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    Les Collines de la terreur
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    27 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2014
    Charles Bronson...il tue pour se venger! En ètat de lègitime dèfense, cet apache pacifiste abat le shèrif du coin qui le menaçait de quitter le bar! C'est alors que Jack Palance, dont les convictions racistes sont èvidentes, organise une milice pour faire triompher « la loi » et poursuivre cet Indien devenu hors-la-loi qui s'est rèfugiè dans les terres arides du Nouveau-Mexique! ils courent après un ombre, une ombre dangereuse! N'oubliez pas qu'un apache ne laisse jamais de traces sauf s'il a une bonne raison! C'est un livre fermè pour les hommes blancs, terrible et effrayant à la fois! Une chasse à l'homme impitoyable s'ouvre donc, fondè sur le contraste entre un apache pacifiste et un chef d'une petite milice d'hommes! Bien avant d'engendrer une longue suite de « justiciers » , Michael Winner offre à Bronson un rôle sur mesure! Ces « collines de la terreur » sont antèrieures à "First Blood" de dix bonnes annèes mais plus centrè sur la vengeance que sur la mauvaise conscience d'une nation qui rejetait ses hèros d'autrefois! D'ailleurs Bronson n'est pas un hèros amèricain, c'est juste un mètisse qui se transforme en justicier solitaire...
    Vixare
    Vixare

    27 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Voici un western atypique réalisé par Michael Winner, chez qui on observe l'influence de la vague spaghetti. Charles Bronson incarne un héros presque inédit du western, un métis pourchassé par une horde sanguinaire de blancs. Bronson déjà peu bavard chez Leone prononce au totale une dizaine de répliques mais incarne avec brio son personnage, de par une démarche très singulière. L'ensemble est bercé dans une ambiance amère de violence brutale et parfois gratuite, qui dénonce la bêtise et la soif sanguinaire de personnages qui se considèrent comme les chantres du monde "civilisé" face aux primitifs "natives". L'ensemble des personnages qui constitue la milice est plus riche qu'il n'y paraît au premier abord. On y découvre Jack Palance (habitué des rôles impitoyables) incarnant un ancien officier sudiste hanté par la mélancolie due à ses vieux faits d'armes mais portant l'élégance et les prétendues bonnes manières de "Dixieland". On y trouve aussi James Witmore, plus vrai que nature en paisible fermier qui ne veut pas passer pour un lâche ou encore Simon Oakland, empli de cruauté. On observe chez Michael Winner le début de ce qui fit ensuite la réputation de sa collaboration avec Charles Bronson, la justice expéditive et violente. Là dessus, on peut notamment reprocher à Winner un style très épuré, souvent trop direct à l'image de la scène d'ouverture, pas franchement réussie. La poursuite semble ensuite narrée avec plus de soin.
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2010
    Certes un peu basique quant à son scénario, "Les Collines de la terreur" n'en demeure pas un western particulièrement efficace et sans temps mort. Certes on pourra être légèrement gêné par l'aspect parfois légèrement primaire du propos, mais reste que Michael Winner, tout en évitant les partis pris simplistes et nauséeux, réussit à nous offrir un vrai divertissement de qualité, l'exploitation des décors s'avérant particulièrement convaincante tout comme l'opposition entre Bronson et ses poursuivants. Pas de grand film en vue donc, mais un très divertissement moment de cinéma : c'est déjà ça.
    clint54
    clint54

    21 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    ...Replaçons le contexte Historique et cinématographique dans un ordre bien structuré et nous avons finalement ce Western atypique de 1971 qui dérange . Il bouscule les bases traditionnelles des westerns codifiés des années 50 et 60 . L'indien est mauvais, méchant ,un tueur, un violeur..une bête sauvage. Charles Bronson est tout simplement majestueux. Sans prononcer plus de 30 mots, il séduit et capte notre intérêt jusqu'au final surprenant d'une scène ouverte, laissant un survivant errer dans les grands espaces qui semblent bien se définir comme sa tombe. La violence est peut être exacerbée, la haine, le racisme, autant de thèmes abordés pour réhabiliter un tant soit peu les Indiens qui ne n'oublions pas, étaient là bien avant l'homme blanc. Il reste J.Palance en Colonel Sudiste qui au fil des images se rend compte de cette bêtise, cet aveuglement humain, il en fait d'ailleurs les frais.
    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 septembre 2009
    Un western correct qui débute plutôt bien pour finir de manière un peu convenue voire décevante ; l'ensemble du film manque de la tension nécessaire qu'aurait du avoir une telle histoire, Les Collines de la terreur est moins violent et cruel que je le pensais. Bronson est très bon en Apache traqué et Jack Palance incarne un personnage intéressant car rapidement on se rend compte que cet ancien capitaine sudiste n'est pas si méchant que cela. Pas mauvais mais un petit peu déçu quand même, à voir malgré tout.
    bobmorane63
    bobmorane63

    153 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2022
    Un Western sortit en 1972 à l'époque ou le genre à la mode sont les Westerns Spaghettis ou Westerns violents à la Sam Peckinpah , "Les collines de la terreur" dirigé et produit par Michael Winner s'inscrit dans la seconde catégorie mais qui n'est pas une réussite pour ma part, loin de là !!
    Un Apache est poursuivi pour meurtre en se défendant d'un blanc et une équipe de cowboys mal rasés et sales tronches sont à sa poursuite. La vedette principale se nomme Charles Bronson qui a un role que je qualifie plutot secondaire car on ne le voit pas souvent jouant à cache cache avec ceux à sa poursuite et n'a que très peu de dialogues dans ce long métrage, idée drole car ne faisant pas grand chose au niveau du jeu d'acteur à part montrer ses muscles et sa virilité. Dans les méchants , il y a Jack Palance et ses collègues qui ont des dialogues vulgaires agaçantes Made in USA du cinéma Américain de l'après Vietnam. Le film est long et ennuyeux, seule la fin réveille les esprits avec de l'action. Un banal Western de série B a éviter.
    Davidhem
    Davidhem

    88 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 juin 2012
    Immense, prenant, tendu, violent, impitoyable, le film de Michael Winner nous offre une gigantesque chasse à l'homme. L'homme poursuivi et traqué, interprété par Charles Bronson, est un indien métissé qui est obligé de se défendre face au shérif de la ville dans un saloon, ce dernier le provoque et lui signifie bien son intention de le mettre à mort. Sortant son revolver, il s'apprête à lui tirer dans le dos, l'indien se retourne et l'abat. Face à ce début du film dont on devine aisément la tournure qu'il va suivre, des questions se posent alors: un policier est-il autorisé à abattre un homme dans son dos? Est-il juste que ce policier veuille le tuer uniquement par racisme? L'indien, qui a agi en état de légitime défense, est-il condamnable? Il ne faut pas oublier ce qui s'est passé en Amérique. Ce sont les blancs, les européens qui ont chassé de leurs terres les indiens. Ce sont eux qui les ont envahis, ce sont eux qui se sont permis de violer et de tuer des femmes et des enfants de cette race. Le genre du western a considérablement évolué dans les années 1970, montrant qui sont les coupables de ces multiples massacres et pourquoi il existe une telle haine des indiens pour les blancs. Dans les années 1950 et 1960, jamais on n'a présenté les choses sous cet angle. A l'époque, les films où figurait John Wayne montraient toujours la même image, une version passablement hypocrite et écoeurante, celle montrant que les blancs sont des hommes courageux, vertueux, possédant toutes les qualités de l'humanisme et jamais aucun défaut de leur part, les hommes blancs étaient donc montrés comme des anges et les indiens étaient réduits à l'état simpliste de voleurs, de tueurs, qui se regroupent pour conquérir les villes façonnées par les blancs, pour violer les femmes, pour enlever les enfants, qui représentent la honte de l'humanité. Mais comment est-il possible que ces films qui accumulent mensonges sur mensonges aient pu exister? Simplement parce que le cinéma américain de ces années était conçu pour justifier le massacre des indiens. John Wayne était l'incarnation du bien, en réalité c'était un raciste. Alors quand on connait l'histoire de ce pays tout neuf, on comprend que les soldats blancs étaient avant tout des vandales. Ce film illustre le racisme des blancs, leur état d'esprit, leur méchanceté, leur violence, leur haine, leur manque de loyauté, leur lâcheté, leur sadisme. Réquisitoire parfait contre les hommes blancs de ce pays à cette époque, le réalisateur Michael Winner offre au spectateur un spectacle horrible, intense et violent. Scénario très bien exploité donnant une grande profondeur psychologique aux différents personnages, le film dispose d'une réalisation parfaite et sans aucune retenue. Winner choque l'opinion certes mais il détient le mérite de montrer le comportement des blancs qui apparaissent comme des monstres assoiffés de chair et de sang, qui se mettent à plus de dix pour essayer de coincer leur cible, qui finissent finalement par devenir des proies plutôt que des prédateurs, le prédateur étant au bout du compte l'indien. Michael Winner réalise et signe un western de très grande qualité, cruel et brillant!
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 octobre 2008
    1971, après un western "léger" avec "Soleil rouge" Bronson tourne ce western, sombre et crépusculaire. Il est Chico, un métis pris en chasse par une milice raciste avant que les rôles s'inversent pour une revanche miticuleuse et sans pitié. Bizarrement ce rôle quasi muet est un des meilleurs de Charles Bronson si ne l'est le meilleur. Michael Winner se prend même parfois à copier la méthode Leone notamment dans les gros plans et les regards. L'autre bon point est le choix des personnages, autant dans l'écriture de leur psychologie que dans un casting parfait notamment avec Jack Palance tout en ambiguité. Un chef d'oeuvre efficace et droit comme un i.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 septembre 2009
    un film impitoyable
    Tedy
    Tedy

    212 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 septembre 2008
    Une chasse à l'homme occupe la première partie, tandis qu'une histoire de vengeance compose la seconde, pour au final, un western peu palpitant.
    Henrico
    Henrico

    134 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 novembre 2021
    Le charisme des acteurs, en particulier, celui de Bronson n'est pas étranger à l'aura qu'a ce film auprès des cinéphiles. Car ce n'est ni le scénario, ni la mise en scène de Michael Winner qui est exceptionnelle ici. Les tenants et aboutissants de l'intrigue ne sont pas toujours très crédibles, ni toujours très clairs, (Quelles sont les motivations de Quincey, le leader de la chasse? Pourquoi la proie les amène vers son repère sachant qu'il s'y trouve des éléments le rendant très vulnérable?). Outre le fait que le film est très verbeux, le rythme des scènes est très léthargique. Quand aux dialogues, s'ils sont très nombreux, et longuets, il permettent de se faire une idée très précise du contexte conflictuel des pionniers et des populations amérindiennes.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    37 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mars 2024
    Un indien tue un shérif raciste en légitime défense. S’en suit une chasse à l’homme où le chassé devient le chasseur, surtout quand la horde de cowboys violents trouvent sa femme et la violent. Ils sont menés par un ancien capitaine sudiste désenchanté mais droit et interprété par Jack Palance. C’est le western dans toute sa splendeur : les gentils et les méchants sont immédiatement identifiés, de la musique, des paysages et des gueules de circonstance. « Un Apache ne laisse jamais de trace, sauf s’il a une raison » : un rôle en or pour Charles Bronson dans le personnage de Chato qui distille sa vengeance à petit feu et mène cette poursuite à sa manière jusqu’au carnage final. Il prononce trois mots dans tout le film et nous délivre son rare sourire, pour notre plus grand plaisir. Michael Winner, le réalisateur, retrouvera son acteur fétiche dans « Le cercle noir » et la série des « Justiciers ». Un des meilleurs rôles de Charles Bronson avec « Il était une fois dans l’Ouest ».
    NeoLain
    NeoLain

    4 238 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 mai 2013
    Existe t-il un enfer ? Chez Bronson en tout cas oui. Après avoir tuer un shérif, Jack Palance forme un groupe pour le rattraper et le pendre, le hic c'est que ce métisse apache est pas en manque d'idées, et il va attirer ce groupe dans un piège qui se refermera petit à petit sur eux. Un par un ils vont connaitre la vengeance d'un homme qui défend sa chair mais également il rend honneur à sa chère. Décor naturel sauvage, retour aux sources et crédibilité efficace.
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2016
    Avant d'incarner le Justicier ou encore "Le flingueur" devant la caméra de M. Winner, la méga-star C. Bronson a été l'indien Chato, personnage au demeurant pacifique et souhaitant vivre en paix mais qui va devoir lutter pour sa survie avant de venger sa femme et son frère. En face, le légendaire J. Palance et quelques rednecks aux motivations diverses. Après avoir découvert les caractères de chacun, au fur et à mesure que la barbarie s'amplifie, on découvre les persos sous un nouveau jour, certains déçoivent (par leur lâcheté ou leur passivité) quand les autres s'affirment dans cette violence. C'est dur, violent, bien rythmé et certaines images sont tout simplement sublimes. Un bon western, qui nous propose une nouvelle lecture de cet Ouest sauvage et nauséabond, qui peut parfois choquer mais qui au moins, tente des choses assez incroyables. D'autres critiques sur
    Roub E.
    Roub E.

    732 abonnés 4 823 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2022
    Chato un métis indien abat le shérif d’une petite ville qui le menaçait. Une milice va se former pour le tuer mais les chasseurs vont devenir les proies. « Les collines de la terreur » tourne le dos au Western à l’ancienne ou l’indien est un sauvage assoiffé de sang, ici il se défend contre un groupe raciste qui a trouvé un prétexte pour assouvir sa haine. Charles Bronson est ultra charismatique dans cette chasse à l’homme violente qui utilise à merveille ses décors désertiques. C’est dérangeant dans le bon sens du terme, froid dans un environnement étouffant, sans issue positive possible, ce fut une belle découverte pour moi.
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