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L'Infernaute de l'Apocalypse
37 abonnés
399 critiques
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3,5
Publiée le 8 septembre 2014
Volcano bon film catastrophe des années 90. Lorsqu'un énorme volcan se forme en plein milieu de los angeles et entre en irruption mike roark ( Tommy Lee Jones ) qui dirige le bureau d'administration d'urgence et la géologue Amy barnes ( Anne heche ) tente de trouver une solution pour sauver les habitants de los angeles ... Volcano est un bon film catastrophe réaliser par mick Jackson . Le scénario est assez classique mais efficace et contient tout de même une originalité celle d'un volcan qui émerge en plein milieu d'une ville détruisant tout sur son passage ce qui va donner lieu a quelques séquences spectaculaires . Le film n'évite pas certains clichés mais reste très divertissant . Le duo Tommy Lee Jones / Anne heche fonctionne bien . Les effets spéciaux sont très réussit et n'on pas beaucoup viellit donnant vie de manière spectaculaire a cette énorme volcan en irruption qui détruit tout sur son passage . Un film avec du suspense , de l'action et des scènes très spectaculaire ( le volcan qui détruit tous les quartiers de los angeles ) . Un bon divertissement .
Divertissant, mêle assez bons effets spéciaux et un Tommy Lee Jones énergique! Mais sinon, sur le fond, la base, le scénario est incohérent, voir même capilotracter!
D'accord, le scénario est invraisemblable (il y a plus de chances qu'un volcan se développe dans un endroit inhabité qu'en pleine ville, vu que l'être humain n'occupe qu'une infime partie de la planète). D'accord, le fait que des gens puissent rester aussi proches de la lave qu'ils le font ici sans protection est impossible. D'accord, on a droit à des clichés, avec par exemple une gamine insupportable, qui part plus tard à la poursuite d'un gamin encore plus jeune mais tout aussi insupportable puisqu'il va (évidemment) se balader dans un immeuble sur le point de se faire démolir, même mioche qui dit "regarde comment ils sont" en parlant à un policier des gens recouvert de cendres autour d'eux à la fin, "ils se ressemblent tous" (clin d’œil anti-raciste au cliché raciste du début du film avec un flic blanc qui arrête un noir). Mais les effets spéciaux ne sont pas mauvais, il y a du suspens, et dans le genre "film catastrophe avec volcan", il s'en tire plutôt bien. Alors je lui décerne sans hésiter un "pas mal", m'insurgeant une nouvelle fois contre la moyenne de 2 étoiles accordée par les spectateurs, étant ravi encore de nager à contre-courant.
On a là un "film-catastrophe" qui nous dépeint une humanité en prise avec des phénomènes naturels qui la dépassent c'est à dire font reculer notre monde, c'est à dire le monde civilisé, urbanisé. L'intrus, ici, est le volcan et cette énorme coulée de lave, qu'il s'agit de vaincre. Les appels au patriotisme, au civisme, et même les références à la religion sont légions dans ce film. Bref, les Etats-Unis ne triomphent des menaces que s'ils sont unis dans un objectif commun, par delà les différences. C'est un peu la morale du film. Il y a pas mal d'action, la Los Angeles que l'on voit à l'écran conforme à ce qu'on voit d'habitude de los Angeles dans les films habituellement, ultra multiethnique, violente et surpeuplée, bref un enfer urbain. Justement, ce film montre que malgré tout ses habitants sauront s'unir et faire preuve de courage devant l'adversité. Toutefois on peu à juste titre trouver tout celà très naïf (y compris d'ailleurs les méthodes dont ils se servent pour lutter contre la lave). On a donc là un film passable, nettement au dessous du Pic de Dante, mais qui permet malgré tout de passer un bon moment.
La recrudescence des films-catastrophes dans le milieu des années 90 a donné lieu à des batailles ubuesques,comme celles entre "le Pic de Dante" et "Volcano"(1997). Les deux films parlent de la même chose:un volcan en éruption et une popluation qui parre au plus pressé,et bien sûr un sauveur accompagné d'une demoiselle. Celui qui nous intéresse ici tente de nous faire croire à une secousse sismique énorme à Los Angeles(c'est possible) qui se transforme ensuite en un torrent de lave déferlant sur la ville(beaucoup moins vraisemblable). L'équipe technique ne lésime pas sur les flammes,les explosions et les boules de magma,sans parler des bâtiments détruits pour nous faire croire à tout cela. Mais les effets ont considérablement vieillis entre maquettes et fonds bleus. Et on se demande ce que Tommy Lee Jones vient faire dans cette galère. Il récite ses ordres et son jargon avec la motivation d'un fonctionnaire,de même que la charmante Anne Heche,pas crédible en géologue. Le film est sauvé par son humour bon enfant et son montage enlevé,même s'il plonge à pieds liés dans tous les clichés possibles du courage et de l'héroïsme.
Sortit 2 mois après le Pic de Dante, Volcano est un film catastrophe Pop/corn au scénario facile, doté de répliques plus que douteuses. Un volcan émerge en plein Los Angeles. Ce nanar est sauvé par la seule prestation de super Tomy Lee Jones (excellent acteur au passage) qui porte le film sur ses seules épaules. Tomy campe dans le héro yankee typique avec ses problèmes persos, qui au fur et a mesure du film remonte la pente et sauve le monde.
De combien de navets est responsable le FISC américain ? Il y a de quoi sérieusement se poser la question après avoir subi le Volcano de Mick Jackson, le genre de film qu’un acteur ayant un brin de jugeote ne peut tourner qu’à cause d’un arriéré d’impôts à combler d’urgence. Bon, Tommy Lee Jones n’est pas à un navet près mais là il s’agit quand même d’un sacré beau morceau. Et il faut avouer que dans le genre on a rarement fait plus mauvais. Accumulation assez impressionnante d’invraisemblances et de clichés, Volcano c’est facile une ânerie à la minute. Alors pour information messieurs les scénaristes, une coulée de lave en fusion a pour température moyenne environ 1100° celsius. Et quand on sait que les mesures en question ont été effectuées à l’aide d’une perche de trois mètres par des scientifiques revêtus de combinaisons dernier cri et que la plus grande partie du matériel a été détruite en quelques secondes, on ne peut que s’esclaffer à la vue de personnages en t-shirt qui courent dans tous les sens à proximité de la lave et se suspendent un mètre au-dessus du magma pour s’en sortir indemnes. Non franchement, soyons un peu sérieux. Et puis, si vous en doutiez encore, vous serez maintenant assuré qu’un modèle d’altruisme, de courage et d’abnégation totale dès qu’il s’agit de sauver son prochain sommeille dans chaque américain qui se respecte, à condition bien sûr qu’il aime les noirs et récite ses prières avant d’accomplir ses exploits. Volcano, d’un générique à l’autre, est puant à un point que ça en devient effarant. Il n’y est question que de solidarité, de « municipalisme » et de sacrifices (celui du type dans le métro pour sauver le conducteur est risible à s’en fêler une côte) à tel point qu’on en vient sérieusement à se demander pourquoi ils n’arrêtent pas la lave à mains nues avant de lâcher une bombe A sur le volcan… Au moins on ne nous avait pas menti en vendant le film, c’est réellement un film catastroph(ique).
L’apparition des effets spéciaux numériques a amené le cinéma américain à relancer, au milieu des années 90, la mode du film catastrophe parfois pour le meilleur (le summum étant bien évidemment atteint par Titanic) et parfois pour le pire. Volcano appartient à cette seconde catégorie. En effet, le film de Mick Jackson est un ratage total : personnages sans réel intérêt car présenté trop brièvement, trucages numériques pas très crédibles, héroïsme caricatural… Seul l’argent facile semble avoir été le moteur de ce film et même Alan Silvestri n’offre pas de morceau marquant dans sa bande originale. En résumé, Volcano est un film catastrophe grotesque du début à la fin qui accumule tous les clichés du genre et qui n’est même pas sauvé par la présence de Tommy Lee Jones.
Le script est truffés d’invraisemblances, mais grâce à la présence d’un solide casting, à des effets spéciaux qui tiennent la route et à une mise en scène qui possède une bonne dose de suspense, on passe un moment de cinéma sympathique devant ce film catastrophe, où l’on voit Tommy Lee Jones est Anne Heche qui doivent faire face à un volcan en éruption à Los Angeles. Pas super marquant, mais cela à au moins le mérite d’être divertissant !
Pire que le pic de Dante, c'est dire. Mais que sont venus faire là Don Cheadle et Tommy Lee Jones?? Faudrait qu'un jour les réalisateurs comprennent qu'un tant soit peu de crédibilité ne nuit pas aux bénéfices d'un film...