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    Sexe, mensonges et vidéo
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    138 critiques spectateurs

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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 novembre 2022
    Les problèmes du couple moderne selon Steven Soderbergh qui devient avec ce conte moral le plus jeune rèalisateur à obtenir la Palme d'or! Mensonges amoureux et confessions intimes en vidèo avec un excellent quatuor d'acteurs où se dètachent Andie Mac Dowell, et surtout James Spader (primè à Cannes) en jeune homme affligè d'impuissance qui filme qui filme qui filme! Allez un thè glacè sans citron pour les dètracteurs car "Sex, Lies, and Videotape" (1989) est devenu aujourd'hui une oeuvre culte alliant trouble des comportements et dèsarroi des couples entre attirance et refus! Une Palme contestèe...
    vince113
    vince113

    28 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2010
    Le premier film de Solderbergh demeure le météore qu'il fut à sa sortie. Moins qu'une radiographie du sentiment amoureux et du désir, il s'agit surtout ici de s'interroger sur le rapport au monde d'une génération plongée dans le matérialisme et l'individualisme. Chaque personnage s'aveugle de ses propres illusions (la femme au foyer, le yuppie, la libertaire) et seule l'intervention d'un étranger va leur permettre de faire face à leur vacuité. Personnage exogène à ce petit monde, Graham trimbale en effet un regard décalé et dangereusement clinique sur cette valse des faux-semblants où chacun ment et surtout se ment. Car le mensonge est avant tout nocif ici parce qu'il est dirigé contre soi-même. L'intelligence du film est d'avoir fait de Graham un personnage tout aussi paumé que les autres, et de son parcours l'écho direct à celui d'Ann : tous les deux se sont mis à l'écart du monde par peur de l'affronter. Et le film raconte autant leur rapprochement que leur réintégration au monde (dans le dernier plan du film, magnifique, ils arrêtent enfin leurs spéculations intellectuelles pour constater qu'il pleut). La mise en scène de Solderbegh restitue avec justesse ce glissement progressif que chaque personnage effectue en lui même et le récit, bien que très minimaliste, finit par nous bouleverser. Une jujstesse et une originalité assez remarquables pour un premier film... Qu'on peut aussi voir comme l'émouvant autorpotrait d'un jeune homme de 26 ans qui naît au monde grâce au cinéma.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 985 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 août 2009
    Un grand film sur la sexualité et la communication. Si la part réservé à l'érotisme s'avère très troublante (les confessions, scène du baiser) bien aidée par une belle B.O., c'est visiblement la communication auquel s'intéresse Steven Soderbergh du haut de ses 26 ans, et qui est aussi au coeur du problème des 4 citadins de son histoire. Chacun porte des secrets qui vont peu à peu se réveler au contact de l'étranger Graham, héros distancié incarné avec naturel par James Spader. Le problème du héros peut se voir comme une métaphore des difficultés à s'inscrire dans la société. 20 ans plus tard, le film n'a rien perdu de sa force et demeure même plus pertinent encore, Soderbergh pointant du doigt le matérialisme et l'"ulta-moderne solitude" de nos sociétés. Le magnifique plan final de Graham/Ann enfin réunis à l'écran dissertant sur l'état du ciel, peut se voir comme un retour au naturel et à la simplicité.
    Cohle.
    Cohle.

    45 abonnés 1 012 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2011
    Lorsque l'on sait qu'il a fallu seulement une semaine à Steven Soderbergh pour écrire ce film qui est également sa toute première réalisation ne laisse pas planer de doute quant au potentiel de l'homme. "Sexe, mensonge et vidéos" est ce que pourrait appeler les magiciens un tour de magie; prendre une chose "ordinaire" pour en faire quelque chose "d'extraordinaire". Au prix d'une réalisation minimaliste, le réalisateur met l'accent sur le jeu des acteurs (tous très bons d'ailleurs). La performance que livre Andie MacDowell est éclatante.
    SebD31
    SebD31

    78 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 décembre 2008
    Brillant, original et captivant, "Sexe, mensonges et vidéo" est une réussite totale. Mention spéciale à James Spader, acteur trop rare au cinéma, qui démontre dans ce film toute l'ampleur de son talent. Culte !
    kray
    kray

    45 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 octobre 2011
    Un premier film incroyable de justesse . Soderbergh frappait très fort avec ce film magique d'une tendresse infinie. Magistral.
    Backpacker
    Backpacker

    54 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2007
    Jamais le voyeurisme et la frustration sexuelle n'ont été analysés psychologiquement de manière aussi subtile par le réalisateur Steven Soderbergh qui fait preuve d'une maestria absolue... Remarquable en tous points, "Sexe, mensonges et vidéo" est à ranger définitivement dans le registre des films cultes...
    Alexarod
    Alexarod

    238 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 juillet 2015
    Palme d’or à Cannes 1989 hein ? Voilà qui finit de me convaincre que tout les films primés ne sont que des daubes que l’on essaie de faire passer pour des chefs d’œuvres parce qu’ils sont différents. Qu’à-t-on dans ce film ? Un titre qui porte bien son nom, moui c’est à peu près tout ce qu’il y a de bien là dedans.
    Je le note moins bien qu’un nanar car ce long métrage n’a rien de sympathique pour lui. D’abord c’est très lent, plus qu’Elephant man, ça se traine, l’histoire pourrait être résumée et filmée en 10 minutes montre en main. En plus, elle est banale, mais pire, elle est montrée de la même façon. Rien à apprécier donc. La trame est très classique, alourdissant l’ensemble, pareil pour la musique, très absente et tant mieux puisque quand il y en a c’est très moche (une sorte de plainte de violon mais en plus moche et moins abouti).
    Ça n’est rien encore comparé au vide que représente ce film et à ses longueurs. Enfin je devrais sa longueur puisque les 1h36 sont une seule et même longueur, inutile en plus puisque 10 minutes suffisent pour boucler le tout. Cela essaie de se barrer dans la psychologie mais sans parler des persos c’est dur. On ne sait rien d’eux, et on en n’apprend rien. Le jeu d’acteur est plus inexistant que la musique, c’est dire. En effet, aucun ne montre un début de sentiment ou d’émotion, aucun trait ne bouge, c’est plat. Aucune action pour les bouger, même la colère du mari semble bâclée et molle.
    Je garde le meilleur pour la fin : les dialogues. Les dialoguistes ont du s’évanouir en voyant ce film récompensé. Déjà ils n’ont aucun sens, ils sont vides aussi, ils ne sont pas réalistes pour un sou, ils n’apportent rien et si les silences n’étaient pas si nombreux on pourrait préférer que les acteurs se taisent tellement c’est insupportable d’incompétence. Tous les réalisateurs se plantent un jour, Sodenberg ne fait pas exception, la preuve, le seul problème vient du fait qu’il ait été récompensé pour son loupé, et du coup il n’a toujours pas fait de chef d’œuvre…
    Le jury aurait-il été influencé par le casting ? Pourtant un gros lot d’acteurs dans un long métrage sans prétention augure trop souvent d’une bouse, c’est connu, mais pas à Cannes. En bref c’est à éviter, trop mou et lent, n’amène rien, ennuyant mais se voulant bien travaillé, un produit fait pour Cannes en somme, du vide qu’on élève à un point immérité et où les « connaisseurs » se masturbent le cerveau pour trouver des raisons de justifier cette erreur..
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 146 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2014
    Sulfureux sans être putassier, voilà comment je pourrais résumer mon adoration de ce film. Au-delà de ça, les mots me manquent. Pour moi c’est un chef d’œuvre.
    Estonius
    Estonius

    2 480 abonnés 5 227 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 juin 2016
    Palme d'or à Cannes, on se demande vraiment pourquoi à moins que ce soit la prime à la lenteur. Il y a une idée dans le film, juste une et tout repose la dessus (y compris le titre du film) ça aurait sans doute pu donner un bon court métrage, mais 90 minutes, c'est un supplice, ça cause, ça cause et on n'a qu'une hâte c'est que ça s'arrête de causer, de plus la fin est bâclée. Côté interprétation c'est plutôt bien avec un James Spder troublant et une étonnante Laura San Giacomoy. Andie MacDowell n'est pas mal mais on la préfère dans des rôles plus légers. Un film a la réputation surfaite d'autant que Soderbergh a fait beaucoup mieux par la suite…
    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Quelques bonnes réflexions sur les différence entre l'amour et le sexe, quelques scènes efficaces éparses, mais Sexe, mensonges et vidéos est un film qui a beaucoup vieilli et qui n'est finalement que très peu dérangeant à l'heure actuelle.
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2011
    Coup de cœur ! J'ai adoré. Un film direct mais doux. Le personnage de Graham est fascinant et James Spader l'interprète à merveille. Andie Macdowell, toujours aussi sensible.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    93 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 février 2018
    Prémonitoire ce titre n’est-ce pas ? Un truc qui a donné autant de pouvoir à Weinstein, c’est dire la tare. Malgré cela, et même si on ne pouvait pas savoir à l’époque, ça a remporté une Palme d’Or. Quand on a fini de voir le tout on se demande encore pourquoi, et avec le recul ça décrédibilise l’institution.
    En dehors de ces considérations ça reste nul, tant les acteurs mous que « l’intrigue » inexistante et irréaliste. Franchement vous voyez une nana faire ça ? A plus forte raison plusieurs ? Jar Jar en empereur Sith est plus crédible. Certes Soderbergh réalise, mais c’était pas encore le cador de maintenant, puis il nous a pondu Solaris et Traffic hein ? C’est pas rien, puis n’oublions pas que la 1ère est rarement réussi… Entre ensemble inintéressant, rythme mou, histoire relou, film trop long, intérêt nul, Weinstein et une Palme ça finit de rendre ce film indigeste (et oui la fin inexistante n'arrange rien).
    bsalvert
    bsalvert

    320 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2016
    Un film tout en subtilité, qui traite de l'intimité et des relations de confiance.
    Avec James Spader qui avait des cheveux, Andie Mac Dowell terriblement séduisante, et tourné par Steven Soderbergh.
    PLV : un film qui n'a pas trop vieilli
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 septembre 2014
    Un film moderne et classieux, mais qui tourne un peu rond et n'offre pas grande substance. Soderbergh est un cinéaste hors pair : son métrage est admirablement bien monté, la mise en scène est fine et toujours très réfléchie pour rendre échos aux relations entre les personnages. Ces relations sont d'ailleurs le cœur du film (comme à chaque fois chez Soderbergh) et cela est servi par écriture assez remarquable. Mais le scénario souffre un peu de ces éléments et tourne en boucle sans jamais vraiment évoluer. Les personnages n'évoluent pas vraiment et aucun rebondissement ou éclat scénaristique ne vient relever le tout. On reste sur une réflexion sur la perversité et la névrose qui, au final n'est pas très intéressante.
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