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    Cannes 2016 - The Neon Demon : "spectaculaire" ou "vide", Nicolas Winding Refn déchaine la presse

    Découvrez ce qu'a pensé la presse internationale du nouveau film signé par Nicolas Winding Refn, de retour en Compétition avec "The Neon Demon", porté par Elle Fanning...

    The Jokers

    Après un prix de la mise en scène pour l'électrisant Drive en 2011 et un Only God Forgives qui avait laissé la Croisette perplexe en 2013, Nicolas Winding Refn est de retour en Compétition avec son dixième long métrage : The Neon Demon. Ce conte horrifique au cœur de la mode californienne a-t-il convaincu la presse internationale ?

    • Jérôme Vermelin / Metronews : "Pour arriver à ses fin, le cinéaste danois, qui redresse sérieusement la barre après le trop radical Only God Forgives, utilise les codes du film de genre, d’horreur en particulier, avec ici une élégance à peine entachée par un final qui vire au gore chic... mais tellement choc. Après Drive, un deuxième prix de la mise en scène lui tend les bras." Lire la critique complète
    • Jessica Kiang / The Playlist : "Spectaculaire, répugnant et délicieux (tellement dégoutant qu’il en devient presque agréable), le film est une preuve supplémentaire que Refn maîtrise son esthétique trash, et est plus drôle que tout ce qu’on pourrait être en droit d’attendre de ce tableau complaisant et écervelé." Lire la critique complète
    • Owen Gleiberman / Variety : "Nicolas Winding Refn signe un film d’horreur baroque pervers écœurant et surréaliste situé dans le monde de la mode à Los Angeles. Ce n’est pas ennuyeux, mais ça ne va pas au-delà du plaisir des yeux." Lire la critique complète
    • Todd McCarthy / The Hollywood Reporter : "Par le passé, le somptueux savoir-faire cinématographique a souvent pu être mis au service de matières douteuses et délabrées, mais The Neon Demon est l’exemple de cette année." Lire la critique complète
    • Mathieu Macheret / Le Monde : "Tout ceci pourrait n’être qu’une grande coquille vide et rutilante, s’il n’était porté par la présence troublante d’Elle Fanning qui, depuis ses prestations dans Twixt, de Francis Ford Coppola, et Super 8, de J. J. Abrams, apparaît comme un parfait petit ange du bizarre, doublé ici d’une vierge écarlate." Lire la critique complète
    • Emmanuelle Spadacenta / Cinemateaser : "Dans ce NEON DEMON figé et sans chair, il y a le mauvais goût des excellents réalisateurs, mais paralysé par le premier degré. Nicolas Winding Refn s’entête à vouloir faire de l’horreur sans horreur dans un grand spot publicitaire pour lui-même." Lire la critique complète
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