Derniers Avis : Pour une poignée de dollars - Page 15

Probablement le moins bon de la trilogie mais une réference quand même.

Le premier volet de la trilogie Sergio Leone-Clint Eastwood est certainement le meilleur (c'est dire le niveau des autres !) surtout à voir pour la première et la dernière demi-heure de ce film incompréhensible...

Film OBLIGATOIRE pour tout fan de western, ce film premier d'une trilogie est excellent en tous points. Attention, scène culte!

Excellent western réalisé par l'excellent Sergio Leone et emmené par l'excellent Clint Eastwood. Belle B.O, beaux décors et paysages, et scénario aussi bon que bien travaillé. On passe un agréable moment.

Premier Western de Leone. Le film n'est pas aussi abouti que " Et pour quelques dollars de plus" et surtout que "Le Bon, la Brute et le Truand" mais les bases sont la. Clint Eastwood à la grande classe, les méchants des gueules pas possibles, on est bien dans un western spaghetti. Ce qui fait défaut à ce premier volet par rapport aux deux suivants, c'est le scénario, vraiment basique, deux bandes rivales qui s'entretuent dans un même village et au milieu de tout ça, le héro. Les personnages sont peu approfondis et donc moins intéressants. La musique de Morricone est très bonne mais un peu répétitive, un défaut qu'il corrigera par la suite On passe donc un très bon moment devant ce premier coup d'essai de Sergio Leone qui nous livre un très bon western.

Pour moi la première et la meilleure collaboration Leone-Eastwood! La musique de Morricone est fantastique et le final grandiose! un chef d'oeuvre.

Dés les premières notes du générique d'introduction, le ton est lancé. Dés les premières images, le ton ne fait que se confirmer: Le temps des fables de John Ford, Howard Hawks et tous les plus grands réalisateurs de western est terminé, le renouveau du genre se situe en italie, celui qui a boulversé tous les codes se nomme Sergio Leone.
Dans "Pour une poignée de dollars", il n'y a pas de héros, mais des anti héros sans foi ni loi, l'homme sans nom incarné par Clint Eastwood n'est interessé que par l'argent. Mais le renouveau se situe aussi dans la réalisation de Sergio Leone, gros plan sur des tronches sales, lenteur des gestes, montage au millimètre sur la célèbre musique de son comparse Ennio Morricone.
Un mythe est né avec ce remake d'un film japonais, "un putain de bon film" comme il est dit dans "Retour vers le futur II".

rien que pour ce genre de film, j'aime le cinéma : viva le cinema comme dirait l'autre (que tout le monde connait)

Le premier des chefs d'oeuvre de sergio leone, il vaut vraiment le coup, car c'est un super western birn joue et avec une superbe musique.

Le début d'un mythe. Non, pas un. Trois. Le pluriel est plus approprié. C'est ici que tout commence pour Clint Eastwood, Sergio Leone et Ennio Morricone. Belle brochette qui forme le principal intérêt de ce film à petit budget au scénario un peu creux et répétitif. À voir donc pour la qualité de sa réalisation, de sa bande originale et la performance de l'acteur principal.

Un western d'une vrai classe, comment ne pas apprécier un tel déferlement de beauté?

Enfin, une sortie en DVD. Un grand film et du grand Eastwood!! A voir et à revoir!!

Premier film d'une trilogie Culte.
Le film qui va reveler tout le talent du grand Sergio et faire découvrir Clint Eastwood.
A voir, revoir et revoir encore.
Un grand coup de pied dans le genre du Western.
Cultissime...

Un excellent film de la part du genial sergio leone. Un film novateur avec une realisation revolutionnaire, des acteurs formidables et des scenes d' anthologie, accompagnées d' une musique superbe.

Je suis très déçu. "Pour une poignée dollars" est un film bien réalisé, bien interprété, très divertissant, rempli de scènes intense et d'humour, avec la petite musique géniale de Morricone derrière... Mais il a quand même cruellement vieilli. Déjà, il y a ces effets spéciaux, presque risibles. Et puis surtout, il y a ce côté naïf. C'est terriblement naïf. L'histoire du petit (qui, au passage, joue extrêmement mal), par exemple, c'est grotesque, et même si l'ironie habituelle de Leone est présente, ça reste assez pénible. On n'est ici qu'à l'émergence du génie de cet immense réalisateur qu'est Leone.