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    Les 10 films de Fantasy qu'il faut avoir vus dans sa vie
    Olivier Pallaruelo
    Olivier Pallaruelo
    -Journaliste cinéma / Responsable éditorial Jeux vidéo
    Biberonné par la VHS et les films de genres, il délaisse volontiers la fiction pour se plonger dans le réel avec les documentaires et les sujets d'actualité. Amoureux transi du support physique, il passe aussi beaucoup de temps devant les jeux vidéo depuis sa plus tendre enfance.

    II existe des oeuvres incontournables dans la Fantasy. En voici dix, et pas une de plus !

    Dar l'invincible (1982)

    De quoi ça parle ?

    Dar, fils du roi destiné à détruire le tyran des forces du mal d'après sa prophétesse, est marqué à la naissance avant d'être sacrifié, mais il est sauvé par un homme qui le ramène dans son petit village et l'élève comme son fils. Adulte, son petit village ainsi que sa famille adoptive sont détruis par l'armée du tyran. Seul survivant, il part à l'aventure dans le but de se venger, il devient un combattant qui sur son chemin rencontrera des alliés parmi lesquels des animaux (furets, aigle, panthère) avec qui il communique grâce à son don, la télépathie.

    Pourquoi le voir ?

    Alors certes, Dar l'invincible, alias The Beastmaster, n'est pas un chef-d'oeuvre du genre, mais reste un film extrêmement sympathique, et se place quand même au-dessus des productions bisseuses voire Z qui ont traînées dans le sillage de Conan le barbare, notamment les productions italiennes. Réalisé par Don Coscarelli, le même qui réalisera bien des années plus tard le film culte Bubba Ho-Tep. Dans Dar l'invincible, c'est aussi l'occasion d'admirer la plastique de Tanya Roberts dans le rôle de Kiri; un rôle qui lui portera chance puisqu'il lui permettra d'être engagée 3 ans plus tard sur le tournage du James Bond Dangereusement vôtre.

    Le saviez-vous ?

    Si dans le film il est question d'une panthère noire, c'est en réalité un tigre que la production recouvrit d'une sorte de peinture, qui disparaissait régulièrement autour de la gueule du fauve à chaque fois que celui-ci s'abreuvait (c'est d'ailleurs visible dans le film). L'animal, baptisé "Sultan", décéda deux ans après le tournage, en raison notamment de sévères problèmes de peau. Mais la cause n'a pas été tranchée : certains accusèrent justement le produit appliqué sur la pauvre bête pour la teindre en noir, tandis que la société qui employait les dresseurs de fauves ayant participé au tournage nia l'implication du produit dans la cause du décès de l'animal...

     

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