Mon compte
    La Casa de Papel saison 3 : notre résumé de l’épisode 3 [SPOILERS]

    Le braquage bat son plein, alors que l’équipe du Professeur passe à la prochaine étape de leur plan périlleux. Découvrez notre récap de l’épisode 3 (saison 3) de La Casa de Papel.

    Attention, les paragraphes qui suivent contiennent des spoilers sur l'épisode 3 de la saison 3 de La Casa de Papel visible sur Netflix ! Si vous ne voulez rien savoir, ne lisez pas ce qui suit !

    La prise d'otages se poursuit à la Banque d'Espagne. Nos braqueurs, qui se sont fait passer pour des soldats de la BRIPAC, on fait exploser les portes d'entrée, de manière à déclencher le code rouge : le bâtiment est donc scellé de l'intérieur. Plus personne ne peut entrer ou sortir du bâtiment pendant 1 heure. De quoi leur laisser assez de temps pour récupérer une "pièce maîtresse", à savoir une carte magnétique détenue par le gouverneur de la banque. Et à partir de là... tout va partir en cacahuète.

    Quand le braquage part en vrille

    La Casa de Papel ne serait pas ce qu’elle est sans ses rebondissements (parfois tirés par les cheveux). Tokyo et Nairobi sont missionnées pour aller récupérer la carte donnant accès au coffre fort où se trouve le butin. Lorsque les deux femmes demandent au gouverneur de les suivre, pour l’escorter dans un lieu plus sécurisé, ce dernier insiste pour rester à sa place. Il faut dire que l’homme est entouré de 5 gardes armés jusqu’aux dents. Face à cette première difficulté, Tokyo décide d’appliquer les règles imposées par le Professeur. Elle fait diversion et assomme un premier homme, avant de tenir en joue deux gardes - tout comme Nairobi. Mais rebondissement : le garde assommé se réveille et menace Nairobi d’une balle dans la tête. Tokyo adopte la même stratégie en visant la (pauvre) secrétaire. Sous la contrainte et pour éviter toute effusion de sang, le gouverneur accepte de les suivre. Mais il réussit à s’échapper in extremis alors que les portes de l’ascenseur ne se referment. Obligées de récupérer la carte pour enclencher l’étape suivante du plan, les deux femmes décident de se jeter dans la fosse aux lions et d’affronter les 5 gardes du corps : "On s’incruste façon Tokyo" lance alors Nairobi.

    Capture d'écran

    Elles se retrouvent acculées et en minorité. Alors qu'elles s'apprêtent à faire feu, Palerme et Helsinki rappliquent pour leur prêter main forte. Bien que le premier ait tenté d'apaiser la situation, l'un des gardes décide de faire feu. Palerme reçoit alors des éclats de verre dans les yeux.

    Un homme à terre

    Le Professeur, qui suit la scène à travers son moniteur, fait une crise d'angoisse et comprend que ce braquage sera bien différent du précédent. À l'intérieur de la banque, nos voleurs sont en panique et tentent de porter secours à un Palermo à terre. Mais malgré sa blessure et bien qu’il soit aveuglé, ce dernier préfère continuer l'opération. Après avoir fait enfiler des masques et combinaisons aux otages, Bogota et Nairobi choisissent 4 otages (qui s’avèrent être en réalité des complices) pour aller percer un trou dans la porte blindée du coffre-fort. La phase 3 peut débuter.

    De l’or plein les yeux

    Berlin l’a expliqué dans l’épisode précédent : si on tente de forcer la porte du coffre-fort, ce dernier est inondé. Les braqueurs n’auront que 16 minutes et 15 sec pour percer un trou et souder un tube de raccordement leur permettant de passer de l’autre côté pour récupérer l’or. Après plusieurs minutes de tension, Bogota réussit à souder le sas de décompression. Ainsi, même si la pièce est inondée, le tube leur permet d’évacuer l’eau. Quatre-vingts dix tonnes de lingots d’or sont désormais à leur portée. Parallèlement, le Professeur se remémore dans une scène de flashback un souvenir de Berlin, qui lui présente son plan. Le duo finit par chanter et danser sur le titre “Guantanamera”, qui s’annonce déjà comme le nouvel hymne de La Casa de Papel.

    Capture d'écran

    Alicia Sierra fait son entrée

    À l'extérieur, le CNR se met en place. L’inspecteur et le colonel, qui comprennent que l’opération est périlleuse, décident de faire appel à une nouvelle ressource. Il s’agit bien évidemment d’Alicia Sierra, qui torture à des kilomètres de là Rio. “Tu veux que je fasse sortir le berger et ses moutons de la banque ? Putain, je vais perdre mes eaux de joie” réplique-t-elle au téléphone. De quoi donner le ton. Le Professeur et Raquel, qui écoutent les fréquences de la radio, détiennent enfin l’information qu’ils cherchaient. Ils peuvent donc remonter peu à peu la piste qui les mènera à leur ami.

    FBwhatsapp facebook Tweet
    Sur le même sujet
    Commentaires
    Back to Top