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    Toutes les critiques de Cahiers du Cinéma
    Napoléon
    Scott confond également le sens de l’Histoire avec la maniaquerie du détail, et chez lui la forme est surtout illustration.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    2,9
    Le Temps D’Aimer
    Intolérance, misogynie, homophobie, poids du regard social et amour plus fort que tout (ou presque), sur fond de petite musique commémorative rappelant que le présent n’en a pas fini avec ces fléaux : rien ne manque à ce catalogue (télé)filmé des paradoxes de la raison et de la passion.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,8
    Perfect Days
    Loin de la philosophie qu’il prétend enseigner, Wenders propose deux heures d’escapism dans un Japon fantasmé, où les dominés seraient bien culottés de se plaindre.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,6
    Les Filles vont bien
    Bas les masques : la pièce importe peu, les comédiennes s’appellent par leur véritable prénom, et ce qui s’essaie, ce qui se répète au cours de cette parenthèse bucolique, c’est une coïncidence à la fois plus intime et plus frontale, de soi à soi, nourrie de matière documentaire.
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,5
    Dumb Money
    Le projet achoppe sur ce défilé démonstratif de visages absorbés : la possibilité d’une résonance entre les personnages se fracasse sur un mur d’interfaces de smartphones.
    Cahiers du Cinéma
    1,0
    Presse
    3,0
    Conann
    Contre le sentiment de continuité qui irrigue toute vie, cette croissance progressive qui fait que l’on change sans savoir, Mandico reconstitue toute la barbarie du coming of age : la violence du reniement, l’oubli plus ou moins décidé de ses convictions d’autrefois, la versatilité cynique où chaque âge a ses raisons et tout pouvoir de trahir son passé.
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,5
    La Vénus d'argent
    S’il est bien question de récit d’aprentissage, d’ascension sociale et de transgression, la vision quasi dystopique d’un monde du travail déshumanisé [...] finissent par interroger. En quoi ce monde de la finance [...] est-il si tentant ?
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,0
    La Rivière
    Par sa manière tranquille de faire entendre la colère et la désillusion sans jamais céder au catastrophisme, et sa troublante attention aux signes d’un désastre ici presque invisible, La Rivière est autrement plus convaincant.
    Cahiers du Cinéma
    5,0
    Presse
    3,9
    Rien à Perdre
    Face à Virginie Efira, dont le jeu, entre ébahissement et révolte maternelle, fascine par sa capacité à faire surgir la violence de l’accablement du quotidien, se tient une non-moins étonnante India Hair dont la candeur habituelle, en un quasi-contre-emploi, s’accommode de l’intransigeance pavée de bonnes intentions de son personnage d’assistante sociale.
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,5
    Le Poireau perpétuel
    De ces dessins volontairement naïfs émanent souvent inquiétudes et douleur. Les traces persistantes de crayon et de gomme apparaissent comme le sillon d’un passé dont on ne se dépêtre jamais tout à fait
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    2,6
    Journal d'Amérique
    Rêve et mémoire se mêlent ici dans un exercice d’expropriation de soi [...] qui risque de devenir objet muséal à la surface austère et âpre.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,3
    Augure
    Vu l’évident rapport autobiographique entre le cinéaste et Koffi, émane de cette surcharge le même sentiment que dans certains albums musicaux : une urgence intime poussant à faire plusieurs gestes en un seul. 
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,7
    Little Girl Blue
    [...] Ça passe ? Contre toute attente, oui, l’introduction d’une star dans le dispositif documentaire venant matérialiser la nécessité de la fiction lorsqu’on tente de guérir l’incurable et reconstituer une existence à trous.
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    4,0
    Les Voies jaunes
    Dans la longue traîne des documentaires sur les Gilets Jaunes, de J’veux du soleil de Gilles Perret et François Ruffin à Boum Boum de Laurie Lassalle, le film de Sylvestre Meinzer semble marquer une bascule, l’accompagnement en (quasi-)direct du mouvement cédant la place à la commémoration.
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,0
    Vincent doit mourir
    Le cinéaste parvient assurément à créer un climat d’incertitude et d’angoisse, décrivant un monde contaminé par une hyperviolence gratuite, qui détruit l’essence même de la vie en communauté.
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,6
    Ricardo et la peinture
    L’amitié entre les deux hommes autorise le cinéaste à entrer dans le cadre, et on sent le bonheur qu’il a, lui qui a connu tous les modes de production, y compris ceux du blockbuster hollywoodien, à s’accorder à cet artisanat, mais aussi sa crainte de trop déranger les choses.
    Cahiers du Cinéma
    4,0
    Presse
    3,6
    Nous, étudiants !
    Le quotidien est embrassé par un regard amical qui, en investissant des scènes intimes et en accompagnant par-delà l’étape du diplôme ses trois complices, Benjamin Aaron et Nestor, laisse la vie se confondre avec son sujet.
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,2
    How to Have Sex
    L’opacité inhérente à l’expérience de la jeune femme se trouve réduite à une binarité insupportablement transparente.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,6
    Et la fête continue !
    Il ne fait pas de ces éléments réels les sujets d’un film-dossier, mais les constitue plutôt en fond politico-social d’un film hanté par une question plus vaste [...] : comment faire en sorte que les fins puissent aussi être des recommencements, ou les morts des naissances ?
    Cahiers du Cinéma
    3,0
    Presse
    3,6
    Simple comme Sylvain
    Nous ne sommes pas chez John Waters, ni même chez Étienne Chatiliez, et ce qui rate ici, ne serait-ce que d’un simple point de vue comique, c’est l’incapacité à faire en sorte que le rire dépasse le mépris de classe.
    Cahiers du Cinéma
    2,0
    Presse
    3,7
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