Avis sur L'Arrivée

"The Arrival" est un petit film de science-fiction sans prétention, qui, malgré un budget minuscule, s'avère intéressant. Certes, les effets spéciaux en pâtissent, mais il y en a finalement peu et ils sont toujours bien utilisés. Charlie Sheen est très bon dans le rôle de ce chercheur parano (Mulder n’est pas loin) et sa recherche de la vérité est assez passionnante à suivre (le point culminant étant lorsqu’il descend dans le vaisseau alien), d’autant plus que les aliens peuvent être partout (ils prennent une apparence humaine). Ron Silver est, à ce titre, très convaincant, car il cache bien son jeu. Le film aborde aussi un problème toujours d’actualité malheureusement, à savoir le réchauffement climatique. Sans être inoubliable, "The Arrival" se suit avec plaisir et confirme un certain talent de David Twohy pour la SF (après "Timescape" et avant "Pitch Black" et "Les Chroniques de Riddick").

Ah ah ! Vous cherchez un bon film de samedi soir, qui soit un vrai film de samedi soir sans être un ignoble nanar où une avalanche d'effets spéciaux débiles et sans âme (ce qui rime un peu, mais bon...) ? Voici The Arrival, un film estampillé David Twohy, et qui est en mesure de vous faire passer un sacré bon moment ! La science fiction, c'est génial, ça peut donner des monstres de philosophie et de réflexions, livrer des divertissements des plus spectaculaires, et pour le meilleur mélanger les deux. Sauf qu'en 1997 l'heure de gloire des années 80 est achevé, et trouver de nouveaux films intéressant n'est pas chose aisée, parce que comme maintenant tout commence à avoir un goût de déjà vu. Les références, c'est bien, mais au bout d'un moment on s'en lasse. D'où la raréfaction des films de SF sérieux (disons que Men In Black...). Ce qui fait en partie qu'on déguste comme si c'était un super bon gâteau The Arrival, car l'histoire est originale dans le détail (évidemment si vous cherchez à avoir du nouveau dans les grandes lignes c'est loupé), c'est très prenant sans nous assommer d'interminables scènes d'actions et c'est joué par des acteurs que personnellement je n'ai encore jamais croisé du côté de la SF. Chalie Sheen est un anti-héros formidable, bourré de défauts et tellement attachant, se distinguant par des caractéristiques humaines en somme, Phil Gordian en méchant convainquant, Teri Polo belle tout en présentant un personnage ayant de l'épaisseur, et Lindsay Crouse que l'on voit peu tient également son rôle avec assurance. Le scénario captive dès les premières minutes, élaguant des thèmes cher de notre enfance (écouter les étoiles), tranchant dans nos actualités (réchauffement climatique à l'appui) sans jamais se lancer dans le discours politique lourdingue, prolongeant notre fascination pour les sciences en délaissant l'aspect techniques de ces dernières (donc pas de conversations en jargon scientifique) pour se centrer sur l'intérêt tangible qu'on leur porte, et offrant un lot de séquences superbement mises en scènes ! Je ne peux qu'évoquer la grande poursuite pendant le carnaval du Mexique, soutenue d'une musique sauvage splendide, d'ailleurs tout le film se voit pourvu d'une bande son excellente, qui lorgne vers sérieusement vers celle du Monde Perdu rythmée de percussion composée par John Williams...puisqu'on en parle, autant préciser que les aliens qui poussent des cris de raptor, ça en rajoute une couche ! Enfin, oui on pense à Jurassic Park que personnellement j'adore, mais pas trop non plus rassurez vous. Là où le budget et l'âge du film commencent à se faire sentir, c'est lorsque les effets spéciaux plus coriaces entrent en scène. Certes les sphères d'éclairs vertes et les cyclones aspirant tout sont un peu ridicule, mais ce moment arrive si tard dans le film qu'on est déjà vachement bien accroché à l'intrigue et qu'on balaye ce petit problème du revers de la main. Surtout que les extra-terrestres, eux, sont bien réalisés. Cette première descente aux enfers (dans leur antre) est aussi un autre des quelques moments forts du film, trépidante, diablement excitante et posant des questions au personnage comme au spectateur. Ce dernier n'est jamais snobé, on nous fait vivre le film avec le savant Zane Zaminski, se rendre compte et analyser un peu plus vite que lui ce qui se passe, ce qui colle un franc sourire aux lèvres et enthousiasme plus que tout le reste. Le final ne s'encombre pas de surenchère, ni de dialogues-révélations, et la conclusion laisse place aux hypothèses. Et on est foutrement bien content de cette aventure.

The Arrival : Un très bon film de série B comme on savait les faire à l’époque. Vraiment, ce film est haletant, captivant et nous embarque dans une histoire de SF et de complots. Ce qui m’a bien plu dans le film c’est qu’il y a un très bon rythme ; le personnage/héros ne s’arrête jamais, il court toujours dans son enquête et dans ses grandes découvertes qui pourraient changer le monde, et qui lui feront avoir des ennemis pas comme les autres. Bon, le film s’inspire de d’autres films parus avant ; comme Contact pour le côté complot, et Invasion Los Angeles de Carpenter pour la deuxième partie, qui ne pourra pas forcement plaire à tout le monde. Cependant c’est le genre qui veut ça, et au moins le film va au bout des choses ; même si ça va très loin. Donc, une première partie plus intrigante, avec un bon suspense qui prend aux tripes ; bon après ça bascule et on part dans la SF, mais ça n’empêche pas que la seconde partie soit très bonne et dans le ton exact du film, elle est juste moins réussie. Sinon, la réalisation est globalement bonne ; ils avaient vraiment un bon sens de la mise en scène à l’époque, et les effets spéciaux sont très réussis, même s’ils ont un peu vieillis, j’ai vu pire. Ensuite, les acteurs sont pour la plupart convaincants, mais celui que j’ai adoré c’est Charlie Sheen ; il est juste excellent et très charismatique en espèce de Gordon Freeman comme dans Half-Life pour ceux qui connaissent le jeu vidéo, vraiment, très bon rôle pour lui. Donc voila, ce film d’un genre particulier m’a quand même bien plu et m’a emporté comme il le faut. Pour les amateurs du genre SF/Fantastique, avec des êtres venus d’ailleurs ; faites vous plaisir.

Une série B qui s'avère une agréable surprise, de la bonne SF (à défaut d'une réelle originalité) avec un scénario habile au suspense bien entretenu (notamment lorsque notre héros se retrouve au Mexique) et à la paranoïa transmissible. Très réussi dans son genre, The Arrival est un excellent divertissement.

The Arrival c’est de la très bonne petite série B, un film de SF intelligent, qui mise fort peu sur les effets visuels, et qui, par de nombreux aspects, se rapproche de L’Invasion des profanateurs !
Le casting est emmené par Charlie Sheen, qui s’empare d’un rôle solide, plutôt bien écrit, et auquel il confère une personnalité, à la fois un look singulier, une ténacité remarquable, et un petit grain de folie qui sied fort bien à ce savant un peu fou ! On le suit avec plaisir dans ses mésaventures. Autour de lui des seconds rôles pas forcément très connus, mais on reconnaitra quand même Ron Silver, toujours très efficace en méchant, tandis que le casting féminin est emmené par deux actrices moins connues : Teri Polo, pleine de charme, et Lindsay Crouse, dont le personnage nous propose une des petites surprises du film. A noter la présence de l’anonyme Tony T. Johnson, dont la carrière ne décolla pas, et qui est ici assez mauvais !
Le scénario est intelligent dans le sens où The Arrival mise sur une invasion discrète des extraterrestres. Il y a peu d’action, et pourtant on se surprend à découvrir un film attrayant, dynamique, qui aborde de façon différente des sujets écologiques et environnementaux importants et toujours d’actualité. Le film propose en plus de vrais surprises, et la gradation est bonne avec un final plus spectaculaire, et là encore, une petite surprise ! C’est propre, crédible, fluide et bien mené, bref, c’est efficace.
La réalisation est toujours plaisante. Twohy est un très bon faiseur, surtout quand il s’investit à fond dans son projet, et ici c’est le cas. Du coup mise en scène très propre, peu de scènes d’action mais toujours bien faites, c’est convaincant. On notera qu’il y a peu d’effets spéciaux, du coup le film n’a pas trop vieilli sur la forme, malgré quelques effets moins convaincants aujourd’hui. Côté décors et photographie le film propose quelques bonnes choses, néanmoins c’est peut-être là que le film marque le moins, avec certes un beau final et une pointe d’exotisme bienvenue, mais dans l’ensemble c’est un peu lisse niveau ambiance, avec une photographie qui reste décevante. La bande son est propre mais assez neutre.
Si vous aimez la SF qui ne déborde pas d’effets spéciaux à en faire craquer sa culotte, et qui cherche une approche originale de l’invasion alien, The Arrival est pour vous. C’est du bon film, rondement mené et très plaisant à suivre, avec quelques loupés, comme l’interprétation médiocre de Johnson, les décors moyens et la photographie faiblarde, mais difficile de bouder son plaisir pour autant ! 4

Ce film est très mal noté mais moi je l'aime bien. Malgré des dialogues assez nul et une mise en scène tirée par les cheveux, je trouve cette histoire d'invasion E.T pour réchauffer notre planète assez original et intelligente pour passer un bon moment devant l'écran. Les séquences au Mexique sont très bien trouvées. Le côté le plus négatif revient à la VF qui est éprouvant à écouter.
Bref : et s'ils étaient déjà là parmi nous ?? Que ferions-nous ?

C'était mieux avant... "The arrival" a pris une bonne ride, c'est bien entendu regardable, mais ça l'était d'autant plus quand on avait 10 ans. Le scénario est ultra simple, les effets-spéciaux sont réalisés par des stagiaires de chez Bandai, mais en même temps on s'attend juste à voir un film d'extra-terrestres avec Charlie Sheen (qui à chaque fois que je le vois, je ne peux pas m’empêcher d'imaginer sa tête et ses mimiques dans "Hot shots", niveau crédibilité forcément ça me dérange...). Bref, optez plutôt pour "Signes" ou ...n'importe quel autre en fin de compte.

Le gros problème du film c'est Charlie Sheen qui nous campe un personnage à la professeur Mortimer, c’est-à-dire, un savant musclé et pugnace et doté d'une psychologie assez plate, ni crédible, ni attachant. Le thème est à mi-chemin entre "L'invasion des profanateurs de sépultures"" et "X files", l'histoire se regarde sans passion mais sans déplaisir, le pire étant les dialogues avec madame ou avec le petit garçon, le meilleur l'incursion dans la base secrète. Ça ne marquera pas le genre et ça ne donne pas envie de le revoir, mais bon, juste une fois…

The Arrival (1997) est le prototype même de la Série Z fauchée, plombée par un scénario résolument navrant et portée par des acteurs inconnus au bataillon, si ce n’est Charlie Sheen, mais peut-on simplement dire qu’il s’agit d’un acteur ? Car à la vue de sa prestation, on est en droit de se poser la question !
Budget dérisoire, ce qui explique pas mal de chose à la vue de ce navet, entre les SFX qui frisent le ridicule (les extra-terrestres entre autres) et les nombreux décors qui manquent de réalisme, ce film de science fiction a voulu trop en faire et s’est planté littéralement. On s’ennui au plus haut point !

c'est vrai que ca n'a pas le budget d'avatar ,ce n'est pas un aussi grand film que wall street ,mais sheen s'en tire bien.
quand on voit que twilight ou paranormal activity fait des entrées,alors ca c'est un chef d'oeuvre! petit film qui se regarde ,meme s'il n'est pas incontournable ,ca reste un très bon moment de divertissement ,ca me fait un peu penser à évolution avec duchovny ,le délire cartoonesque en moins.
c'est vrai que quand on a vu charlie sheen dans hot shots , on a du mal a le prendre au sérieux.à part dans wall street ou il joue très bien ,je l'imagine toujours en train de cuire du lard ou des oeufs sur le ventre d'une fille....

Un bon film qui a assez bien vieilli même si certaines scènes avec les ET mettent un petit coup de vieux mais ça passe quand même. Charlie Sheen très bon.

The Arrival, réalisé par David Twohy en 1997 est un de ces bons films de sciences-fiction des années 90, moins spectaculaire, drôle ou impressionnant qu' Independence Day, il est toutefois lui-aussi d'une durée généreuse, suit la même évolution scénaristique, certes les effets ont un peu vieillis, mais The Arrival fait partie des bon films de SF des années 90, ceux où l'on soigne la scène d'ouverture, où la réalisation est propre, où le scénario se révèle peu à peu.
The Arrival reste agréable à regarder, même si ce n'est pas du Roland Emmerich et qu'il peut paraître lisse sous certains aspects, notamment au niveau du jeu et des dialogues.
The Arrival a pourtant l'avantage des films des années 90 : une mise en scène encore classique, lisible, calme et posée. Une narration simple, linéaire, claire et limpide. Une réalisation propre.
Ici on ne vous embrouillera pas avec des scènes de nuits, avec éclairages stroboscopiques, des plans quasiment subliminaux, un montage à la mitraillette, des caméras subjectives ou qui virevoltent jusqu'à vous en filer la nausée.
Rien que pour cela, il mérite quelques petites étoiles.

Voici une série B de SF peu connue et sans grosse vedette, dont on a peu parlé à sa sortie en 1996, mais sympathique qui permettait à David Twohy de consolider sa réputation. Surfant sur la vague des aliens antipathiques et autres phénomènes paranormaux, ce film distrayant et bien enlevé joue à fond sur la parano, son héros étant une sorte de David Vincent encore plus obstiné et très speedé. D'ailleurs, tout le film est un hommage avoué à la série "les Envahisseurs".

Une petite série b du niveau d'un téléfilm, vraiment pas terrible, avec des effets spéciaux très moyens. Il commence avec des signaux venus de l'espace comme dans "Contact" de Zemeckis et se poursuit avec la même théorie de complot déjà vu dans "Invasion Los Angeles" de Carpenter dix ans auparavant. Charlie Sheen y livre une prestation plutôt mauvaise, le pauvre n'est pas crédible une seconde! (Pas terrible)

Film qui dure 1 heure 44. C'est un film de science-fiction où le héros, joué par Charlie Sheen, est seul à lutter contre tous spoiler: : les extraterrestres et les humains y compris contre sa propre femme et son propre patron. Charlie Sheen est 1 radioastronome qui utilisera toutes ses connaissances en astronomie et en électronique pour chercher et comprendre la vérité. Ce film est rempli de petits suspens qui amèneront des drames.
C'est film que je recommande où j'ai pu voir Ron Silver que j'ai découvert dans "Timecop". Je donne donc 4 étoiles.