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    "Cold in July", "Dallas Buyers Club"... Les années 80 n'ont jamais été aussi tendance !

    Avec "Cold In July ou "Dallas Buyers Club", les années 80 ont de nouveau pris d'assaut les affiches en 2014 ! Zoom sur les fictions de ces deux dernières années qui nous ramènent en plein dans les 80's...

    Les années 80... En banlieue parisienne

    Dans les années 80, Stéphanie grandit à La Courneuve auprès d’une mère absente et d’un beau-père brutal. Très vite, elle décide de se sortir de son quotidien morose. Grâce à l’amour de sa grand-mère, à ses lectures, sa passion pour la danse et pour Jean-Jacques Goldman, elle se débat dans cette cité colorée où l’amitié est primordiale. Un jour, elle le sait, Stéphanie quittera la cité pour mener la vie dont elle a toujours rêvé.

    Pourquoi les eighties ?

    Parce que Papa was not a Rolling Stone (2014) est un film autobiographique et intime qui retrace l'adolescence de Sylvie Ohayon au milieu des années 80. Sylvie Ohayon a elle-même adapté son propre roman en long-métrage, réalisant et co-signant le scénario avec Sylvie Verheyde. Dans le film, Sylvie est devenue Stéphanie mais le décor quotidien et l'époque dans lesquels Ohayon a grandi n'ont, eux, pas changé.

    Comment les dire ?

    Loin des eighties présentées par le cinéma américain, Papa Was Not A Rolling Stone nous présente une époque que certains d'entre nous ont bien connue, les années 80 à la française. Tout dans le film respire cette bonne vieille époque où les jeunes portaient des sweats à col roulés, des paires de Tobacco aux pieds, rêvaient de porter un 501, allaient au Prisunic et ne mangeaient pas encore des M&M's cacahuète mais des treets. Si le style eighties se retrouve dans les vêtements, il se retrouve aussi via la publicité de l'époque, Stéphanie étant une grande amatrice de slogans publicitaires et souhaitant en faire son métier (Sylvie Ohayon deviendra d'ailleurs bel et bien publicitaire).

    La musique des années 80, aussi, se retrouve dans le film, surtout par l'entremise de Jean-Jacques Goldman. Sylvie Ohayon était en effet une grande fan de Goldman qu'elle écoutait à longueur de journée sur son walkman ou dans sa chambre. Ainsi, un grand poster du chanteur trône dans la chambre de Stéphanie et la chanson "Envole-moi" résonne à de nombreuses reprises dans le film. Goldman a même accepté de livrer une version guitare-voix spécialement pour le film.

     

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