Derniers Avis : Pour une poignée de dollars - Page 13

dire qu un western de sergio leone est un chef d oeuvre releve du pleonasme (meme si j emet quelques reserves sur il etait une fois dans l ouest, certes magnifique mais trop long a mon gout). a part ca que dire ? c est magistral, tout est parfait, de l interpretation (eastwood forever),en passant par le scenario, l esthetique , la mise en scene ou la musique fabuleuse d ennio morricone. le genre de film tellement captivant qu on a l impression de vivre ce que l on regarde. a voir, a revoir et a re-revoir.

Certe, ce n'est pas le meilleur film de Sergio Leone, mais il a au moins 2 mérites: il donne à Clint Eastwood l'un de ses plus grands rôle et il vient poser les codes du western spaghetti en rendant presque obsolète les vieux western américain de John Ford et Cie.
La scène de l'affrontement final entre Eastwood et les autres est juste excellente.
Comme je le disais, je ne pense pas que ce soit le meilleur western de Leone mais il est une marche/étape avant ses chefs d'oeuvres "le bon, la brute et le truand" et surtout "il était une fois dans l'ouest".
La musique de Ennio Morricone (loin d'être la plus belle) vient apporter cette touche de singularité au western spaghetti.
Clint Eastwood est impeccable, et j'ai également beaucoup aimé l'acteur qui joue le croquemort (on le retrouvera dans d'autres western de Leone mais aussi dans mon nom est personne).
Pour une poignée de dollars est donc un petit bijou du cinéma qu'il faut avoir vu au moins une fois.

Premier des trois films formant la "trilogie du dollars", "Pour une poignée de Dollars" marque la fin de la pèriode Peplum de Sergio Leone et le début de sa pèriode Western voire le commencement du Western spaghetti. Un changement de genre bénéfique puisque l'on ne peut pas qualifier ses premiers films de "géniaux" ou d'"inoubliables". Néanmoins, ici encore, je trouve le talent de Sergio Leone trop surestimé. La réalisation en elle-même, d'un point de vue technique, n'a rien d'extraordinaire: une photographie qui n'est pas particulièrement soignée, des plans mouvants de caméras parfois maladroits,... Même le scnéario manque de consistance et n'offre que des rebondissements prévisibles d'où apparaissent par moment quelques longueurs ( spoiler: exemple du massacre de la famille Baxter qui dure deux plombes
). En revanche, Sergio Leone sait bien s'entourer que ça soit pour les acteurs ou le compositeur de la bande son. En effet, la musique d'Ennio Morricone apporte énormément au film, ajoutant du poids à certaines scènes.

Premier western "spaghetti" de Sergio Leone qui voit l'émergence de Clint Eastwood. Contrairement aux autres westerns que Sergio Leone a réalisé, celui-ci possède beaucoup moins de longues scènes, ce qui lui donne une meilleure dynamique. Le duel final entre Clint Eastwood et la bande des Rojos est magnifique.

Le premier film de la série de "l'homme au poncho" (que j'ai enfin vu après les suivants...) est à mes yeux essentiellement du domaine de la pièce de collection. Je dois dire que j'ai été un peu déçu mais il faut tout re-situer dans la perspective temporelle. C'est pourtant CE film qui a été le premier porteur de la prodigieuse capacité à innover de Sergio Leone. Aussi bien dans le jeu des acteurs que dans le rythmes, la musique, les cadrages, l'utilisation des décors naturels.... Alors quoi, je chipote? Non, mais je prétends que le Bon, la Brute et le Truand est d'un calibre nettement supérieur - c'est tout.

Premier volet de l'une des plus célèbres trilogie de l'histoire et sans aucun doute la plus connue en ce qui concerne les westerns spaghetti, la trilogie de l'homme sans nom voit le jour avec "Pour une poignée de dollars" réalisé par le non moins célèbre réalisteur italien Sergio Leone, le spécialiste ultime des westerns. Un film qui nous raconte le rôle d'un vagabond tireur d'élite cherchant à faire fortune en servant tour à tour deux familles ennemis qui s'affronteront sans relâche dans une petite ville au Far West. La mise en scène et le scénario sont à la hauteur de la réputation du film et de la trilogie, mais le film n'atteint pas le puissance de "Le bon, la brute, et le truand" qui est pour moi le western de référence surpassant de loin l'ensemble de la trilogie ainsi que de la filmographie de Leone. Mais il n'empêche que ce premier volet est une très grande réussite et un très grand film très bien porté par un Clint Eastwood charismatique et excellent dans son rôle (mais là encore, il ne surpasse pas son rôle de blondin dans le dernier opus de la trilogie).

IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST. Il était une fois Ennio Morricone et Sergio Leone qui lancèrent le mouvement des westerns spaghetti. Les années d'or, avec comme emblème le gros plan sur les visages typiques et une musique inoubliable. Encore un épisode et on atteindra l'apothéose avec Le Bon la Brute et le Truand. Impitoyable.

clint eastwood, gian maria volonte se retrouvent au mexique dans un duel remarquable où le premier se jouera d'une querelle de bandes, pour sauverla veuve et l'orphelin et les dollars...

Premier volet de la saga des "Dollars". Cela reste un excellent western mais pas le meilleur de Leone. Quant à Clint Eastwood il est parfait dans son rôle de justicier mercenaire. Manque juste un peu de profondeur au scenario mais cela reste tout de meme un film culte ...

Début de la mythique Trilogie du Dollar avec un excellent film et une musique culte. Leone impose sa patte. Clint Eastwood est déjà magistral. Un grand film.

Quel gâchis, mais quel gâchis ! C'est pourtant pas le potentiel qui manquait pour faire un chez d'oeuvre, mais non, parce que monsieur Leone n'a jamais compris ce que c'était, un chef d'oeuvre. Ho non ! Monsieur Leone il veut faire des films comme bon lui plait, il veut transformer de bons dialogues en citations niaises à vomir, il veut tout exagérer jusqu'à l'over-dose, les émotions, les sentiments, toutes les actions, parce qu'il se croit encore en 1911, et qu'au cinéma, il faut bien montrer au gens un peu bébêtes, qu'est ce qu'on veut leur montrer, ne pas hésiter à faire d'un détail une montagne, surtout pas. Et pour couronner le tout, il arrive à nous faire détester de magnifiques compositions de Morricone, en utilisant la même sans interruption pendant 45 minutes, jusqu'à la péremption du disque, avant d'en passer un autre. Et puis ne parlons pas du montage, le pauvre vieux devait être sourd... mais à 37 ans, c'est ballot.

Le premier film de la trilogie du dollar par el maestro Sergio Leone, un petit budget (200 000 dollars) et pourtant avec un excellent avec un Clint Eastwood toujours dans la peau du justicier sans nom. Une très bonne histoire et un grand film. Petit Chef-d'oeuvre de Sergio Leone qui en réalisera des immenses par la suite.

C’est l’un des films de Sergio Leone que j’ai le moins aimé. La maîtrise de la mise en scène est toujours là mais le scénario n’est pas d’une grande qualité.

Sergio Leone pose les bases de ses western spaghettis dans ce film qui comporte de grande scène de tension avec une maîtrise impeccable de la mise en scène. Si le récit n'est pas forcément des plus approfondis, ceci est largement compensé par un rythme parfait, une galerie de personnages magnifiquement travaillés et bien sûr par la présence écrasante du grand Clint Eastwood dans un rôle de héros mystérieux, parfois presque ammoral et pourtant qui fait preuve d'une étonnante empathie envers ses semblables, un caractère que l'on retrouve souvent chez Leone.

Un film culte, ouais, bof ! Original certes, mais sinon : histoire simpliste, humour inexistant, rythme essoufflé, acteurs affligeants (G.-M. Volonte et Clint Eastwood encore loin de leur apogée), bref, un succès immérité. Mieux qu'une poignée de navets, mais du dollar au plus bas !