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Flash FrDz
3 critiques
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3,0
Publiée le 9 janvier 2023
Je sais pas pourquoi ce film a plus marqué que la haine et ma cité va craquer bien que certaines scènes sont à retirer possiblement en DVD je parle de la Seine ou Tabatha Cash se montre nu mais je trouve que Samy Naceri joue parfaitement bien son meilleur rôle j'aurais mis 4 étoiles complètes si certaines scènes incohérentes dont les scènes de nudité. 6/10
Malgré le fait que les personnages passent leur temps à hurler du début à la fin, le film est sympa à suivre et très poignant. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
Le film des années 90 sur ce sujet que je préfère. On y trouve des acteurs authentiques, un talent (S. Nacéri), l'icône porno de l'époque (T. Cash), une panoplie de personnages que l'on a pu effectivement pu connaitre dans ces quartiers de banlieue... Mais aussi de l'humour, de la sensibilité, du drame... Combien de jeunes de cité se sont mis à fredonner du Aznavour à la suite de ce film? Bref un plaisir à revoir pour les nostalgiques ;-)
A priori, Raï ne dispose pas des atouts séducteurs de ses prédécesseurs: ni la facture léchée et les ambitions esthétiques de Kassovitz ni l'âpreté et l'aspect démo de contrebande du film de Richet et Dell'Isola. Banlieue ou pas banlieue, Raï s'inscrit dans la logique des films de Thomas Gilou, cinéaste dépourvu de prétentions, si ce n'est celle de communiquer avec son public par les émotions les plus simples et les moins faisandées. Il faut donc regarder Raï à l'aune de Black micmac: un même regard chaleureux sur les rites, les travers et les particularismes d'une de ces communautés qui forment le tissu de la France contemporaine, une vision à hauteur d'homme, une veine comique qui essaye d'éviter aussi bien le cynisme supérieur que la complaisance grasse.
Un autre rail de haine. Dans la même année, en 1995, il y à eu La Haine de Kassovitz. Raï quand à lui, est une réalisation de Thomas Gilou (La vérité si je mens). Le sujet est similaire, la cité, les confrontations, des injures, la drogue, la difficulté sociale, bref, mais cela ne vaut pas le Kasso. On y trouve du bon quand même, pas mal de passages forts grâce aux exécutions des protagonistes, notamment Samy Naceri qui impressionne avec un grand naturel son petit monde. C'est ici également que vous trouverez les débuts au cinéma (et même la fin...), de l'actrice X Tabatha Cash.
Surfant sur le succées de la haine Thomas Gilou donne moins de force et de maestria à son film mais arrive tout de même à livrer un film honorable et beaucoup plus regardable que d'autres productions françaises. 14/20
Les intentions sont louables mais le film est réellement gâché par des acteurs vraiment mauvais (mis à part Samy Naceri très convaincant dans son rôle de toxicomane). C est vraiment dommage.
Peut-être un film un peu caricatural, mais avec des scènes très touchantes et un Sami Nacéri puissant dans son rôle! La violence est la star du début à la fin, la seule part de douceur ne supportant plus la cité s'en va. Quelle solution pour ceux qui restent? Le film ne la donne pas, il décrit.
Un film dont j'me sens obligatoirement proche, la banlieue est vu sous un autre angle, il sera seulement vu comme une propagande a la haine pour certains mais pour les gens qui comprendront le message c'est un appel a l'aide, Samy Naceri est saisissant, dommage qu'il est aujourd'hui le personnage qu'il interprete.
samy naceri est géniale et ma fait rire et pété un plomb nan mais il déchire avec poisson, les autres acteurs sont pas des plus transcendant mais sa passe encore. agréable a regardé quelque bon passage.
Raï (1995), c’est un drame social sur la banlieue, les cités difficiles avec des jeunes qui dealent, volent, se droguent, vandalisent, bref rien d’extraordinaire, sauf qu’ici, durant 85 minutes, ils passent leur temps à s’engueuler, s’insulter et à se taper dessus. Un scénario inintéressant, pourtant pas si désagréable à suivre (heureusement), mais niveau interprétation, il ne faut pas être trop exigeant, entre Tabatha Cash (qui tente une reconversion après l’univers du X) et Samy Naceri (qui s’avère être tout bonnement exaspérant). Un mois jour pour jour après l’excellent La Haine (1995) de Mathieu Kassovitz, toute comparaison entre ces deux films s’avère inutile, deux films sur le même sujet, dont le premier est définitivement culte alors que le second s’oublie sans grand regret.