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    Toutes les critiques de Positif
    La Machine à écrire et autres sources de tracas
    Positif
    4,0
    Presse
    4,0
    Un petit film de chambre(s), un recueil de nouvelles sautant de lieu en lieu, rappelant que certains des plus beaux gestes documentaires sont intrinsèquement itinérants et buissonniers, en préférant le voyage à la destination.
    Sans coeur

    Sans coeur

    Titre original Sem Coração
    Positif
    3,0
    Presse
    3,1
    La mise en scène accentue la photographie des lieux et la beauté des corps fluides. Toutefois, le scénario aux multiples pistes manque d'un coeur dramatique fort, un véritable centre de gravité.
    Enys Men
    Positif
    4,0
    Presse
    3,4
    Ce second long métrage plus atmosphérique que narratif renoue avec un savoir-filmer tout droit venu des années 1970.
    Le Mal n'existe pas

    Le Mal n'existe pas

    Titre original Aku wa sonzai shinai
    Positif
    5,0
    Presse
    4,5
    La singularité de l’œuvre repose sur le respect de l’hétérogénéité de ces matières, suggérée par l’indépendance de la musique et par le contraste entre le conte et l’histoire réaliste.
    Il pleut dans la maison
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    La cinéaste porte sur ce duo oublié de tous un regard d’une grande tendresse teintée d’une ironie discrète, s’attachant à rendre compte de leurs mots et de leurs gestes affectueux qui les raccordent au monde.
    Quelques jours pas plus
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    [Le film] investit le registre mordant de la comédie pour radiographier notre temps, [...]. Et [...] s’appuie sur une écriture très fine, jubilatoire, joliment maîtrisée sous ses airs ébouriffés.
    Apolonia, Apolonia
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    C’est tout un art du récit dont fait montre la réalisatrice danoise, avec les trois éléments ainsi évoqués : la virtuosité du montage, une proximité empathique avec sa protagoniste, et un dispositif ultraléger: les maquettes.
    Hors-saison
    Positif
    4,0
    Presse
    3,4
    "Hors-saison" est le film de Stéphane Brizé où le feuilletage entre le réel et la fiction est le plus subtil, où l'émotion est la plus intense.
    Averroès & Rosa Parks
    Positif
    4,0
    Presse
    4,0
    Nicolas Philibert filme ces entretiens sur la longueur, avec le procédé le plus classique qui soit, le champ-contrechamp [...]. Plus ou moins frontaux, les angles des prises de vues ne sont jamais tout à fait les mêmes non plus. Tout cela, bien entendu, alterne sans cesse, et amène le spectateur à un degré de concentration rare face à ce qu’il voit et à ce qu’il entend.
    Diógenes
    Positif
    3,0
    Presse
    3,7
    Difficile de ne pas penser à Bela Tarr ou Lav Diaz devant le noir et blanc naturaliste-onirique qui grave les êtres humains et les chiens dans des paysages résonnant des histoires que l'on se transmet.
    Lettre errante
    Positif
    4,0
    Presse
    3,3
    Autour du r – guttural, roulé ou à peine perceptible –, entre la règle et l'exception, entre nature et culture, entre le conscient et l'inconscient, s'érige une dialectique fertile. Née à Tel Aviv, Nurith Aviv sonde ses sources. Pour livrer un beau film qui confirme sa vraie identité, celle d'une poète, sous le signe de la couleur rouge.
    Les Rois de la Piste
    Positif
    4,0
    Presse
    3,5
    En entraînant sa brochette de stars dans des situations folles, Klifa obtient une intensité et une émotion qui valent l'achat d'un ticket de cinéma.
    Chroniques de Téhéran

    Chroniques de Téhéran

    Titre original Ayeh haye zamini
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    Ces Chroniques de Téhéran savent nous captiver par leur terrifiante simplicité.
    La Salle des profs

    La Salle des profs

    Titre original Das Lehrerzimmer
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    Le film invente un genre qu'on pourrait appeler le "thriller pédagogique". Il est construit et tourné aussi efficacement qu'un film à suspense [...].
    Blue Giant
    Positif
    4,0
    Presse
    3,7
    Cette utilisation de différentes techniques enchaînées à la perfection permet au couple musicien-animateur de se dépasser et d'atteindre la célèbre note bleue dont rêvent tous les jazzmen.
    Rien ni personne
    Positif
    4,0
    Presse
    2,7
    Du coup, on y croit, on se laisse embarquer. Ce n’est pas si courant.
    Eureka
    Positif
    4,0
    Presse
    3,8
    D’où le mélange des formes narratives ou filmiques (western, réalisme, mythe), d’où le montage fluide, d’où enfin la présence d’un oiseau-âme, signe d’une liberté retrouvée et d’un univers réconcilié.
    Le Royaume des abysses

    Le Royaume des abysses

    Titre original Shen Hai
    Positif
    4,0
    Presse
    3,3
    Dans le possible sillage d’un Big Fish and Begonia (Xuan Liang et Chun Zhang, 2016), l’équipe de Tian Xiaopeng élabore une cinématique virtuose procurant une forme matérielle aux affres existentielles.
    L'Empire
    Positif
    4,0
    Presse
    3,6
    Au-delà des motifs qui renvoient aux anciens films de Dumont, ce qu’on retient d’abord de ce portrait de l’humanité au bord du gouffre, c’est le plaisir. Plaisir d’un film qui ne ressemble à aucun autre, où l’on s’amuse beaucoup, et dont certaines visions apocalyptiques ne m’ont pas quitté trois semaines après la projection.
    Universal Theory

    Universal Theory

    Titre original Die Theorie von Allem
    Positif
    5,0
    Presse
    3,5
    Cet art du télescopage déborde ainsi le cadre de l’hommage et des références cinématographiques pour résumer un bout de XXe siècle que Kröger tente d’embrasser de façon ludique, avant d’en sonder toute la profonde gravité.
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