Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l’épisode d’Un Si Grand Soleil diffusé demain soir sur France 2 ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !
Vendredi 5 avril dans Un si grand soleil…
François compte bien se venger de Boris
L’ambiance est particulièrement électrique chez les Laumière. En effet, Boris a voté contre la fusion au grand dam de son père. Tandis que François lui ordonne de reprendre ses esprits, Boris, qui estime que ce plan social est injuste, n’a pas l’intention de changer son vote tant qu’il n’aura pas la garantie qu’il n’y aura pas de licenciements.
De son côté, Élisabeth peine à comprendre pourquoi Boris a changé d’avis. Tandis qu’Alain lui conseille de s’associer avec quelqu’un d’autre, Élisabeth refuse. En effet, cette dernière n’a aucune envie de reprendre les démarches depuis le début.
A L. Cosmétiques, Bilal, Carine, Léonor et Enric discutent d’une éventuelle trêve lorsque Boris les rejoint. Ce dernier leur annonce alors qu’il a voté contre la fusion avant d’ajouter qu’ils n’ont désormais plus à s’en faire.
Pendant ce temps, Claudine, Élisabeth et François cherchent une solution pour faire acter la fusion sans le vote du conseil d’administration. Malheureusement, ils ne pourront rien faire sans le vote de Boris. Pour y parvenir, François demande à Élisabeth de virer Boris mais cette dernière refuse qu’on lui apprenne à diriger son entreprise. Alors que le ton monte entre les deux chefs d’entreprise, Claudine intervient pour les calmer. Elle les encourage à réclamer des dommages et intérêts à la banque partenaire qui a divulgué le business plan. Elle connaît d’ailleurs une agence spécialisée en intelligence économique et va leur demander de leur envoyer un expert pour y voir plus clair.
De retour chez L. Cosmétiques, Élisabeth demande à parler à Boris. Celui-ci lui explique alors les raisons de son choix concernant la fusion. Seulement, Élisabeth, qui pense qu’il fait cela uniquement pour tenir tête à son père, lui rappelle que si la fusion n’a pas lieu, L. Cosmétiques et OCI perdront la confiance des banques. Et si pour le moment les investisseurs la suivent, tout s’effondrera lorsqu’elle sera partie. Cette fusion était donc faite pour que lui et son père garantissent ce passage de relais. Boris rétorque ensuite qu’il veut ce qu’il y a de mieux pour cette boite mais pas à n’importe quel prix et encore moins si la moitié des employés doivent se retrouver sur le carreau.
Le soir venu, Catherine et Boris dînent aux Sauvages et trinquent à leur victoire. Le sourire aux lèvres, Catherine certifie à son fils qu’il a pris la bonne décision et lui demande de ne plus douter.
De son côté, François compte bien faire mordre la poussière à Boris et promet qu’il ne sera pas déçu du voyage…
Hugo et Alex prennent de gros risques
Hugo est un peu stressé. Il faut dire que c’est aujourd’hui qu’a lieu le barbecue organisé par le commissaire Becker. Sabine tente bien de rassurer son compagnon mais sans succès. En effet, Hugo est convaincu que son beau-père a une dent contre lui et c’est avec la complicité d’Alex qu’il compte découvrir pourquoi.
En fin de journée, Hugo et Sabine se rendent chez les Becker. Le médecin propose immédiatement son aide pour le barbecue mais le commissaire refuse préférant solliciter celle de Yann.
Plus tard, Janet reproche à son mari son comportement à l’égard d’Hugo. Si Becker finit par reconnaître qu’il a un peu de mal avec son gendre, il refuse toutefois d’en donner les raisons. C’est à ce moment-là qu’Alex se joint à eux et dépose son téléphone en mode dictaphone sur le meuble de la cuisine pour enregistrer leur conversation.
Une fois seuls, Janet et Becker reprennent leur discussion. Mais au moment où son époux explique qu’Hugo est un coureur de jupon, Janet découvre le téléphone d’Alex. Sans attendre, le commissaire exige des explications à son collègue. Mal à l’aise, Alex prétend qu’il a dû faire une mauvaise manipulation en posant son téléphone. Si Hugo essaie de lui venir en aide, Becker ne les croit pas et ajoute qu’ils en parleront plus tard.
