Avis : Cours, Lola, cours - Page 3

Cours, Lola, cours est un film très dynamique. Le point fort de se film est sa forme,qui arrive à transcender son propos. En effet il y a une très jolie photographie,et il y a une Bo de fou qui en adhéquation avec le film et la mise en scène très dynamique. Par ailleurs l'histoire qui se recommence plusieurs fois est presque banale,mais grâce à sa forme et à ses acteurs (Franka Potente en tête et aussi Moritz Bleibtreu qui sont très bons) le film est indécrochable. Pour finir parlons de la couleur de cheveux de Lola,le rouge se retrouve dans le film lors de moments importants,il évoque la passion et c'est aussi la couleur qui évoque le mieux le titre. En effet si la mise en scène est dynamique c'est avant tout parce que Lola ne fait que courir,si vous aimez la course(se qui est mon cas),vous sentirez cette sensation qu'est de courir vite et en plus longtemps. Bref un film à la mise en scène dynamique à féliciter,car sa ne par pas dans tout les sens. De plus ce film est très touchant,son seul point faible réside dans son scénario pas assez étoffé et répétitif.

Absolument culte, je recommande ce film qui un de mes préféré; la BO est géniale !!!

On peut penser que tykwer est surestimé , mais en tous les cas , ce n'est certainement pas la faute à cours lola cours ! Voiçi une petite production allemande originale , pimpante, et endiablée . Une réalisation dynamique convenant très bien au réçit, et une formidable franka potente viennent s'ajouter aux nombeuses qualités de ce film surprenant. Un grand bravo à tom tykwer.

C'est un film vraiment original. Il y a de l'humour (dans les dialogues et les situations), des effets visuels délirants, un scénario à tiroirs, des personnages caricaturaux mais attachants, une mise en scène nerveuse et novatrice, des idées de rebondissement vraiment incroyables... Mettez le tout dans un shaker et mélangez très fort et vous obtenez ce film vraiment TRES différent des productions américaines hollywoodiennes.
Je n'ai même pas fait attention à la musique de fond très "techno" et pourtant omniprésente, c'est dire si on ne s'ennuie pas pendant ce triptyque de "20 minutes de la vie de Lola et Manni".

Cours, Lola, Cours est un thriller passionnant de la part du metteur en scène Tom Tyhwer. Grace à un scénario assez étonnant, ce film se révèle être une vrai surprise. Les comédiens sont tous très bons, en particulier la mimi Franka Potente qui joue son rôle d'une bien belle manière et elle donne d'ailleurs beaucoup de volonté tout au long du métrage.
La mise en scène du réalisateur est excellente, et fait de ce film une oeuvre à découvrir pour ceux qui ne l'ont jamais vu.

14/20

Avec ses effets immondes, et sa musique assourdissante, le film ne tien vraiment pas la route tout comme notre Lola. L'histoire est très mal écrite : L'exemple du mec qui oublie les 100000 Marks dans le métro est assez frappant. Un très mauvais film, a ne pas voir !

cous lola cours a la particuliarité d'avoir 3 histoires identiques avec 3 denouements différents.
Ce qu'il est génial dans ce film,c'est de voir que dans chaque histoire des détails différents influe sur l'issu de l'histoire.
Ce que l'on peut nous méme retrouvé dans notre vie courante.

Quelle déception, le film porte bien son titre, le scénario se résumant à une corse poursuite de 20 minutes répétée 3 fois avec à la clé 3 fins différentes. On ne comprends d'ailleurs pas le pourquoi du comment ces trois intrigues se succèdent. La réalisation est très nerveuse originale, mais la BO techno tape sur les nerfs au bout de 10 minutes. Bref pas grand chose à retenir...

je me suis que ce serait sympa à voir une fois, eh ben je me trompais, car premièrement ce film est très amateur et à son propre univers auquel je n'ai pas accroché. Franka Potente est peut-être excellent, mais le reste laisse à désirer. bref, dans l'ensemble c'est très moyen et je ne lui accorde que la moyenne.

Un film au sénario ultra-banal mais qui, grâce à sa réalisation très originale, le rend supérieur à de nombreux autres long-métrages. Les 80 minutes de ce film passe à une vitesse folle notemment grâce à la musique techno qui lui donne un rythme effréné. C'est aussi l'occasion d'entendre Franka Potente dans sa langue d'origine, l'allemand (à condition bien sûr de le regarder en VO!)!
Un bon p'tit film dont on se lasse pas de regarder!

On passe un grand moment devant notre télévision! Ce film illumine votre soirée! Ce film e beaucoup de suspens et est trois fois plus intéressant avec ses différents scénarios qui valorisent le film et le change pour qu'on le voit trois fois d'une autre manière tous ça pour un seul but.
Bref, il est très original!

La théorie du chaos vue par Tom Tykwer, sorte de bouillabaisse indigeste aux effets de styles désastreux. Bref c'est pas joli joli. Alors oui il y a un max d'énergie, de rythme, mais les images sont d'un laid... c'est un film poubelle, vraiment! Qui n'a d'interêt que son montage. Ah si, on a aussi la jolie Franka Potente (future muse de Jason Bourne) qui a dû en chier à courir dans tous les sens! Sinon bon c'est pas non plus nullissime, mais force est de constater qu'à sujet casse-gueule, on se casse souvent la gueule... surtout sans talent.

Ah que voilà du cinéma efficace ! Cours Lola cours est un film concept, mais quel concept et quel film !
Film court se passant en temps réel et se découpant en trois actes de 20 minutes chacun une fois l'introduction passé, Cours Lola Cours raconte la même histoire 3 fois de suite en abordant la thème de l'effet papillon selon lequel un événement mineur peut avoir des conséquences importantes.
Ultra dynamique et rempli de bonnes idées de réalisation et porté par une musique hypnotisante, le film est un pur plaisir de la première à la dernière minute.

Crimes et pouvoir, c’est un couple aux caractères qui s’opposent (fonceuse qui n’a peur de rien et vieux sage un peu bourru), mais politiquement correct (blanc et noir, homme et femme), donc avec une base déjà un peu stéréotypée. L’histoire par contre ne l’est pas du tout, puisque c’est l’armée américaine qui est mise en cause. On y retrouve dans la plus pure tradition le major violent, le colonel buté, et le jeune pas très sur de lui. Beaucoup de rebondissements qui nous tiennent en haleine, une mécanique bien huilée, et un scénario « c’est pas celui qui dit qui y est ». Pas aussi fouillé et puissant que « Le Deshonneur d'Elisabeth Campbell », mais se regarde avec grand plaisir.

"Lola...", grand héritier de "Trainspotting" lui aussi trop en avance sur son temps, est un exercice de style à double face : la première est de plonger le spectateur dans un univers où tout, son, image, récit, est fait pour vous stresser, la deuxième, philosophique, de montrer en trois point de vus différents comme simple détail peut renverser le cours d'une histoire. Mais tout cela relèverai de l'anecdote si "Lola..." n'était pas un film aussi visuellement inventif et percutant. Malgré les années passées depuis, les premières minutes sont d'une virtuosité inégalée. Le réalisateur arrive à plusieurs reprises, grâce à son talent de surdoué, à bâtir des petites séquences qui nous hypnotisent, comme lorsque Lola descend l'escalier en spirale. Seule déception, la fin arrive très vite, le film trop court passe comme une course.