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    Harakiri
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    4,4
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    tyrionFL
    tyrionFL

    16 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2020
    Seppuku est un monument du cinéma japonais qui selon moi rivalise sans peine avec les films de Kurosawa.
    La durée et la lenteur du film peuvent rebuter mais l'histoire dense qui se dévoile petit à petit parsemé de pleins de révélations surprenantes m'a tenu en haleine.
    Les acteurs sont tous impeccables et incarnent parfaitement leur rôle dans ce drame qui ne tombe pas dans le pathos facile.
    Un grand film impeccablement réalisé par Masaki Kobayashi qui vaut encore le coup presque 60 ans plus tard.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 octobre 2019
    Je ne fais sans doute pas me faire que des amis en allant à contre-courant de la majorité des critiques, qu'elles soient de la presse ou des spectateurs, ce film a le statut de chef d'oeuvre.
    Sans vouloir dénaturer un film avec un telle renommée, j'estime que s'il a bouleversé tant de gens c'est qu'il a des qualités indéniables et il en a, en effet.
    Le film est doté d'une belle photographie, avec des prises de vues d'ensemble assez lointaine et des gros plans sur les acteurs afin d'intensifier l'aspect suffoquant liée à la trame dramatique du scénario.
    Les acteurs principaux sont très bons (Tatsuya Nakadai : Le ronin, et Kageyu Saito : L'intendant ) bien que caricaturaux mais c'est fidèles aux réalisations théâtrales asiatiques du genre.
    Bien que je ne connaisse pas spécialement cette partie de l'histoire du Japon, mais qui vaut le coup de s'y intéresser, le film mets en évidence les conditions de vies difficile de l'époque, et notamment des Rodins, enclins à la misère malgré une période de trêve.
    Si cet aspect la est intéressant, que le scénario se tient, le film m'est très rapidement paru comme d'un ennui mortel.
    [spoiler] Jusqu'au Harakiri de Chijiwa, j'arrivais encore à être tenu en haleine, malgré la lenteur du film, pensant que c'était la, une mise en route en douceur subtilement souhaitait. [spoiler]
    Mais non ... le film traînera en longueur jusqu'à la fin avec des scènes redondantes.
    Disons le clairement, je n'ai pas aimé ce film, aussi culte soit-il.

    En guise de bouquet final, un combat Kill Billien dans le giron du château du Clan Li. Pour certains c'est du grand art pour moi c'est à la limite du risible désormais. Le film a près de 60 ans, et les scènes de combats de l'époque sont moins professionnels que ce que l'ont fait désormais, et attention, je ne parle pas la d'effets spéciaux, mais bien de l'argent qui sert à utiliser des doublures, des plan de cadrage plus dynamiques, également à permettre aux acteurs de réaliser des heures et des heures de combats chorégraphiés avec les plus grands cascadeur et épéistes du monde .
    Alors oui, on me dirait de remettre les choses dans le contexte, que "pour l'époque c'est pas mal", et que de toute façon, cette scène n'est que subsidiaire voire futile par rapport à l'oeuvre dans sa globalité.

    En effet, mais c'est quand même censé être (avec le Harakiri de Chijiwa), la scène phare du film et j'y n'y ait pas cru un instant. Couplé au fait que le film en lui même ne m'a pas absorbé, je lui attribue cette note qui peut paraître sévère mais qui rentre en adéquation avec mes critères de vote, le plaisir du spectateur que je suis, avant tout le reste
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    910 abonnés 4 836 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2018
    Un récit douloureux et d’une épure formelle magnifique.
    L’histoire est bouleversante, entre honneur et vengeance, et montre une dure réalité du Japon de l’époque.
    C’est vraiment magnifique de voir une aussi belle symbiose de la forme et du fond.
    Superbe avec ce final tel une danse de la mort.
    idagnidif
    idagnidif

    3 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 janvier 2018
    Un vrai chef d'oeuvre, il mérite la renommée qu'il le précéde.
    C'est l'histoire d'un ronin (samourai sans maitre) qui se présente au château du clan Li afin de se faire harakiri du fait de la situation misérable qu'il vit.
    En fait, il est venu se venger suite à un harakiri fait auparavant par son gendre dans le même château et supervisé par le même clan mais dans des conditions inhumaines et indignes.
    C'est film captivant, finement réalisé et plein de rebondissements.
    Matias P.
    Matias P.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2017
    Ce film est super pour sa photographie, sa mise en scène, ses acteurs et sa musique. De plus c'est un sorte de huit clos qui donne une tension particulière. pour tout dire c'est magnifique
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Un des rares chanbara que je qualifierai de chef d'oeuvre. Malgré une certaine lenteur dans sa narration, on ne peut que apprécier le jeu d'acteur de Tatsuya Nakadai. Voix morte et rauque, posture solennelle, il semble être l'allégorie même du samouraï.
    C'est en samouraï sans maître (ronin) qu'il se présente aux portes du chateau du clan Li. Désireux de mettre fin à sa vie plutôt que de vivre dans le déshonneur, il implore le clan de l'aider à se "seppuku". Ayant droit à un second pour l'assister dans sa mise à mort, il nomme un samouraî absent de la cérémonie. Ayant prit des congés pour fatigue, le maître du clan envoit un messager chez lui pour lui faire part de la demande du ronin.
    C'est en attendant que son second arrive que le ronin se met à conter sa vie et les choix qui le poussent à se donner la mort à l'assemblée. Son histoire donne une dimension nouvelle au récit et au clan qui l'écoute. Les rares scènes d'action sont pleines de sens et l'on comprend parfaitement à travers elles à quel point le personnage joué par Nakadai est d'une prouesse sans égale en matière d'armes. Les dernières scènes sont très symboliques et j'invite ceux qui ont vu le film à chercher une deuxième lecture quant aux gestes de Hanshiro Tsugomo (le ronin). Ce film est absolument à voir pour tout ceux aimant le genre, l'acteur et l'histoire du Japon.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 février 2018
    Seppuku est une merveille sur la philosophie de vie des samouraïs, sur leur état d'esprit, leur mode de vie, leur discipline et leur mental d'acier à accepter la mort en se faisant Harakiri. Harakiri pour leur honneur ou justement pour se laver d'une humiliation. Tout est l'enjeu d'ailleurs de cette réalisation, le coeur même du problème. Tout est magistral, les dialogues, le jeu d'acteur, la musique, le bruit du vent même, tout ! Un pur chef d'oeuvre qui retourne les boyaux, c'est le cas de le dire ! Incroyable !
    Newstrum
    Newstrum

    30 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2017
    Cinglante dénonciation par Kobayashi du Bushido japonais. C'est remarquablement filmé (la mise en scène de Kobayashi enferme les personnages dans un espace géométrique clos) et construit (le noeud de l'intrigue n'est dévoilé que très progressivement). Grand film avec Tatsuya Nakadai dans un de ses rôles emblématiques. Voir ma critique complète sur mon blog :
    this is my movies
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    616 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un chambara un peu particulier, parlant avec virulence de l'obsolescence du bushido au sien de la société japonaise, un propose on ne peut plus virulent pour l'époque. Prenant le parti de raconter son histoire à travers différents flashbacks, le film étire son récit qui brosse peu à peu un portrait contrasté et complexe de différents personnages. S'intéressant au sort d'anciens samouraïs qui se retrouvent rônins du jour au lendemain, et donc sans le sou, on découvre donc le triste quotidien de ces hommes et de leurs familles. Les images sont somptueuses, les éclairs de violence sont très bien gérés et le récit est bien conduit quoique je l'ai trouvé incroyablement long et alambiqué pour raconter des choses au final assez simples. Manipulant son spectateur, le film avance donc caché et ménage quelques rebondissements plutôt bien trouvé spoiler: (même si j'ai eu du mal à croire qu'un seigneur ne sache pas ce que 2 de ses plus éminentes lames soient "malades" depuis plus de 6 jours)
    mais ça reste un bon film qui plaira sans aucun doute aux amateurs du genre. D'autres critiques sur
    Kloden
    Kloden

    113 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 novembre 2016
    Ce chanbara plutôt méconnu a de quoi surprendre, tant il se distancie froidement d'un sujet généralement regardé avec une vénération fascinée plus qu'avec une réelle interrogation. Ce film de Kobayashi, réalisateur dont j'ignore tout mais dont il est à déplorer que la carrière fut si courte, au vu de son talent pour découper l'espace et contenir la puissance du temps, regarde avec recul et méfiance le code d'honneur des samouraï. Tant parce qu'il est si compliqué à suivre qu'il en devient une façade que parce qu'il peut devenir l'outil d'une tyrannie de maîtres incapables de l'appliquer réellement, et seulement soucieux d'en préserver l'apparence (l'armure ancienne remise à sa place après avoir été jetée à terre par Tsugumo dans un dernier baroud d'honneur) pour maintenir leur propre statut en place. Harakiri s'intéresse petit à petit à l'humain, ébranlant son austérité formelle par une contamination des lieux collectifs (et donc voués au cérémonial) par des flash-backs sur la famille de son héros. Ce faisant, il met en contradiction des principes exigeants à l'extrême avec la nature d'être humains pourtant souvent courageux et soucieux de leur devoir. Mais à l'honneur sauvé dans la mort, se heurte un désir de se battre pour la vie, pas nécessairement la sienne, qui rend incertain et chancelant un code moral réputé inflexible, preuve de l'ultime hésitation des hommes devant la manière idoine d'embrasser leur destin, et la forme du geste à adopter pour tracer leur propre existence. S'il y a une dernière petite chose à signaler à propos de Harakiri, c'est l'intensité démentielle avec lequel il est joué par tous ses acteurs, savamment étudiés par une caméra à laquelle ils rendent bien l'attention qu'elle leur porte par un engagement et une présence totales. Film investi, picturalement superbe et profond.
    Acidus
    Acidus

    614 abonnés 3 646 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mai 2016
    Classique du chambara, "Harakiri" de Kobayashi est une oeuvre saisissante et poignante tournant autour de plusieurs drames humains et ayant la mort comme aboutissement incontournable. L'intrigue est relativement prévisible puisque l'on devine aisément les motivations du rônin Tsugumo et ce ne sont pas les rebondissements qui nous tiennent en haleine. La force de ce long métrage japonais vient du reste... de tout le reste. La réalisation est de haute volée: magnifique photographie mise en valeur par de somptueux cadrages et une mise en scène soignée. La musique est rare mais vient appuyer quand il le faut, de manière subtile et puissante, certains passages. Les acteurs eux-mêmes livrent une prestation sublime, alternant réserve "toute japonaise" et explosion d'émotions. Et de l'émotion, il y en a puisqu'il en ressort un bon cocktail de tensions, de tristesse et de rage. Quant au fond de l'histoire, le cinéaste brise les codes du genre en peignant un portrait plus nuancé et sombre du code d'honneur des samouraïs et de son respect. La rareté de l'action va également à contre-courant de la majorité des autres chambaras de l'époque. Un bijou cinématographique incontournable.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 avril 2016
    Du japonais pur style, avec le bruit du vent à chacun de leur mouvement, et dans tout leur discours, l'honneur, le courage, et patati et patata, moralisateur à souhait, avec des valeurs complètement galvaudés, peut-être dans les années 60 ce film fut novateur, aussi bien aujourd'hui un "Jet li" ou "jackie chan" en apporte autant. C..... comme la pluie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 décembre 2015
    Franchement je ne m'attendais pas à une telle surprise. Généralement quand tout le monde vante un film, et surtout un vieux classique, je suis déçu. Ici ça n'a pas été le cas : dés le départ l'ambiance est prenante, glauque et viscérale, la mise en scène est vraiment très léchée, les acteurs sont tous très convaincants et c'est surtout vachement impressionnant (je pense à deux scènes : spoiler: le terrible Hara-Kiri au poignard en bois ainsi que le duel dans les herbes avec le vent, qui est sublime
    ). Je trouve que le flashback est un peu moins fort que le reste du film (car il est assez prévisible), mais franchement je chipotte, car ce Haraliri est à la fois pessimiste, épique, violent, intelligent et sombre. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 août 2015
    C'est un grand film. Majestueux ! Incontestablement (que l'on ai apprécié ou non) on ne peut le nier. L'expression, le regard du personnage principal pendant tout le film, notamment quand il raconte son histoire jusqu'à ce qu'elle rejoigne l'instant présent, impose le respect. Un homme qui n'a plus rien à perdre, et qui a tout perdu sauf son honneur et son talent de bretteur ! Certes le film est lent, j'ai moi-même décroché pendant quelques scènes un peu moins intéressantes, car l'action de ce film ne se situe pas à travers ses combats armés mais plutôt dans les paroles de Tsugumo. Paroles extrêmement sensées remettants à sa juste place l'intendant et le "code d'honneur" de son clan.
    On assiste à tout ce qu'un homme à le courage de dire et la force de faire au seuil de l'au-delà.
    Dans ce film les plans sont tout aussi importants, notamment celui qui nous montre Tsugumo racontant son histoire, ce plan fixe où l'on voit cet homme seul au milieu de ce clan de samouraïs, racontant, racontant, racontant... Les zooms (qui ne se feraient plus à notre époque) sont aussi très prisés par le réalisateur, accompagnés d'un son strident, ils montrent une stupéfaction, un étonnement ou encore la peur.
    La musique, en revanche, n'est pas bien présente, choix très intelligent car elle n'est là que pour renforcer un sentiment, une émotion. Le jeu des acteurs est époustouflant, leurs émotions sont gravées sur leurs visages et elles réussissent à nous atteindre.
    C'est une histoire d'hommes, avec des hommes, à travers le regard d'un homme, sur la nature humaine.
    Bref, un film beau et puissant à la fois. 9/10 !
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    361 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2015
    Dans le Japon du XVIIème siècle la pauvreté et la maladie ravagent le pays, un jour de juin un ronin du nom de Tsugumo se présente au château du clan li pour réclamer auprès de l’intendant Kageyu Saito un lieu adéquat pour mettre fin à ses jours, sous la forme d’un harakiri, suicide rituel honorifique. Seulement cette pratique attire la méfiance de par la ruse de divers samouraïs déchus pour mendier un poste ou quelques sous. Saito lui raconte alors l’histoire d’un certain Chijiwa, pris au piège par le clan, Tsugumo montre sa détermination puis fini par réclamer les noms de ses bourreaux, étrangement absents …

    La puissance de la réalisation de Kobayashi frappe d’entrée avec un cadre réglé au millimètre et un esthétisme clair obscur saisissant, rien que le générique d’intro nous plonge directement dans une sorte d’ambiance vaporeuse, j’étais déjà conquis au bout de 5 minutes, c’est assez rare comme sensation. Les personnages composent l’image, ils font corps avec les décors féodaux, c’est assez bluffant cette maitrise qu’ont les cinéastes japonais à retranscrire des tableaux d’une pureté et d’une sincérité absolue, impossible de ne pas être embarqué et de voyager dans le temps, tout ça sans ce réflexe mécanique de dénicher un quelconque anachronisme, l’entreprise fait preuve d’une certaine noblesse. On a plaisir à suivre cette histoire narrée d’une manière étonnante, utilisant divers flashbacks où les morceaux vont tous s’imbriquer au fur et à mesure pour reconstituer un drame intimement épique, le personnage de Tsugumo transperce l’écran grâce à cette stature froide pleine d’assurance, pour finalement se révéler et retourner les esprits.

    La fluidité du montage couplée à ce cadre ultra stylisé fait qu’on sait qu’on à affaire à un objet cinématographique d’une très grande qualité, après cela n’aurait pu rester qu’à l’état de façade, ce qui n’est absolument pas le cas car l’écriture est là aussi exceptionnelle et sachant marquer des temps de pause pour appuyer des moments de tension incroyablement scotchants. Par exemple la séquence de l’harakiri forcé de Chijiwa semble figée dans le temps, elle pourrait durer des heures entières, et c'est génial, on reste suspendu aux lèvres de ces hommes se confrontant verbalement jusqu’à ce que l’un vienne à se résoudre à agir, comme dans une sorte de western sauce soja des plus délicieux. Les destins de Tsumogo et Chijiwa semblent similaires bien qu'étrangers face à ce tribunal en kimono, mais nous n’allons connaitre leurs véritables liens seulement de manière progressive et savamment construite, car oui les bouleversements sont de mise, et pas qu’un peu.

    C’est grâce au passé de Tsumogo que les ficelles se tissent sous nos yeux, personnellement je n’ai rien vu venir et inévitablement c’est passionnant, les circonstances de la tragédie qui s’abat sur l’apparent bonheur de cette famille est cruellement révoltant, ce qui fait que l'attachement au héros est total, nous nous joignons à lui dans ce profond sentiment de revanche, qui va d’ailleurs se révéler jouissif grâce à la mise en scène de Kobayashi. Car oui le combat que tout le monde attends se montre patient, le crescendo émotionnel fait son œuvre pour porter l’estocade au bon moment, avec comme amuse-bouche un duel sous les bourrasques de vent d’un pré absolument magnifique et graphiquement abouti. Puis vient ce fameux final où le déchainement à bien lieu, le tout orchestré par de sublimes chorégraphies, pour conclure le film sur une réflexion du code de l’honneur régie au respect des apparences, la morale est à la fois bouleversante et odieuse, reflet d’une culture où les principes d’une hiérarchie pousse vers une sorte de dignité malhonnête, creusant des légendes qui ne resteront qu’à l’état de simples écrits, le sang lui sera lavé et oublié.

    Harakiri est un très grand film, qui prend aux tripes de la première à l’ultime minute, Kobayashi arrive avec cette maestria formelle, scénaristique et poétique a créer une œuvre intemporelle, poignante et profondément humaniste, en plus d'être un modèle en terme de conte cinématographique. N'ayons pas peur des mots ... Chef d'œuvre !
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