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    Mad Men
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    Daratura
    Daratura

    52 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 1 juin 2014
    Il y a tant de choses à dire sur cette série tellement elle est complète et traite de sujets sociologiques différents. Outre le fil conducteur de la série suivant la vie d'une agence de pub dans les 60's c'est surtout le réalisme des événements comme l'assassinat de JFK ou Martin Luther King, la guerre du Vietnam, la crise des missiles de Cuba, le 1er pas sur la lune, etc... et les symboles dépeint autours de cette agence qui donnent un intérêt à la série. On peut ainsi retrouver tout au long des saisons des sujets exposés avec profondeur comme le tabagisme, l'alcoolisme, l'évolution de la place de la femme dans la société, l'entreprise et la famille, la condition des noirs dans la société, l'homosexualité, l'adultère, l'environnement,
    le tout réalisé avec classe, mettant en scène des personnages charismatiques joués par des acteurs excellents dans des décors et des costumes réalistes.
    J'ai eu plaisir à suivre cette série au fil des années et impatient de découvrir la dernière saison qui nous sera proposée l'année prochaine.
    septembergirl
    septembergirl

    563 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 18 octobre 2018
    Une série dramatique riche et intelligente qui nous propose de suivre la vie d’une agence de publicité dans le New-York des années 1960. La reconstitution et l’esthétique sont splendides et, au travers de décors, costumes et ambiance léchés, dépeignent un univers classe, élégant, stylisé et raffiné. La trame narrative est très intéressante, les dialogues sont bien écrits et les personnages possèdent une belle profondeur psychologique. De plus, au gré de son histoire, la série incorpore les événements qui ont marqué la société américaine à l’époque, se présentant ainsi comme une véritable étude sociologique, politique et culturelle des sixties aux Etats-Unis. Une série délicieusement rétro et parfaitement soignée, autant sur le fond que sur la forme !
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Définitivement une de mes Séries favorites ! Mad Men est une oeuvre qui a de suite éveillé ma curiosité, sa réputation me faisait pourtant un peu peur comme toujours avec les séries, Six Feet Under et The Wire étayent bien ce sentiment de déjà-vu. La narration de l'histoire est l'une des raisons qui m'a directement enthousiasmé, aucun ennui en perspective, chaque mot, gestes est réfléchis et sert le récit. L'évolution et les tourments des personnages est l'autre satisfaction immédiate, d'emblée il est facile de constater qu'ils vont poursuivre leurs chemins avec un certain panache. L'immersion dans le milieu des fifties jusqu'à la fin de l'année 70 et de tout ce que cela implique est aussi des plus novateurs et remarquable. Le travail d’esthète de Matthew Weiner et des partenaires ne peu qu’être salué et contemplé. Mad Men ne pourrait être qu'une jolie oeuvre plastique mais elle parvient à tout faire tenir, difficile d'en trouver un défaut, tout est parfait ! Beaucoup d'émotions passent à travers ces sept saisons, Mad Men est une fiction qui fera date !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    96 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 21 juillet 2016
    Dernière grande série à s’inscrire dans l’âge d’or de la télévision entamée au carrefour des deux siècles, Matthew Weiner ayant fait ses classes aux cotés de David Chase sur les Soprano, Mad Men s’achève, 8 ans après son commencement, aussi brillante qu’elle fût à ses origines. Les publicitaires de Madison Avenue, la plongée dans les années 60, le business d’une Amérique industrielle encore florissante, une sacrée épopée que nous propose là Matthew Weiner, optant pour nous faire découvrir ce milieu et ces années-là via un curieux personnage, Don Draper, via une agence publicitaire mouvementée, la Sterling-Cooper et toute une brochette de protagonistes tous aussi intéressants les uns que les autres. Bâtie sur de solides fondations, la série n’aura jamais perdu de sa valeur, de sa bravoure, en dépit de quelques aléas sans doute dû à une durée étalée sur 8 ans.

    Souvent passionnante, parfois touchante, on pense au final, la série de Weiner s’impose comme un must du genre, remarquablement bien interprétée, mise en scène et écrite. Toujours à cheval entre sa thématique, la publicité, et les soucis de son personnage principal, l’homme qui n’est personne, le show oscille entre documentation, dramaturgie, humour et sentimentalisme. Le mélange des genres, le mélange des sujets, notamment, fonctionne en toute harmonie, d’autant qu’un fil des saisons, nous évoluons avec l’histoire tout du long des années 60. Ce n’est donc pas un hasard si la série se clos au départ de la décennie suivante, un autre monde, une autre époque. Osons le dire, Mad Men est un hommage à ces années-là.

    Il s’agira également de saluer les prestations de bon nombre des comédiens s’y étant illustrer. Jon Hamm, d’abord, formidable Don Draper, froid, rigide, mais aussi vivant, touchant et drôle. N’oublions pas John Slattery, remarquable, Elizabeth Moss, touchante, January Jones, d’une froideur légendaire, Vincent Kathraiser, éblouissant, Christina Hendricks, et j’en passe. Le casting est solide, très solide, l’un des points forts du show.

    Une série indispensable, donc, une sorte de monument de la télévision signé AMC, une chaîne qui avec Breaking Bad, aura très bien marqué son temps. J’encourage vivement les retardataires ou ceux qui doutaient encore de vous y mettre. 16.43/20
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 7 février 2015
    Madison Avenue ton univers impitoyable ! Un monde où Don Draper, créatif en chef, règne au plus haut de sa tour d’ivoire, costard impeccable, gomina plaquée, clope visée au bec et jamais dernier pour lever le coude, l’agence de publicité Sterling-Cooper est son territoire et libre à lui de déambuler et imposer sa classe. Ça s’agite autour, une fourmilière de tapotements et de cliquetis de machine à écrire, de sonneries de téléphone et de papotage, la boite tourne comme une horlogerie et la hiérarchie se doit d’être respectée, la secrétaire Peggy Olson apparait comme un rouage quelconque pour finalement bousculer l’ordre établi, celle de la femme s’imposant dans un domaine et un contexte très masculin. La trame gravite essentiellement autour de ces deux entités, le charisme indéboulonnable et la consciencieuse ambition.

    "Mad Men" est une série américaine développée en 2007 par Matthew Weiner, qui a comme fait d’arme d’avoir scénarisé plusieurs épisodes des "Soprano", et c’est pas rien, puisque si il y a bien une qualité à mettre en lumière et que l’on constate très vite c’est cette écriture, autant pour les efforts quant au respect pointilleux du contexte politico-culturel des années 60 aux États-Unis que pour les dialogues et la singularité des personnages principaux. La série nous immerge complètement dans ces bureaux, nous invitant à suivre cette bande de loups à l’affut du moindre client ou contrat à dénicher, surtout que la concurrence ne manque pas à Manhattan, un véritable terrain de chasse où tout est permis, du bagou de Roger Sterling au dynamisme de Pete Campbell en passant par la présence matriarcale de la plantureuse Joan Harris, l’agence est fructueuse.
    Le milieu de la pub je le connais un peu pour y avoir bossé quelque temps, je sais à quel point les relations créatif-client sont tendues, et j’ai tout à fait retrouvé ça dans la série, et ça m’a plutôt amusé, le fait de vendre son cul au demandeur, de donner de son temps et de son âme pour qu’au final il nous refile son propre point de vue minable, nous demandant de répondre à ses exigences complètement hors sujet, et c’est intéressant car de nos jours la publicité est essentiellement axée sur le besoin premier du consommateur, le capital produit, le terme créatif en devient presque obsolète, et le fait que "Mad Men" se déroule dans cette décennie des années 60 où les idées originales tentaient de perdurer reste symptomatique d’un long trajet semé d’embuches et de réévaluations.

    Bien sûr tout ne reste pas confiné entre les quatre murs de Sterling-Cooper, car la vie de Don Draper est un facteur tout aussi primordial, entre un passé trouble et secret qu’il tente d’échapper et une vie de famille qui bat de l’aile malgré toutes ces apparences idéalisées, Betty est comme l’incarnation de Grace de Monaco, prisonnière de sa condition de "femme de" ne pouvant s'émanciper, d’accompagner sa fille vers l’âge adulte, tout en devant faire face aux infidélités permanentes de son mari, tout cela est sujet aux bouleversements et répercutions quant à la psychologie de Don. Et s’en est de même pour les autres personnages principaux de la série, comme les ambiguïtés entre Peggy et Pete, les conquêtes de Roger ou la relation à distance de Joan avec son mari parti au Vietnam.
    Le contexte des années 60 aux États-Unis reste un vrai vivier historique, les assassinats des frères Kennedy et Martin Luther King, les émeutes raciales, le conflit vietnamien, Apollo 11, etc, et tout est exploité à bon escient pour servir le scénario, comme par exemple le racisme en entreprise avec l’apparition des premières secrétaires noires, les faits engendrent des facteurs complémentaires qui deviennent de vrais points d’encrage en matière d’enjeux scénaristiques et ça c’est vraiment plaisant quand on s’intéresse à l’histoire socio-culturelle américaine de l’époque. De plus chaque petit détail a son importance dans la corrélation des événements et de son sujet, Matthew Weiner a vraiment crée un univers impeccable et sans défaut, un travail titanesque en terme de reconstitution, surtout sur sept saisons de 13 épisodes (de 45 à 50 minutes) chacune.

    Niveau casting on ne pouvait espérer mieux, Jon Hamm est le charisme incarné dans le rôle de Don Draper, sorte de figure bogardienne iconique à la carrure imposante, classe et charmeuse, il rayonne dès sa toute première apparition à l’écran et donne à lui seul l’aura au concept retro, Elisabeth Moss m’a également beaucoup impressionné dans son personnage de Peggy Olson, c’est LA femme forte et puissante de l’agence avec Joan (Christina Hendricks, image glamour, sexy et dominatrice), son interprétation est juste fantastique, tout en nuances, entre sensibilité et profondeur. Je pourrais aussi citer John Slattery (Roger Sterling, également réalisateur de quelques épisodes) avec notamment une scène de trip à l’acide mémorable, January Jones (Betty Draper) en mère torturée, Vincent Kartheiser (Pete Campbell) au cabotinage carrément jouissif, ou encore l’actrice canadienne Jessica Paré qui interprète la seconde épouse de Don et dont le déhanché sur "Zou Bisou Bisou" marque salacement les esprits.
    À noter aussi un excellente bande son reflétant l’ambiance des sixties, entre les Stones, les Beach Boys, les Beatles (dont le morceau "Tomorrow never knows" utilisé lors de la saison 5 a été acheté pour la coquette somme de 250.000$ à Sony/ATV), et autres Jimi Hendrix Experience, un vrai plaisir pour les oreilles des amateurs de cette fantastique période musicale.

    Je pourrais en parler encore pendant des heures et il y a bien d’autres choses à mettre en évidence mais si vous n’avez pas vu la série je vous laisse le bonheur de la surprise, "Mad Men" c’est une drogue, ça a été pour moi une pure addiction comme j’en ai rarement connu (avec "The Sopranos" et "Twin Peaks"), j’ai passé des nuits blanches à bouffer les épisodes comme des Skittles, à suivre les évolutions des personnages et m’immerger totalement dans cette histoire passionnante de quête permanente du pouvoir et de ses ambivalences cruelles et émotionnelles. Reste à ce jour à attendre la seconde partie de l’ultime saison 7 pour connaitre le dénouement de cette série déjà culte.
    Plume231
    Plume231

    3 469 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 mai 2015
    "Mad Men", ou les années 60 comme si vous y étiez vraiment. Du moins, on a l'impression de les vivre avec les personnages de la série. Cette dernière est le portrait sociologiquement juste d'une décennie essentielle, dont l'importance a pourtant souvent été considérablement sous-évaluée, par le biais d'un élément très sociologique de notre société à savoir la publicité. Non "Mad Men", ce n'est pas juste des costumes, des décors et une BO judicieusement choisis, très loin de là...
    Et puis, il y a les personnages dont la psychologie est subtilement creusée. Je vais pas les présenter tous mais pour moi les plus mémorables sont :
    - Betty Draper, allure à la Grace Kelly, jouée par la très blonde glacée hitchcockienne January Jones, ancien mannequin frustrée par sa vie de femme de foyer mère de famille
    - Sally Draper, la fille aînée de Betty et de Don Draper, fifille à papa bien sage au début comme devait l'être tous les membres de son sexe lors de la décennie précédente mais qui va évoluer avec son époque en devenant de plus en plus rebelle tout en gardant une grande maturité pour son âge. Je suis loin d'être souvent élogieux avec les comédiens enfants, à juste titre car leur jeu est généralement faible, mais là l'actrice Kiernan Shipka est absolument bluffante dans le rôle.
    - Pete Campbell, responsable aux dents très longues un peu tête à claques mais qui va finir par attirer la sympathie du spectateur, notamment en étant le personnage qui, bien avant les autres, voit arriver les évolutions de la Société particulièrement en ce qui concerne les Droits civiques.
    - Joan Holloway, secrétaire en chef, incarnée par la très plantureuse et canon Christina Hendricks, intelligente et ayant la tête sur les épaules.
    - Roger Sterling, codirigeant de la boîte, vieux coureur de jupons peu avare en répliques cinglantes.
    - Peggy Olson, incarnée par l'excellente Elisabeth Moss, jeune secrétaire au début qui arrive à gravir peu à peu les échelons et à s'imposer dans un milieu machiste en devenant une publicitaire très talentueuse. Mon personnage féminin préféré avec celui de Sally, le plus proche psychologiquement de Don Draper, dont les relations donnent une grande partie des meilleures moments de la série à l'instar de l'épisode ""The Suitcase", un des deux-trois plus réussis de tous.
    - Et puis bien sûr, il y a Don Draper. Un nom qui est parvenu à être aussi mythique dans le monde des séries que celui de Walter White ou de Tony Soprano. Le mâle alpha absolu, le type que tous les femmes aimeraient avoir et que tous les hommes aimeraient être. "Don Draper" pourrait, et d'ailleurs devrait, être mis dans le dictionnaire comme étant synonyme d"'aimant à femmes". Il n'a même pas besoin de séduire, ce sont les femmes qui viennent à lui, le veinard... Oui, mais derrière ce Don Draper, ce mâle alpha absolu, se cache en fait Dick Whitman (oui, il a piqué l'identité d'un autre !!!), homme dépressif et alcoolique entre le pauvre type cynique et le gamin solitaire qui croit qu'on l'aime pas mais qui en fait n'accepte pas de se faire aimer, et qui a du mal à faire face à l'homme qu'il veut paraître être. Pour paraphraser un peu Cary Grant, tout le monde aimerait être Don Draper même Dick Whitman. Un personnage inoubliable qu'on a l'impression de connaître depuis toujours, auquel le brillant (et sexy !!!) Jon Hamm apporte son incroyable charisme de gros malade.
    L'ensemble n'est pas parfait. Je pense surtout aux scènes avec Megan et sa famille dans la langue de Molière qui sonnent faux, à cause du français plus qu'approximatif des comédiennes, et au fait que Sally Draper soit un peu sous-exploitée lors des trois dernières saison. Mais les personnages, les comédiens qui les jouent, de nombreux véritables moments de grâce éparpillés tout du long de l'ensemble, la reconstitution parfaite, auxquels on peut ajouter un générique de début culte de chez culte ainsi qu'une toute fin qui n'aurait pas pu être plus magistrale parviennent à le faire oublier.
    En conclusion, Matthew Weiner, le "père" de "Mad Men", peut se vanter d'avoir créé une des plus grandes séries de tous les temps.
    Arnaud R
    Arnaud R

    85 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 16 novembre 2020
    Un chef d'œuvre de série d'époque qui arrive à dépeindre une évolution de la société américaine, avec des personnages extrêmement forts, mêlant fable sociale, politique et émotion.
    MissYURI
    MissYURI

    20 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 27 juillet 2014
    Une des rares serie qui tiens de bout en bout. Une pure merveille d'histoires dans l'Histoire, de decor,s de coustumes ... Parfait! Un casting sur mesure
    Ragnar38
    Ragnar38

    131 abonnés 609 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Un Chef D’œuvre. Matthew Weiner est un véritable génie du petit écran en livrant ici l'une des plus grandes séries du 21eme siècle a travers ce Drame Historique Élégant et Addictif dont on ressort totalement envouter par ce Bijou télévisuel exemplaire. Pour Commencer la Réalisation est Somptueuse et Fluide en étant diriger d'une main de maitre par une Photographie renversante de beauté en passant par une remarquable reconstitution historique et authentique des années Sixties qui nous plonge dans une ambiance Décadente et Rétro qui est accompagné d'un Générique magnétique ainsi que d'une BO mémorable de David Carbonara qui nous régalent avec nostalgie a chaque partition musicale qui s'accorde magnifiquement a l'univers de la série. Ensuite le Scénario est Enrichissant et Passionnant de bout en bout en suivant pendant plus d'une décennie le quotidien d'une célèbre agence Publicitaire New New-yorkaise ainsi que la vie d'une multitude de Protagonistes Complexes et Fascinants menant des vies personnels et professionnelles en apparences combler mais qui s’avère en réalité plus compliqué et mouvementer qu'il n'y parait au premier abord dont la série parvient avec une Finesse remarquable a aborder des Thématiques fondamentales comme le Tabagisme,le Féministe,le Capitalisme,la Publicité,l’Adultère,la Société,le Rêve Américain,le Racisme et plein d'autres sujets actuels qui sont magnifiquement traiter a travers son Rythme Lent qui peut dérouter certes mais qui néanmoins parvient a nous captiver au cours des 7 Saisons, Ajouter a cela des Dialogues parfaitement Ciselés aux petits oignons en passant par son lot de Séquences Marquantes qui font passer par tous les stades émotionnelles qui réserve au passage son lot de Romances pimenter ainsi qu'en passant par son Humour Caustique et Fin qui parvient également a nous submerger avec de l’Émotion qui atteint ici des sommets sans jamais entrer dans la mièvrerie. Pour Finir le Casting est Prestigieux a souhait avec son lot de Personnages Nuancés et Attachants mener en tete d'affiche par le remarquable Jon Hamm qui est impérial de justesse dans la peau emblématique du personnage de Don Draper un Directeur Créatif Séducteur,Charismatique,Mystérieux et Taiseux dont l'acteur nous bluffe littéralement a travers cet Anti-Héros Énigmatique et Froid qui saison après saison nous surprend par l'évolution constant de ce personnage hors pair, Autour de notre Publicitaire Ambiguë on retrouve une multitude de Personnages Secondaires en Or Massif qui tirent leurs épingles du jeu en étant composer de Peggy Olsen une jeune femme Ambitieuse et Indépendante en passant par Joan Holloway une chef de Bureau Séduisante et Tourmenter mais aussi Betty Draper l'épouse Rigide,Complexe et Tourmenter de Don Draper sans oublier également quelques autres protagonistes phares de la série comme Pete Campbell un jeune Ambitieux et Exigeant ainsi que l'inoubliable Roger Sterling l'associé et ami de Don Draper qui s’avère Volage,Incorrigible et Décontracté dont on peut saluer l'ensemble de sa Distribution hors pair composer de Elizabeth Moss,Christina Hendricks,January Jones,Vincent Kartheiser et John Slattery qui incarnent a la perfection ces protagonistes en eaux troubles et qui en prime sont rejoint par d'autres Seconds Couteaux irréprochables tels que Kiernan Shipka,Jarred Harris,Michael Gladis,Alisson Brie,Aaron Staton,Jessica Paré et Rich Sommer qui complètent cette Distribution haut de gamme. En Conclusion, Mad Men est un Véritable Bijou dans l'univers des Séries Télés Présent,Passé et Futur qui apporte un édifice au monde des Séries Télés grâce au savoir faire Raffiné et Brillant du Showrunner Matthew Weiner qui livre assurément ici un Drame Historique Brillant,Cynique,Sulfureux,Passionnant et Bouleversant qui rentre au Panthéon des Séries Majeurs de ces Dernières Décennies tout en disposant d'une Conclusion Finale Douce Amère et Satisfaisant a la hauteur de cette Pépite Télévisuel a découvrir ou a redécouvrir de toute urgence.
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    37 abonnés 391 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2021
    Au delà de l’ambiance totalement parfaite et mise en scène , ce qui m’a touché le plus est cette descente aux enfers en forme d’introspection que traverse le personnage principal .
    Le passage de cette société à la notre avec tous les bouleversements concernant les femmes la politique le travail et les relations humaines .
    La fin est splendide car elle nous montre que n’importe quel homme a n’importe quelle époque est pareil en fin de compte , un temps soit peu intelligent est en quête de sa spiritualité et son bonheur interne quitte à se perdre lui même tout en se connaissant . Très énigmatique j’ai adoré
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Bien qu'il est une excellente reconstitution des années 60 et que les performances des acteurs soient interessante : certains personnage manque de profondeur. C'est lent et ennuyant sans aucun intérêt si on est pas fan de la pub ! A oublier...
    liamsi
    liamsi

    11 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 28 mai 2016
    Magnifique série, on ne s'ennuie pas durant les 7 saisons et certains épisodes frôlent même la perfection.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    216 abonnés 2 784 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    Mad Men offre l'illustration, à la fois feutrée, subtile et diablement pointue, de la période de transition des sixties qui marquait la fin du patriarcat à l'américaine et la montée des questions sociales (place des femmes et droits des minorités, premiers questionnements écologiques et politiques). A travers différents portraits d'hommes et de femmes (aussi crus que pertinents) qui vont traverser ces changements, la série joue d'une sophistication et d'un humour qui en font vraiment une série à part, tout comme son personnage central Don Draper, dont l'ambiguïté morale fait écho autant au milieu de la pub qui lui sert de cadre qu'au fondement de la série elle-même. Une œuvre aussi singulière qu’épatante.
    Daniel Schettino
    Daniel Schettino

    16 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 15 février 2021
    Il est toujours bon de revoir l'intégralité d'une série qui m'avait tant captivée il y a quelques années. Aujourd'hui je suis plus critique face aux défauts de la série. Les mauvais points d'abord. Incontestablement, exceptée pour January Jones qui est impeccable dans son personnage, un nombre incroyable d'actrices de la série ont les cheveux bien trop longs pour l'époque. Cela sonne faux et la reconstitution historique en prend un coup. Ce qui est absurde est que nous voyons les personnages de Mad Men regarder à la télévision des émissions, des journaux télévisés et des séries de l'époque, et nous voyons bien la différence entre le look des personnages féminins de la série et la réalité historique.. A partir de la saison 3, Elizabeth Moss se coupe enfin les cheveux, mais de trop nombreuses actrices de la série comme Maggie Siff, Alison Brie, Melinda Page Hamilton, Abigail Spencer, Jane Sterling (et bien d'autres hélas) ont des looks improbables, totalement incohérents avec l'époque. Et pour avoir une idée précise de l'époque, en fait il suffit de voir le formidable film de Norman Jewison, The Thrill of It All, sorti en 1963, pour comprendre le fonctionnement de la publicité aux États-Unis dans les années soixante, avec l'histoire de cette femme au foyer qui devient une star de la pub pour une marque de savonnette. D'un côté on voit que l'apparence physique de Doris Day n'a rien à voir avec les héroïnes de Mad men (hormis January Jones) et d'un autre côté avec le film de Jewison, on comprend fort bien l'univers de la publicité et la vie des épouses américaines à cette époque. Et cela finalement bien mieux que dans Mad Men. Les inexactitudes, les maladresses de la série sont vraiment rectifiées à partir de la saison 4, avec le personnage de Jessica Paré et les rôles secondaires, mais cela arrive un peu tard surtout qu'à partir de 1966 c'est le retour des cheveux longs pour les femmes. Une autre faute dans la série est le français incompréhensible de Julia Ormond censée être francophone. C'est une erreur inexcusable. Quels sont les bons points de la série ? Bien sûr on savoure comment est traité avec acidité et un ton acerbe (et par moment désespéré) des thèmes comme l'alcoolisme, le tabagisme, la place des femmes dans le monde du travail et dans le cercle familial aux États-Unis, l'écologie aussi (avec notamment l'étonnante scène d'un pique-nique où les personnages jettent leurs détritus à même le sol, sans se soucier de l’environnement qui les entoure. Les personnages pensent comme les gens de leur époque et nous sommes étonnés voire choqués de voir leurs comportements. Pourtant On aurait pu se passer du côté soap de la série avec des histoires d'amour un peu niaises, et je n’apprécie pas beaucoup les scènes avec Sally Draper (Kiernan Shipka), la fille de Don Draper. Là aussi on est dans le soap. Ce n'est guère intéressant. Mais le scénario se rattrape avec ses dialogues délibérément chiqués. Dans la saison finale, Don dit à Peggy: "J'ai tout foiré. Je ne suis pas l'homme que vous pensez que je suis". "Qu'avez-vous fait de si mauvais ?" lui répond-elle. Draper serait-il confronté à un règlement de comptes avec lui-même ? Larmes de crocodiles ? Il n'y a pas de bonnes réponses. Mais qui est-il réellement ? Voulait-il être vraiment un loser ? Pas sûr car on s'aperçoit qu'il engendre une création commerciale lors de sa retraite dans un camp hippie. En fait Don récupère tout pour des raisons mercantiles. Sa méditation donne naissance à une chanson "Je voudrais apprendre le monde à chanter", une campagne pour Coca-Cola. C'est le coté sarcastique que nous aimons tant dans cette série. Mad Men se termine en beauté, mais on regrette les maladresses dans l'évocation historique.
    Alexis S.
    Alexis S.

    7 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 26 mai 2017
    1960. Directeur créatif de l'agence de publicité Sterling Cooper, Don Draper est l'un des hommes les plus doués de sa génération. Or, il est depuis peu en panne d'inspiration. Impossible de trouver une idée valable pour le slogan d'une marque de cigarettes...
    "Mad Men" est une série originale, très audacieuse qui rempli et perfectionne tous les critères que doit avoir une série : mise en scène incroyable : chaque plan est filmé à la manière des maîtres du passé (Hitchcock, Wells), mais en plus moderne. Le scénario est parfait. Quant à l’interprétation elle d’une justesse rarement vu dans les séries.
    Le générique du début est superbe, somptueuse référence aux années 60 et à "Vertigo". – Sandro Martinez
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