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    Les nuits de la pleine lune
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    46 critiques spectateurs

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    Albert
    Albert

    3 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mars 2024
    quelques bons dialogues, le charme et l'humanité de l'époque après le film est globament ennuyeux
    Patjob
    Patjob

    18 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mars 2024
    Un marivaudage intéressant et plaisant, représentatif d’un milieu et d’une époque (le cinéaste sait saisir « l’air du temps »), en particulier des nouvelles façons de considérer les relations de couple. Mais bien loin à mon sens derrière les meilleurs films de Éric Rohmer. Il souffre, par comparaison, d’un manque d’idées scénaristiques, ce qui génère des situations plutôt convenues. On ne trouve pas non plus les dialogues étincelants qui caractérisent entre autres son meilleur cycle, les « Contes des quatre saisons » ; faute de quoi, le film paraît par moments « bavard ». Il en résulte au final une œuvre plutôt banale que l’on oubliera (sauf Pascale Ogier) assez rapidement.
    Starwealther
    Starwealther

    46 abonnés 1 161 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 décembre 2023
    "Les nuits de la pleine lune" n'est vraiment pas le meilleur Rohmer, je l'ai trouvé long. De plus, les acteurs sont vraiment moches, il n'y a pas grand chose à admirer. En effet, Pascale Ogier (morte trop tôt d'une overdose) n'est pas très séduisante et ne convient pas au rôle. Par contre, Fabrice Luchini est excellent comme toujours, il excelle dans ce rôle d'intello amoureux plus que tout. Regardez plutôt "Pauline à la plage" ou "Ma nuit chez Maud" qui sont de bien meilleure facture.
    kingbee49
    kingbee49

    27 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2023
    Le portrait doucereux-amer d'une demoiselle entre deux amours dans le Paris chic des années 80. On y squatte le parquet de grands appartements bourgeois lors de surboums ou tout le monde est bien propre et gentil... Bon, à mon sens ce n'est pas le Rohmer le mieux écrit je trouve, il manque un je ne sais quoi de plus fin et d'intelligent dans cet énième badinage avec l'amour. Les acteurs ? Tcheky Karyo est plutôt bien dans son registre ténébreux et Fabrice Luchini peaufine déjà son numéro de pré-dandy qui l'imposera un peu plus tard dans "La discrète". Mais la belle affaire du film c'est évidemment Pascale Ogier. Avec sa voix fine et feutrée est tour à tour touchante ou nonchalante... En contrepartie je ne trouve pas qu'elle transcende l'écran non plus. Il faut dire que le destin ne lui aura pas donné cette chance de briller mieux dans d'autres films...
    Agnès Lapraz
    Agnès Lapraz

    17 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2023
    Tous les films de Rohmer ont un effet merveilleusement apaisant et émouvant sur mon âme hypersensible. Et comme toujours l'immersion dans les ambiances, les époques, tous les personnages rendent à mes yeux ses films inégalables. Encore un chef d'œuvre que j'ai découvert avec bonheur et qui m'a transportée par son réalisme, son esthétique et sa sincérité. Pascale Ogier y est incomparable et captivante.
    LAvisDuNeophyte
    LAvisDuNeophyte

    2 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2024
    Fascinant par ses acteurs et la profondeur des dialogues. Pas d'action ou presque. Pourtant cela fonctionne. Le film prend tout ce qu'on pourrait en attendre à contrepied : c'est un film des années 80 mais dans un langage soutenu et dépourvu de violence verbale, c'est une comedie sentimentale sans parler d'argent, de mariage ou de beaux-parents, c'est un Rohmer mais avec un soin d'image, de mise en scène, un peu de musique et 3 interprètes principaux brillants, c'est du Cinéma d'Art et d'essai avec une histoire très claire. Presque chaque scène est un chef d'oeuvre tant Pascale Ogier illumine le film de son jeu si particulier.
    GéDéon
    GéDéon

    50 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 décembre 2022
    Figure emblématique de la Nouvelle Vague, Éric Rohmer livre en 1984 un long-métrage sur les atermoiements d’une jeune femme à la recherche du bonheur sentimental. Comme souvent avec le réalisateur, les réflexions sont livrées par le biais de longs dialogues exprimés avec beaucoup de théâtralité. Ce style vénéré par certains, n’en demeure pas moins extrêmement pompeux. On ne va pas parler de la direction d’acteurs mais plutôt du talent. Et force est de constater que Pascale Ogier (qui décèdera tragiquement quelques mois après la sortie de ce film) n’en possède pas beaucoup. Seuls Tchéky Karyo et Fabrice Luchini s’en sortent honorablement. Bref, une dissertation sur l’amour et le statut de la femme libre non dénuée d’intérêt mais passablement ennuyeuse.
    3francs-6sous
    3francs-6sous

    1 abonné 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2022
    « Qui a deux femmes perd son âme, qui a deux maisons perd sa raison ». Rohmer rentre dans le film dressé face au libertinage et à l'individualisme. En bref, il fait front face au progressisme qui secoue sont siècle et emporte tout ses contemporains.

    Pour les références à Mondrian, il me semble que la politique de l'artiste plasticien n'est pas soutenue par la politique de l'auteur dramatique. Le caractère socialiste utopique à la Mondrian ne me semble pas être soutenu par Rohmer. En revanche, le procédé formel qui vise l'épuration des moyens afin d'exprimer l'essence du réel congrue avec toute l’œuvre de Rohmer. C'est sans doute à cela qu'il a rendu hommage. Mais l'un comme l'autre, que nous montrent-ils du réel ? Ils nous montrent leur point de vue sur les rapports sociaux a des degrés d'abstraction et de prétention différents. Rohmer questionne l'amour et la sexualité avec une vision séculaire, Mondrian questionne le monde matériel dans son ensemble avec une vision fantasque. Peut-être que Rohmer tend lui aussi à l'universel ? S'il n'a pas la prétention d'y tendre complètement, à mon sens il y tend d'avantage que Mondrian.

    En revanche, le personnage de Louise est une incarnation de cet individualisme qui réfute le péché originel, exposé dès le début, lorsqu'elle dit à son homme, et a elle même, pour expliquer ses sorties libertines : "C'est pas contre toi, j'suis comme ça !". Cette jeune femme se pare d'utopisme pour jouer avec ses désirs et son pouvoir d'attractivité comme si ces sentiments étaient purement désincarnés, et appartenaient à une lubie sociale, enchaînant les femmes à leurs hommes. En faisant cela, elle s'enchaîne elle-même à sa propre individualité, et détruit les liens sociaux qui l'entoure. spoiler: Elle met en concurrence son homme, son meilleur ami et des inconnus sur le terrain de l'amour et du désir et finit par s'y perdre, perdre son homme et son amour
    . L'auteur nous dit bien que l'amour n'est pas un jeu, et qu'à trop employer les sentiments avec légèreté, la gravité s'impose, et le tragique s'installe. Ainsi, la tragédie est le couronnement de l'utopie !
    stans007
    stans007

    15 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2023
    Un drame rohmérien de bonne qualité avec une des premières apparitions à l’écran de Fabrice Lucchini et la dernière de Pascale Ogier décédée tragiquement d’une crise cardiaque deux mois après la sortie du film. Quatrième volet de la série « Comédies et proverbes », c’est un film d’une grande finesse psychologique, que ce soit pour le personnage de Louise, maladroitement tentée par une liberté nouvelle dans le couple, ou celui d’Octave confident intéressé de ces dames.
    Jean Pierre Bellay
    Jean Pierre Bellay

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 novembre 2020
    Rien de neuf. Le film d’un diseur de lieux communs sans aucun intérêt voulant nous faire croire qu’il aborde des vrais sujets. Quel ennuie, quel desolation, quel prétention, quel manque de connaissances et de culture chez ce cinéaste. Dépassé par la jeunesse des années 80, il n’a rien compris à ce qui se passait.
    Quand au style, difficile d’en parler puisqu’il brille par son absence. On en est au niveau de prestation d’un film amateur de collégiens.
    Le cinéma d’art et d’essais devrait accoucher de temps en temps d’art et pas que d’essais!
    Hotinhere
    Hotinhere

    400 abonnés 4 706 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2020
    Portrait d'une micro société intellectuelle parisienne des années 80. Un film beaucoup trop bavard et assez ennuyant.
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2019
    Dans 'Les Nuits de la pleine lune', Rohmer parvient à trouver l'équilibre parfait entre légèreté - voire trivialité - et profondeur. Drôle, bien écrit, c'est un bonheur à regarder et à écouter grâce à la bande originale d'Elli et Jacno.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2019
    Film très touchant, l’histoire de Louise, qui voudrait être aimée, se pense aimée, est aimée, mais qui voudrait une part de liberté. Une liberté qu’elle ne trouve pas, ou qu.elle ne cherche pas au meilleur endroit.
    Marian88
    Marian88

    2 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juin 2019
    Film dans un pur style Rohrer avec une économie de moyens pour les décors et des dialogues qui prennent une importance plus qu'essentielle, Les Nuits de la pleine lune est un petit film de conversations sans prétention entre un couple et quelques protagonistes.

    Avec comme héroïne principale Pascale Ogier incarnant Louise, qui restera son dernier film après sa mort due à une overdose en octobre 1984, on retrouve Luchini en confident et meilleur ami, un peu barbant sur les bords, même s'il étale sa prose comme jamais dès qu'il en a l'occasion. Tchéky Karyo, excellent par ailleurs en mari délaissé et enfin Christian Vadim qui joue l'amant de sa femme.

    Ambiance et scénettes très années 80 par parfois des échanges niais et désuets mais comme la plupart des films de son époque, celui-ci ne déroge pas à la règle. Très classique et des rebondissements pas mirobolants mais c'est une comédie plaisante à regarder.

    A noter que durant ces 1h40 de projection, AUCUN protagoniste ne fume de cigarette, c'est assez rare pour être signalé !
    Jahro
    Jahro

    42 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2018
    Pilier de la Nouvelle vague aux côtés des Truffaut, Godard et autres Chabrol, Eric Rohmer n’est déjà plus tout jeune quand il nous offre ses Nuits de la pleine lune. Dans cette quatrième partie du cycle Comédies et proverbes, il raconte, comme souvent, une femme. Une femme libérée, dirait Cookie Dingler. Et ce n’est pas si facile. Vingt-six ans, aguicheuse, mince et permanentée, titi moderne et hyper sensuelle, elle est une réponse à tous les fantasmes alors en vigueur. Elle assure aimer son Jules, mais lui a des doutes. Casanier, peu bavard, il s'inquiète de l’ami d'enfance, qui aimerait être un peu plus, et des amants possibles, qui finiront bien par l’être. Très inspiré du théâtre, le jeu d’acteurs ne convaincra pas tout le monde. Tous scandent leur texte à tue-tête, l’articulent soigneusement, l’accompagnent de grands gestes, de regards intenses, parfois vagues aussi, en tout cas toujours superficiels. A ce petit jeu, c’est Luchini qui s’en tire le mieux, n’en déplaise aux vénitiens de la Mostra qui préfèrent saluer Pascale Ogier. Une étoile filante, lira-t-on, qu’une brutale crise cardiaque emporta trop vite. Ces louanges étonnent : elle force tant sur les minauderies qu’on pense au Doutage, des Inconnus : « – J’aime l’automne… – Pas moi, moi je préfère… l’automne ? » Restent alors les superbes cadrages géométriques inspirés de Piet Mondrian, ou les inserts de courte transition sur le Paris by night. Est-ce suffisant ? Certains l’estiment. Moi pas.
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