De quoi ça parle ?
Richard Altman, juge droit et respecté, voit sa vie basculer lorsque son fils Lucas commet un délit de fuite en laissant un motard pour mort. Richard pousse son fils à se dénoncer, mais se rend compte que la victime n'est autre que le fils d'un puissant mafieux et que Lucas signerait son arrêt de mort en se livrant aux autorités. Prêt à tout pour sauver son fils, le juge va renier tous ses idéaux, mettre le doigt dans un engrenage infernal et entamer une réelle descente aux enfers...
Un homme d'honneur, réalisée par Julius Berg et adaptée de la série israélienne Kvodo.
Avec Kad Merad, Zabou Breitman, Rod Paradot, Aure Atika, Nicolas Duvauchelle, Manon Azem, Eye Haïdara, Gérard Depardieu, ...
Tous les lundis à 21h05 sur TF1 et en replay sur Salto
Ce qu'en pense la presse...
Selon Le Figaro :
"Les six épisodes s’enchaînent au rythme de nombreux retournements et rebondissements, avec tout ce qu’il faut de tension. Les comédiens, de Kad Merad à Gérard Depardieu en passant par Zabou Breitman ou Rod Paradot, jouent avec passion. Et, on aura beau lui chercher tous les défauts du monde, le produit fini est passionnant." 4/5
Selon Télé Loisirs :
"Intrigue prenante, acteurs de choix, une série sans fausse note." 4/5
Selon Télé Z :
"Jusqu’où peut-on aller pour protéger son enfant ? Kad Merad a le goût de la stratégie et des personnages équivoques. Après avoir incarné un fin tacticien politique (Baron noir), le voilà qui, en honorable magistrat, bascule dans l’illégalité. La tension va croissant." 3,5/5
Selon Le Parisien :
"Rythmée, cette fiction en six épisodes s'avale comme un bon polar. Efficace mais très classique, avec quelques grosses ficelles, des personnages assez caricaturaux, et des invraisemblances." 3/5
Selon Télé 7 Jours :
"Plus humaine et riche que son homologue américain diffusé sur Canal+, cette nouvelle série réunit un casting grand luxe autour d'une intrigue prenante, qui demande parfois un maximum de concentration." 3/5
Selon Le Monde :
"C’est dans l’accumulation frénétique des péripéties, qui n’obéit à d’autre logique que la nécessité de faire avancer le récit très rapidement, en faisant fi de toute vraisemblance, psychologique, juridique ou balistique, que se trouve le plaisir un peu frelaté que l’on peut prendre à regarder Un homme d’honneur." 3/5
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Selon Télérama :
"Même l’humanité insufflée par Kad Merad ne parvient pas à réanimer les deux premiers épisodes que nous avons vus. Reformatée à la TF1, l’irrésistible promesse initiale devient un fastidieux exercice sans style." 1/5
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