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L'ombre du 7ème art
57 abonnés
396 critiques
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3,0
Publiée le 18 février 2020
The crow, film qui est surtout connu pour être la dernière apparition cinématographique de Brandon Lee, nous emmènes dans un univers déjanté avec des personnages assez hauts en couleurs dont certains m'ont fait penser à la bande de toecutter (mad max 1). Ainsi, le film sublime par sa photographie et ses décors assez crasseux représentant un quartier miteux sortit tous droits des enfers où les seuls habitants sont des drogués, des toxicos, des flics plus ou moins corrompues, des gangs, mais aussi quelques habitants lambda qui se battent contre cette opression et où les flammes, les cendres et la nuit règnent en maître. La musique rentre assez bien dans cet univers, car sans être démentielle, elle instaure un climat toujours de plus en plus oppressant. Alex proyas nous offres donc un film survitaminé, fun et drôle par son humour assez trash et noir, rendant hommage au film des années 80 avec des scènes de gunfight assez long et dans lequel on ne sait plus où regarder tellement qu'il y a d'événement en une seule et même scène de combat. Le jeux des acteurs sans être révolutionnaire, sont bien entendus appropriés au film qui se tourne de plus en plus vers la folie et dans lequel le manichéisme disparaît car Éric utilise la force et n'hésite pas à faire les mêmes horreurs que ses bourreaux pour se venger. Toutefois, le film malgré cette fraîcheur et surtout son rythme effréné m'a laissé assez dubitatif car les nombreux raccourcis scenaristiques et surtout le manque de cohérence m'a empêché d'adhérer pleinement au film. Par exemple, à la fin du film, spoiler: le flic arrive à retrouver Éric car il avait envie de lui dire au revoir (pourquoi pas mais bon j'y crois pas trop). De plus le fait que l'on retrouve le cercueil de Éric alors qu'il a été incinéré j'ai dû mal à comprendre la logique des scénaristes. Je trouve cela assez dommage, car tout était si parfait...
J'ai décidé de me refaire ce film que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Bon, on ne va pas se mentir, par rapport à d'autres de cette même période (que j'affectionne tout particulièrement), on peut dire qu'il a assez mal vieilli. L'ambiance est intéressante tout comme le rythme car il n'y a pas trop de temps morts mais pour le reste, c'est assez vide ... Mais la petite Rochelle Davis est le grand + de "The Crow" selon moi, qui d'ailleurs disparaîtra de la circulation juste après car elle fût très affectée par le décès de Brandon Lee sur le tournage. Du fait que je suis un grand nostalgique de la période 90's, je mets quand même la moyenne mais voilà, sans plus. 10/20.
On retrouve vaguement l'ambiance sombre d'Alex Proyas qui nous a dervi son chef d'oeuvre "Dark City". Dans the crow, mis a part l'ambiance très réussie, le scénario reste très niais, le gentil revient a la vie pour se venger des méchants, un peu trop simple, certainement du au deces de l'acteur principal (Brandon Lee) durant le tournage.
Ouai... Ben je comprend pas pourquoi ce film est si culte. Le scénario est vite fait et prévisible, l'action est pas mal mais sans plus. Déçu dans l'ensemble.
De la courte carrière de Brandon Lee fini de manière tragique seul The Crow est une réussite dans sa filmographie ; une ambiance gothique ponctuée de scènes de combats chorégraphiées avec soin, une noirceur et une tristesse se dégage de ce film fantastique. Très beau dans son genre.
Trés bon film d'ALEX PROYAS. On sentait deja a travers ce film que le réalisateur possédait un talent certain pour la mise en scène. Le réalisateur aura fait par la suite DARK CITY ( excellent pour ceux qui ne l'ont pas vu ) mais aussi I ROBOT ( le film des robot d'après ASIMOV et avec WILL SMITH, un très bon film aussi ). Très bon film sur la vengeance avec il ne faut pas l'oublier la trés bonne intérprétation de Brandon Lee qui est malheuresement décédé pendant le tournage de ce film. A noter également la super photo de Darius Wolski qui offre au film un immense plus.
Ce film m'a moyennement séduit. J'ai assez peu été emballé par cet univers assez glauque, même s'il est très marqué et perceptible (que ce soit dans ses décors ou sa musique). Brandon Lee jouait bien (après, sa performance n'est pas non plus aussi extraordinaire que je lis parmi certaines critiques dithyrambiques ici), Michael Wincott et Ernie Hudson aussi. Les cascades ont tout de même pris un sacré coup de vieux, mais ça reste assez visuel. Après, avec la multitude de films de super-héros qui sont sortis depuis (et même ceux qui étaient déjà sortis à l'époque), je ne vois pas trop comment celui-ci peut sortir du lot.
The Crow n'a vraiment rien de fabuleux,c'est l'histoire d'un justicier de la nuit qui cherche à se venger. Bref un scénario plat. Toutefois un film culte à cause de la mort de son acteur principal d'une balle en plein tournage le dénommé Brandon Lee,mort trop jeune comme son père Bruce Lee.
Lorsque le mauvais et sans génie Alex Proyas plonge dans le monde gothique de The Crow, ça donne un navet grandeur nature. Il s'agit bien entendu d'un remake minable de films tel que Phantom of Paradise ou le Fantôme de l'Opéra. Rien de bien nouveau si ce n'est l'univers années 80 junkies rock'n roll loubard cuir lunettes noires, donnant même l'impression d'avoir été inspirée par Robocop. Ne parlons même pas de Michael Wincott qui nous joue la doublure de Christophe Lambert sorti du mauvais Highlander. Mais ce n'est pas tant les emprunts à d'autres films le plus gênant mais plutôt une mise en scène aberrante de nullité, Alex Proyas semblant réaliser ses films avec deux mains gauches et deux pieds droits!!! Incroyablement lent, le film s'étire inlassablement pendant ses 1h30 d'ennui, Proyas n'étant pas capable d'insuffler un millième de divertissement ni de réflexions dans son film. Se contentant de bons sentiments de supermarchés, de vengeance soft et écartant toute prise de risque artistique, puisque comble du paradoxe, le film est formaté pour les djeun's "rebelles" comme tout le monde !!! Heureusement, d'autres ont su réussir sur le même sujet, tel que le mémorable Batman de Tim Burton (que le film copie bien lamentablement) et plus récemment Matrix, premier du nom, qui saura éviter de tels écueils.
J'étais jeune avec peu de films au compteur et The Crow était pour moi, à 13 ans, une véritable claque. Son univers sombre, sa violence sur fond de mysticisme, cette omniprésence de la mort m'avait amenée à scander plusieurs fois qu'il s'agissait là de mon film préféré. Malheureusement, 20 ans après, c'est un oeil nouveau que je pose sur le long métrage d'Alex Proyas. Un oeil moins clément face à un film dont le scénario reste finalement très basique et qui s'apparenterait presque aujourd'hui à un téléfilm. Certains pourraient dire que le tout a mal vieilli mais j'ai trouvé pour ma part qu'il n'avait pas pris une ride. Il est juste moins bon pour un oeil plus critique. Pourtant visuellement, il faut reconnaître que le rendu de cette ville meurtrie est toujours appréciable. Certains plans sont très réussis et la puissance de l'amour entre Shelly et Eric transpire à travers l'écran malgré un côté plan-plan. En fait, The Crow est un film d'ado et si on arrête d'être un enfant le jour où l'on comprend que l'on est mortel, alors privilégiez de voir The Crow avant l'âge adulte. Et ne le regardez plus jamais pour ne pas venir transformer ce souvenir d'un film culte en film pas mal.