, d’anciensmonarques de ce Pays.A chacun son heure. A chacun seserreurs.Côté bilan-perso, autosatisfactionsest leurre.Entre pensées rieuses et hauts decœur,Remord de n’avoir pas su etregret d’avoir dû,De sous-entendu, gonflent les momentsvenus.Temps efface les traces, du mauvaisgout,Des mauvais sorts, des mauvais coups.Il cicatrise tout. Il vient à bout,Des illusions perdues & dudégout.Cartésienne je vis ! Rienn’étant flou !S’il faut amuser le temps qui passe…Avant que le souffle vital trépasse,Carpe diem j’écris. Présent fugace,Instant crucial, moment de sursis,Cherche la rime, reste plein d’envie,Sinon gare à l’ennui. Mortel, ilest !Les mots sont répit, ils mettent enappétit…Qui sait ? (Demain verrapeut-être le livret……Que j’ambitionne en secret.)Résolution.Réveille les solutions qui mettent encondition.Tentent l’inspiration. Existentl’imagination.Motivation @ son comble, activeral’ouvrage.De rime & de vers, la feuille segarnira, bien davantage.Délires de lettres.Forgent les Rêves de l’être.Parfois, s’interroge ma personne.Qui ? Les mots, souffle.Qui ? Les mots, fredonne.Oh ! Mots expirés ! Mots divulgués !Sont-ils de lui ? Sont-ils demoi ?Ah ! Il est permis de douter,Quand trois être, paraissent en moi.Ils sont Là constamment, parlant toutbas.Toujours chantonnent leursvoix !Toujours elles résonnent, avecéclat !Oh ! Brava ! Bravo !Brava !Lettres, essence d’un mot, alignent sur une ligne un phrasé.Elles expriment ce que l’imaginaire, aime commenter.Entre le haut moyen-âge de Victor Hugo (Frollo etQuasimodo)& le bas moyen âge de Charles Gounod (Marguerite et Méphisto)…Il y a le moyen moyen-âge, & ses duos !Temps Capétien pour les premiers nommés.Temps mérovingien pour les seconds, cités.Temps Carolingien pour le dernier désigné.Bien illusoire... Est le savoir !Secretsde Rois, sont trous noirs, dans les livres d'histoires.Si terribles est l’effet des mots quand d’un Email,Ils vous assènent, le mot de trop, le mauxfatals !Aussi terrible sont les maux, quand d’un émail,S’injecte un mal insondable. Il réveil des entrailles,Ce qui y sommeil…Le dernier mot du final !Souffle d’air, souffle du vent, toujours file lecourant.Mort n’est pas trépas, pour qui dans un autre état,erre vivant.La connaissance véritable de l’histoire de ‘Juliette& Roméo’,Accréditerait tout à fait, ce propos !D’une fiction empreint d’unetroublante réalité,S’envisage une curieuse finalité.Force de constater,Celle d’une cruelle rivalité.Terrible dualité.Orpheline d’un individu-anonyme, lesgènes sont mémoires.Fille légitime d’un inconnu-reconnu,les traits sont miroirs.Si on peut changer d’un être,l’apparence,On ne peut cependant pas, en changerla semence.Chemin faisant, j’allais venais.Allant venant, le chemin faisait.Vision ou phonème ! Image ouson !Tout est question ici,d’Interprétation !Manifestations technologique !Question technique, question logiqueA l’heure actuelle,Point besoin d’être @ côté, …du sujetde l’appel.Téléphonie mobile, par millions, sediffusent les ions.Extrait de discussions, fusent lesconversations…Tout est, question d’Interception.Jeanne à son roi, dut porternouvelles,En ce temps-là, n’existait pas laDSL !Mais d’où proviennent cesnouvelles ?Qui émet ses notes, ses motsconfidentiels ?Là, est question.Qui pousse à se faire, soi-mêmequerelle,A propos d’un commentaireadditionnel,Face @ d’occasionnelles révélations.Autosuggestions, annexent-t-elles laraison,Quand de la pensée, elles deviennentobsession ?Pensées qui n’ont pas lieux d’être,Dont en vain, essais de se défaire latête…Mais beau faire, rien y fait, lesidées s’entêtent,Quand l’une d’elle, sans cessesusurre, un peut-être…
    • Marthe H.
      Ah !Projet ! Substance existentielle.Essence naturelle d’un désir en veille. Espoir d’une quête universelle,Il est cette appétence qui conduit, àse sentir utile ! À se croire, en vie !Attente d’évolution face à une situation, n’étant là point proscrit,Il est permit de patienter ici, des jours meilleurs…Embaumés d’inédites senteurs...Rayonnant de mille couleurs.Oh ! Soupir.S’il ait un devenir à venir, pour qui sait, @ son projet tenir,Il va de soi que dans certain cas, cela porte à sourire…Quand moult épreuves, s’emploient à l’anéantir.Récidives adversités, font déviés fatalement, le dessein fixé.Il faut dès lors s’accrocher… pour ne pas dire s’Agripper,Afin de ne point lâcher prise de l’objectif fixé.Mais quand la réalité devient fiction, la réussite illusion,Inutile de se mentir, triste en sera la conclusion.Maux qui rongent. Mots qui s’adultèrent.Maladie & soucis, l’être ulcèrent.Quand ils mutilent les envies…Contusionnent l’esprit…… Reste alors, la vision d’un délire,Pour finir… MdR… Mort de Rire !Page blanche, feuille vierge ! Un être étrange émerge.Blanche feuille, vierge page ! Valet noir s’immerge.Ultime étape, dernier état, ensemble convergent,Vers celui dont la pensée, ma raison submerge.Ah ! En vain ! Bien mal engagé est,Ce que j’ambitionnais livret,Quand la personne à qui je le destinais,De la scène aujourd’hui, est en retrait.« Vouloir c’est pouvoir », parait-il !Aberration d’une affirmation, se profile.Vouloir ! Oh ! Je voulais et je voudrais !Pouvoir ! Ah ! Je ne sais, ne savais & ne saurais !Jouer des mots. M’enivrée de lettre,A fait naitre en mon être, des tonnes de peut-être…‘’A mis en moi, un émoi…! Ah ! Moi + moi égal un + un…Bis ! Nous voilà un de plus maintenant. C’est malin !’’Nous étions trois, nous sommes maintenant quatrain !4 en 1Désir d’histoire romanesque.Pour changer d’R, pour changer d’être,D’un crédule délire, se dessine l’arabesque,D’une vérité difficile à admettre.Quand souffle l’Oméga, vient l’R de la fin.Espoir sera vain, si ne vient, mon Mérovingien.Ah ! Motivation. Laitance originelle,Abreuve l’envie de concrétisation.Ah ! Cata-Strophe personnelle !Fécondes calamités, fustigent la résolution.Crédibilité ! _ Vraisemblance des faits, ‘flingue ’l’Imagination.Le vrai prenant aisance, le semblant disparaît.Vicissitude ! _ Fréquente variation, ‘déglingue’ l’Inspiration.Le jet du départ, perdant son effet. …Les mots sont en arrêts !Mots farceurs,@ L’évidence, sont moqueurs.Ah ! Horreur ! Jeux de mot rend le je ‘idiot’Stop l’ardeur d’un élan, le bonheur d’un saut.Ils sont du ‘rimailleur’, le fléau.Comme une info-catastro-perso,M’avertit, via intério-cérébro, in vitro in têtio,At-tention !!! Ton esprit se capte ailleurs !Dentelière de la pensée, INTERférences,D’un fil, ne font point le bonheur.Pas de chance !Elle coupe NET l’emportement, me laissant las & songeur.Lien coupé... Ah ! Déficience ! ‘Défi de science’, ‘Science du défi’ ?Ou simplement… ‘Science, de lui, se défit’…Signifiant, la connaissance, de cet être a fui.Le laissant seul, devant une feuille blanche, anéantie…Ah ! Malheur !En l’absence de capacité a rédigé l’écriture d’un livret,Qui, à l’image des interprètes, se doit d’être parfait,& qui hélas, n’a de cesse de défiler…tout en se défilant.Aspiration probante, germe d’un premier essai…Aille, vaille que vaille, à la place un journal-romancé,Comblera l’insuffisante disposition de mon état de santé,En masquant le manque d’aptitude, dont je suis la proie,À transcrire ce qui m’agite tout bas.En cela & pour cet aléa, pardonnez-moi.« Maux chroniques de l’être schizophréniques, »Journal-romancé constitué d’actions avérées,Et d’autres suggérés. Faits divers d’une vie ordinaire,Se réitère au fur & @ mesure, des découvertes constatées,Au fur & @ mesure, des caractères imprimés.Personnes imagées, ne sont ici pas imaginaires.Juste représentées d’une manière, imaginées.Personnes étrangères à ma connaissance,A qui je ne saurais, faire offense.Doigts pianotent sur le clavier, libèrent les lettres sur le papier.Mémoire radote des chroniques amères, des souvenirs désapprouvés,& commémores ceux, qui lui ont fait oublié, les désavoués.Parler de soi, c’est raconter les autres…En cela, nous sommes tous bon apôtre.Mais relater sa vie, c’est mettre aussi,En péril celle d’autrui.Deviser sur sa misère, est puéril…& sur celle des autres, incivil !In the CAS… évitons cela…Ôtons des maux le mot tracas !Il ne m’est guère cependant plus aisé,D’imaginer un roman, une histoire inventée.À grand coup de plausible, a renfort de crédible,Intrigue probatoire, périple éligible, Annexe une part de réalité. L’être s égard, in the virtuelle société. L’entrainant dans des songes destructibles, L’emportant, in the attitude rémissible.Ah ! Fiction née d’un fait authentifié, N’a ne cesse de s’incruster. Ah ! Malade de l’imaginaire.Songes éphémères, modifies sans cesse la manière de faire,Laissant @ la traine, des envies singulières.Reste @com.menter, pour garder le fil de l’idée,Cet objet posé sur le fond d’un coffret,Dans la chambre où personne ne venait… jamais.Pour porter, ce que les sens tentent de formuler.& comprendre, ce qu’ils semblent renfermé…Objet mystère, a une histoire.Énigme de nos pairs, une mémoire.Seule prétention, avec des mots s’amuser,De ceux, qui notre-être, au fil des ans, ont dénué.Pensées pulsées électromagnétiques,Diffusent des ondes endémiques encéphaliques.Si entendre des voix résonner en soi, est maladie…Tant pis ! Bien d’autres sons, sont virulente endémie.Aujourd’hui, celle qui murmure en moi, me ravie…Rémission par l’écriture peut s’avérer belle aventure.Vision d’une portion de futur, cicatrise les écorchures.C.a.D.e.V. : Communication à distance entre vivant.La schizophrénie comme la télépathie,Est une forme de téléphonie, constante.Sans fil et sans caisson, tout est matière de suggestion.La pensée étant l’élément moteur, elle n’est donc pas contagion.Ondes cérébrales naviguant, flottant dans l’air ambiant,Transmet message permanent, d’un parent ou d’un aimant.Seul un sentiment sincère, permet cette connexion.
    • Marthe H.
      Ah! Si j'étais Saint Eloi !En armure j’irais @ grand pas,À mon Roi,Porter la parure & la sainte loi !Hélas ! Trois fois hélas !Cher Dagobert n’est plus là.Et Moi... Moi qui Suis Moi,Moi qui vit ici-bas, mange & bois,Rêvant d’un état courtoisOù le droit ne serait pas sournois.Las de tout & du n’importe quoi,1 383 ans après, l’envie renaît & l’espoir croît,Quand @ l’Opéra, sur scène, chante un autre Souverain,Attila, le Roi des Hunt.Brio solo, céleste duo. Voix sublime, timbre divin…Enchante mes sens, réveille mes demains.Faciès troublant, les lignes en sont, trait pour trait,Copies conforme de mon Roi Mérovingien.L’envie renaît, l’espoir croît,Quand je l’entends & je le vois.L’envie renaît, l’espoir croît,Quand je le sens, tout près de moi.Ce peut-il qu’il soit,Le spectre de ce Roi ?Vision énigmatique, le bien-être égratigne.Symbole d’un signe, de la balance il s’assigneAh ! Rêverie étrange. Le mien se mortifie,Quand d’outre-tombe, la Vierge est celui,De celle qui jadis, le trahi !Aaahhh ! Verdi….Là est souci.Même si cela se passe, sur la toile de la nuit.Quoiqu’il en soi, nédes siècles plus loin,Il n’est pas lui ! Il n’est pas Hunt !Désormais il sera mien. Mon tribun.Si vrai s’avérait ce fait,Il comblerait, le plus grand de mes souhaits !Et si, il ne s’avérait pas, dans l’attente du trépas,Je ferais comme si, ils’avérait !Oh ! Si j’étais à l’Opéra, je serais la fille de Martha.Ah ! Si à l’opéra j’étais, Leïla je serais !Ho ! Gounod, Méphistophélès re-voilà ! Ha ! Bizet, voici Zurga !@ Bientôt, Cher Ruggero
    • Marthe H.
      dans l'attente de vous voir prochainement sur grand écran,Ah Vain serait le devenir, dans cet avenir, en ce sombre empire,Si votre Présence,n’eût inspiré mes lettres @ de doux délires…Oh ! Voix divine,Celle d’un dieu, j'imagine. Sel des cieux, j’en devine…Elégance, prestance, aisance,Illumine les scènesde sa Présence.Lumière du monde,enchante les ondes,Que le chant portépar ta voix, la terre, inonde.‘JE’ Unique, jeux scéniques,A mes yeux, il est magique.Oh ! Silence et regret auraient été mes soupirs,Si je n’avais puici-bas, de son image jouir & de sa voix, ouïr.Oh ! Absence et remord eût été mon existence,Si je n’eus été la proie, de cette circonstance…O-De-Là d’un fantasme, essence même du désir,Que la chair ne peut assouvir, Ô risque de le voir périr…J’eusse aimé, qu’il m’eut aimé, comme un être au-dessus de sa vie.Comme un authentique aïeul, aux prévoyant discours…Comme un frère craintif, à mes maux asservis…Comme une enfant,que l’on a dans ses vieux jours.De Victor Hugo àCharles Gounod,Des« odes » au « Juliette & Roméo »,Que transcriraient mes vers, que clameraient les mots…Quel autre Nom pourrait éveiller mes délires,Ceux-là même qui évitent à mes sens de mourir…Quel autre patronyme,Pourrait animer demon stylo, la mine.Seule cette apostrophe, cette interpellation,Me procure desingulières sensations.Si désirs d’Anges ne sont point vicieux.Louanges étranges,se veulent vertueusesSympathie particulière n’espère pas mieux,Que celle qui ici,rend la rime délicieuse.Ah ! Voyez mes yeux, de grâce, Allure, Stature, Posture…Jamais plus sûr, vous n’avez contemplé.Entendez mes oreilles, d’Harmonie, Son, Ton, Mesure,Jamais plus pur, vous n’avez écouté.Gagez mes sens, sous l’extase d’un frisson,Jurez ma raison,sous l’emprise d’une pulsion,Jamais vous n’avez ressenti, de telle émotion.Oh ! Nomination sublime, ranime la flamme, reteinte l’émoi.Acrostiche prime, le roi légitime de mon choix.Gru gore Di romain est postiche. Artifice plein de malice,Empli de charme, il est pour l’ouïe, pur délice.A Bientôt Ruggero
    • virgo s.
      Voix DivineCelle d'un dieu j'imagineElégance, prestanceIllumine la scène de sa présence. Rai, Lumière du MondeEclaire, enchante les ondesJeux scénique, je UniqueA mes yeux, il est magique.
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