Derniers Avis : Pusher 2 - Du sang sur les mains - Page 5

Ce qui démontre le talent incroyable de nicolas winding refn,c'est qu'il réussi à faire ressentir le désespoir et offre une vision réaliste et humaine de ces personnages...Du cinéma qui remue et qui n'hésite pas à choquer les esprits...

Incontestablement le meilleur film de la trilogie danoise déjà culte "Pusher" de Nicolas Winding Refn. 8 ans aprés le premier volet, Nicolas Winding Refn revient là avec une oeuvre plus sombre et plus mature, porté par un trés grand Mads Mikkelsen.

Bien qu' une suite de Pusher ne fut pas indispensable (la fin de ce dernier étant impeccable), Nicolas Winding Refn décide de remettre le couvert en prenant pour personnage principal Tonny, magistralement interprété par Mads Mikkelsen, déjà présent dans le premier volet. Cette suite s'avère réussit et reprend les mêmes ingrédients que pour le premier avec cependant un peu moins de tension, ce qui le place un cran en dessous de son ainé. Dans l'ensemble, les personnes ayant apprécié l'univers de "Pusher" apprécieront sans problème ce long métrage.

Tourné en 2004, soit 8 ans après le premier volume de la trilogie, Refn reprends avec "du sang sur les mains" les codes de Pusher, avec plus de maturité. En y ajoutant un drame familial, le génial Mads Mikkelsen s'illustre en nous livrant une performance à couper le souffle.

Énorme trilogie qui est celle de "Pusher". L'histoire est intéressante et bien construite, les acteurs sont grandioses et nous font vivre un univers fait de violence et sans-pitié. Il y a des suites meilleurs que le film original, "Le Parrain 2", meilleur pour ma pars que "Le Parrain" par exemple, "Pusher 2" en fait partie, l'histoire, plus humaine fait de ce film, de cette suite, le meilleur de la trilogie. L'histoire du raté "Danny" qui essaye de ce faire une place dans la pègre et en même temps dans le coeur du parrain de celle ci qui n'est d'autre que sont père est bouleversante et donne un final magnifique et humain dans ce monde impitoyable. Un chef-d'oeuvre.

Le 2nd épisode de cette trilogie "Pusher", moins alléchant que son prédécesseur. Même si le personnage est très bon, on se lasse à la longue de cette épisode moins charismatique que le 1er. Malgré des scènes convaincantes et maitrisées, le coté original du film de 1996 n'est plus présent, et on ressent vite l'impression d'assister à une série plutôt qu'une trilogie cinématographique.

Second volet de la trilogie mettant cette fois en avant Tonny (Mads Mikkelsen) qui, tout juste sorti de prison, aura fort à faire avec son père, patron de la mafia. Ce second film abandonne le coté britannique du premier volet pour se concentrer sur une ambiance et une histoire beaucoup plus sombre, abordant des sujets différents, pour rendre ce film beaucoup plus danois. Mads Mikkelsen excelle dans ce rôle d'ex taulard qui cherche la reconnaissance de son père. La musique est cette fois ci plus électronique, abandonnant peu à peu le coté métal du premier volet, donnant un coté plus urbain à l'ensemble. Avec ce second volet, Nicolas Winding Refn confirme son talent et place la trilogie Pusher au rang qu'elle mérite.

Deuxième volet de la trilogie qui est généralement considéré par beaucoup comme le meilleur alors que c'est celui que j'ai le moins aimé. Malgré quelques scènes très réussies à l'instar du vol de voitures (le cinéaste était déjà très fort pour ce type de séquence !!!), j'ai trouvé que l'ensemble était très long à démarrer mais au bout d'une heure c'est enfin bon et on parvient à avoir de l'intérêt aux cheminements d'une petite frappe, qu'on avait un peu croisé dans le film précédent d'ailleurs, qui veut changer et donc en devient attachant. La dernière confrontation entre le fils et le père est très puissante montrant que Nicolas Winding Refn sait insuffler beaucoup de violence psychologique dans des moments précis et importants.

Encore une fois, Winding Refn signe un film puissant et tendu, grâce à un scénario déroulé habilement et à des acteurs sur le fil du rasoir. Malgré tout, cet opus, pourtant plus sombre que le précédent, ne parvient pas à la même tension que le premier. Peut-être la faute à une réalisation moins nerveuse et à une caméra plus posée. Pusher 2 est donc plus noir, plus sombre et insiste ici sur les relations du personnage et son désespoir face au désamour de son père. Si l'univers dépeint est plus glauque et la critique d'une société en déserrance plus acide, on sent moins la désespérance et la descente aux enfers du héros, par rapport à un premier film parfait de ce point de vue.

Le scénario de ce film est magistrale, d'une telle finesse et fluidité qu'il est impossible de ne pas être accroché. La nature des personnages se dévoilent progressivement et sans aucune impatience. Mads Mikkelsen est simplement extraordinaire.

Inferieur a 1er pour ma part mais reste exellent !
On suit l'histoire de Tommy maitenant , le scenario n'a rien d'explotionnel mais ce ne pas vraiment le plus important.
Les acteurs sont tres bon , comme le 1 er rien a dire
B.O toujours aussi bonne !
Bref , pas grand chose a dire dans la ligne du 1 er mais s'essoufle vers les 3 quart du film ( petit defaut ) .
Je suis reste un peu decu par ce film meme si l'on s'ennuie pas et quel film repose sur des bons rebondissements
Franchement un suite exellente !

Plus nerveux encore que le premier volet, Pusher II est une excellente surprise. C'est un réel plaisir de voir le personnage de Tonny, incarné par Mads Mikkelsen, au centre de l'histoire cette fois. Les nouveaux personnages s'intégrent très bien dans l'ambiance particulière et unique des Pusher, surtout le Duc... Pusher 2 réussit à surpasser de loin son prédécesseur, pourtant déjà très réussi. Respect.

Cet opus m'a bien moins transporté que les premier et dernier opus.
Mais ça se goûte somme toute très bien.

Deuxième volet encore meilleur que le premier, ce film est un chef d'oeuvre !

Cette chronique des aventures de deux gangsters minables renvoie à la plongée dans la noirceur du premier épisode de la trilogie. Drôle et pathétique à la fois, ce Pusher 2 réussit l'exploit de sonner juste, malgré tout, et de rendre sympathique le triste et benêt personnage incarné par Mads Mikkelsen. Winding Refn confirme sa maîtrise et donne envie, plus que jamais, de voir le troisième épisode.