Jasmine Trinca réalise un premier film rempli d’une folie douce, délicate et sensible qui, hélas, pèche par moments à cause d’une intrigue trop brouillonne.
Mêlant comédie romantique et film expérimental, la cinéaste Akiko Ohku explore avec fantaisie et humour les névroses d’une femme au sein de la société japonaise.
Si son imaginaire féerique ne manquera pas de séduire le jeune - et fidèle - public, cette adaptation de la série télévisée déconcertera les autres par sa mièvrerie et sa trop grande simplicité.
Une vie de sainte par la bande, entre colère de la dépossession et ballet nocturne sabbatique : avec Magdala, Manivel réussit le pari du respect strict des Écritures, rehaussé par une rêche et sublime dérive amoureuse - Magdala, elle aussi, s’est donnée pour nous.