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    Isabelle Carré

    A l'occasion de la sortie de "L'Envol", la belle comédienne Isabelle Carré se livre à son Parole de Stars.

    AlloCiné : Si vous n'aviez pas été comédienne, qu'auriez-vous fait ?

    Isabelle Carré : Je voudrais dire danseuse, mais j'en étais incapable... Peut-être plus tard, si j'y arrive, pourquoi pas écrivain, si j'ai des choses à dire.

    Votre premier souvenir cinéma

    Mary Poppins (de Robert Stevenson - 1964 NDLR). J'ai adoré, je l'ai vue plein de fois. Je rêvais d'une Mary Poppins qui venait me voir avec son parapluie...

    Votre référence absolue comme comédienne

    Juliette Binoche, Romy Schneider, Maria Casares, Suzanne Flon et Simone Signoret.

    A ce jour, professionnellement, votre plus grand regret

    (silence) Mon plus grand regret ? De ne pas avoir dansé au moins une fois Le Lac des Cygnes, avoir le rôle titre, pas le quinzième cygne, au fond à gauche. (rires)

    A ce jour, professionnellement, votre plus grand souvenir

    (silence) Il y a plein de trucs qui me viennent, et je ne sais pas lequel choisir. Euh... la première fois que j'ai joué au théâtre, j'avais une angine psychosomatique terrible... mais avec les applaudissements, j'ai été très émue.

    Votre film de chevet

    Mon film de chevet ? Il y en a plein. J'aime bien regarder La Mélodie du Bonheur (Robert Wise - 1965 NDLR), Mary Poppins encore. Mais, aussi des films comme Le Vieux Fusil (Robert Enrico - 1975 NDLR)...

    Votre plus grand désir

    En ce moment, qu'il y ait des gens pour aller voir L'Envol parce que le metteur en scène, Steve Suissa, s'est tellement démené, ce serait bien qu'il soit récompensé. Comme on n'a pas les moyens des grosses machines hollywoodiennes, de sortir avec plein d'affichages partout, on se bat avec des petits moyens. Ce serait super qu'il y ait un petit retour...

    Avez-vous un don, un talent caché ?

    J'espère que j'en ai un caché, mais il est très caché ! J'aimerais être une très bonne cuisinière ! (rires).

    La rencontre déterminante dans votre carrière professionnelle

    C'est certainement le metteur en scène Jean-Luc Boutet. Il m'a énormément apporté. J'ai joué L'Ecole des Femmes avec Jacques Weber, et c'est lui qui me mettait en scène. C'était un travail extraordinaire.

    Si vous deviez arrêter le métier demain, qu'est-ce que vous regretteriez le plus ?

    Ce serait le théâtre. Quand on arrive, quand on va jouer... Il y a une odeur, une ambiance, une atmosphère, une excitation... Tous ces rituels qui vont avec cela. La peur, le petit verre que l'on se prend avec les acteurs après la représentation. Ce sont tous ces moments-là...

    Votre première réplique au cinéma

    C'était dans Romuald et Juliette (Coline Serreau - 1988 NDLR). Cela devait être "Papa, papa" !

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