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    L'Homme sans âge
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    224 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 janvier 2015
    Rien que le fait de porter ce sujet et de faire découvrir Mircea Eliade est un exploit en soi.
    Ce sujet est intraitable au cinema, le film sert d'ouverture vers une plus profonde aspiration pour ceux qui souhaitent s'intéresser à l'univers du sacré et du symbolisme traditionnel dans un monde dominé par la quantité.
    Incertitudes
    Incertitudes

    177 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 août 2014
    Après dix ans d'absence, Francis Ford Coppola revient derrière la caméra pour un film qu'il a produit, écrit et réalisé en Roumanie et entièrement en numérique : L'Homme sans âge. Un film exigeant, abstrait, lorgnant sévèrement du côté de David Lynch et du Benjamin Button de David Fincher : l'histoire d'un homme frappé par foudre qui se met à rajeunir. Plastiquement, le film est superbe. Dans la veine du Parrain, d'Apocalypse Now ou de Dracula, Coppola nous a montré qu'il a toujours eu un sens de l'image hallucinant. Judicieusement, il a su choisir des acteurs talentueux : Tim Roth et les allemands Bruno Ganz et Alexandra Maria Lara qu'on a vu tous les deux dans La Chute. Mais dommage que le film s'égare trop vers l'ésotérisme et la métaphysique : le temps qui passe, l'origine du langage, la frontière entre le rêve et la réalité, le mélange des époques : passé, présent et avenir. Moi, je l'avoue, ça m'a un peu perdu. Mais je salue la volonté de Coppola de revenir, tout court, et de revenir à un cinéma à petit budget, plus intimiste, plus expérimental, comme à ses débuts lorsqu'il tournait Dementia 13.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Sur un postulat de départ digne d'un film de super héro et des pouvoirs acquis qui en ferait palir plus d'un, Coppola nous sert un film looooooooooong et qui part dans tout les sens finissant par perdre le spectateur ainsi que son attention mais aussi sa compréhension.
    Le début du film se concentre sur le personnage joué par Tim roth puis sur son amour pour enfin se focaliser à nouveau sur le héro et s'acheminer vers une fin que l'on voit venir à des kilomètres.
    Estonius
    Estonius

    2 568 abonnés 5 259 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Après une première partie relativement regardable, le film semble ne devenir qu'un prétexte pour le réalisateur de porter sur la pellicule ses angoisses existentielles, autant dire que c'est chiant, incompréhensible, prétentieux, pénible et insupportable. Peut à la limite intéresser les adeptes des prétendues sciences occultes orientales (s'ils ne s'endorment pas avant la fin) . Une terrible déception de la part de ce grand réalisateur.
    Christian B.
    Christian B.

    13 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    L 'histoire démarre bien , mais très vite le scénario devient longuet , après on atteint le paroxisme de l'improbable , je veux bien 1 grillé par le tonnerre mais 2 ..... on frise l'absurdité .... et le double de l'acteur dédoublement de la personnalité ou réalité , à un moment on se demande et on fini par plus rien demandé si , vivement la fin ... et ben on est pas déçu dans la même lignée
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 octobre 2013
    Je m'interroge toujours sur cette nulité... Coppola a surement voulu dire quelque chose à travers ce film, mais quoi ? à éviter !
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    229 abonnés 1 599 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2013
    Du texte de Mircea Eliade, spécialiste des mythes et des langues, Francis Ford Coppola a tiré un scénario touffu et compliqué, mêlant tonalités fantastiques, historiques, mélodramatiques, et brassant trop de thèmes : l'éternelle jeunesse, le double, les origines du langage, l'amour à travers les âges... Le projet est intéressant et ambitieux, mais le mélange de fiction et d'érudition ne prend pas vraiment. Et même si le réalisateur n'est pas un manchot avec sa caméra, l'ensemble finit par lasser. À trop vouloir embrasser de pistes dramatiques ou symboliques, le récit ne développe rien de façon convaincante. Dommage.
    mehdi2610
    mehdi2610

    21 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 juin 2013
    Malgré une mise en scène extrêmement soignée, un bon casting, et des références historiques intéressantes, ce film de Coppola est incompréhensible.
    alf38000
    alf38000

    11 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mai 2023
    Voila une oeuvre plutôt étonnante, dont on ne sait trop par quel bout la prendre. F.F. Coppola filme à l'ancienne, un peu à la manière de Orson Welles ou plus prés de nous de Stanley Kubrick ou de David Lynch et nous propose une relecture métaphysique du mythe de Faust inspirée de la nouvelle de Mircéa Eliade "jeunesse sans jeunesse" parue au début des 50's.
    Sans tomber dans la psychologie de bazar, on peut raisonnablement se demander si Coppola à l'approche de ses 68 ans ne projette pas sa vie et son œuvre à travers son personnage principal interprété par un Tim Roth très convainquant (voir d'ailleurs ce dernier dans le rôle d'un des rare gentil de sa carrière mérite le détour).
    Au final, le réalisateur nous livre un film étonnement poétique (un OVNI dans sa filmographie) et à l'ambiance un peu surannée qui n'est pas sans rappeler "l'étrange histoire de Benjamin Button" de David Fincher sorti l'année suivante. Coïncidence ? Sans doute.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 février 2013
    long, long, loooooooooooong. Difficile de résister à l'appel de la télécommande en regardant ce film. Il n'y aurait pas le nom de Coppola à l'affiche, les distributeurs ne se seraient même pas attardés sur le projet. Il n'y a simplement pas d'histoire. Au mieux, un filigrane de philosophie, de celle qu'une miss France un peu pompette au salon du charolais pourrait sortir à 2h du matin.
    Pire, la réalisation aurait pu être intéressante en 1950, aujourd'hui elle est tellement désuète que l'hypothèse des hommages ne peut même pas être retenue. Bref, une déception peut vous être évitée en de le regardant pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 février 2013
    Sublime film testamentaire d'un des maitres du cinéma. Délicat, subtil, experimental et sophistiqué à la fois. Une belle romance métaphysique. Belle grande musique aux teintes tzyganes.
    Beau et passionnant.
    GLOBAL JAZZALIST sur un moteur de recherche
    JR Les Iffs
    JR Les Iffs

    62 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2013
    Oeuvre assez étrange de Coppola. C'est l'histoire d'un homme qui, frappé par la foudre, rajeunit d'une trentaine d'années. Ça se passe en Europe (Roumanie) pendant la seconde guerre mondiale, et il est poursuivi par les nazis. Tiré d'une oeuvre de Mircea Eliade, le scénario est plutôt complexe et se déroule parfois d'une manière incohérente, mais est-ce voulu ? L'intérêt reste la réalisation de Coppola qui est excellente. Un langage cinématographique très riche maintient l'intérêt du cinéphile qui ne peut reprocher qu'un manque de suspens dans le scénario et surtout une finalité assez obscure dans le thème général du film. Réincarnation, métempsycose, dédoublement, irrationalité, on a du mal à jouer le jeu d'un scénario alambiqué. L'intrigue amoureuse plutôt mièvre n'arrange rien. Reste de belles images sans beaucoup d'émotion. Et parfois cela frôle le ridicule.
    La fin est terriblement longue...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 janvier 2013
    C'est divertissant, cela se regarde, mais à postériori, le scénario est incohérent avec lui même. On part sur un aspect scientifique, on bascule dans du métaphysique et on termine avec du..."magique?". Bof.
    Pas mal de digressions pour meubler et faire de la longueur (certaines auraient mérité d'être exploitées).
    Une fois le "The End", on a un sentiment d'inachevé, de bâclé. On nous a mis en appétit et on nous laisse sur notre faim.
    Je n'y tiens plus... la quête d'une vie : l'origine du langage, même si c'est un prétexte, c'est hilarant de vouloir atteindre le "graal" spoiler: avec un magnétophone et un sujet qui "régresse" vers des vies antérieures. Quelques phonèmes dans des "langues inconnues"
    qui apporteraient "LA" révélation, c'est illusoire, voire pathétique?.
    De même, si c'était le sujet du film, pourquoi attendre 1h30 avant de traiter le sujet et l'expédier en 15 mn. Le préambule est un peu long.
    Enfin bref, le scénario jette en vrac, beaucoup d'idées, les relient les unes aux autres via une intrigue chaotique et nous le livre non terminé.
    M. Coppola, "peut mieux faire", vous l'avez déjà montré. Vous vous reposez sur vos lauriers....
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2012
    En allant voir "L'Homme sans Age", j'ai ressenti un peu la même émotion que celle que j'avais éprouvée en allant voir "Full Metal Jacket" ou "Eyes Wide Shut" : après des années de latence, le plaisir de découvrir l'oeuvre d'un très grand réalisateur, et de recevoir un film comme on n'en fait plus, comme un écho de passé du cinéma. Ce qui paraîtrait insupportablement prétentieux venant d'un jeune réalisateur semble ici pleinement légitime venant de celui qui a adapté "Au Coeur des Ténèbres" dans la jungle cambodgienne, et l'exubérance de certains plans et de certaines scènes s'inscrit dans la construction d'un univers qui prolonge à la fois l'oeuvre de Coppola, et cite en même temps de nombreuses références, de Hamlet à "Citizen Kane".

    Premier plan, ouverture au noir, avec juste le tic-tac d'une montre. Une image floue, avec des sortes de lucioles scintillantes, qui laissent deviner un mécanisme d'horlogerie, puis un crâne distordu, comme une anamorphose d'Holbein. Une voix off dit "Mon seul et unique livre... Je n'ai rien été, et je vais mourir seul" Puis un vieil homme hagard en pyjama erre sous la neige, comme Salieri au début d'"Amadeus". Une rose rouge, Rosebud de ce récit, apparaît sur un fond noir, et un titre à l'ancienne s'incruste. Comme dans la suite du film, à l'ère du tout numérique, Coppola est plus proche de Meliès que de Lucas : image renversée, filtre mordorée ou violine, nuit américaine expressionniste, plongées et contre-plongées vertigineuses, split screen à la Matisse, avec des miroirs montrant des images décalées par rapport aux modèles qu'ils sont censés renvoyer.

    Alors certes, l'histoire vire un peu à l'ésotérisme new-age, sans doute plus du fait de la nouvelle de Mircea Eliade, "Le Temps d'un centenaire", dont elle est adaptée, que de la volonté de Coppola, qui s'est dit séduit par l'aspect de conte à la Borges de cette histoire : "Il y a de l’action et en même temps, le personnage ne cesse de réfléchir aux implications philosophiques de ce qui lui arrive. Je pensais donc que ça pouvait donner un film existant sur plusieurs niveaux de lecture." Il y a aussi quelques longueurs, et le récit se perd un peu à l'instar de son héros. Coppola revendique d'ailleurs ce rythme : "Quand je regarde les clips vidéo avec leur montage frénétique, j’ai immédiatement envie de prendre le contre-pied et de faire un cinéma plus lent, au tempo mesuré d’autrefois. Mais je crois par ailleurs que, quel que soit le domaine, même quand on arrive à ce qui ressemble à un point d’achèvement, il y a encore quelque chose à faire. Les notes d’un piano sont en nombre fini, mais les mélodies sont, elles, potentiellement infinies."

    Le choix de la Roumanie comme décor s'explique par la nationalité de Mircea Eliade ; mais je crois aussi que ce n'est pas un hasard, tant on retrouve par moment une ambiance gothique proche de celle de "Dracula", tourné dans la Transylvanie voisine : le visage sanguinolent du professeur foudroyé evoque la carapace de Gary Oldman, ou la transformation nocturne de Veronika rappelle celle de Mina. Mais les références ne se limitent pas à l'univers de Bram Stocker : Coppola va chercher aussi du côté de Frankenstein, dans le rapport entre Dominic et Stanciulescu, ou dans le générateur de foudre construit par le savant nazi ; il pioche aussi -entre autre- dans "Le Portrait de Dorian Gray", "Citizen Kane", "Le troisième Homme", "Le Faucon Maltais" ou "Fellini Roma".

    J'évoquais Kubrick, avant de lire l'interview de Coppola dans Libération, où il dit : "Quand vous faites quelque chose d’un peu nouveau, il y a d’abord un phénomène de rejet. Je ne m’exclus pas ce réflexe d’ailleurs. Je me suis toujours précipité pour voir chaque nouveau film de Kubrick et j’ai toujours été déçu à la première vision." Je pense que nombreux sont les critiques qui ont boudé le film et qui dans quelques années, disséqueront en DVD des scènes comme celle où une espionne allemande couche avec Dominic, et où son identité est révélée par un motif de la bretelle de son porte-jarretière qui se transforme lentement en croix gammée. Film de cinéaste et de cinéphile, "L'Homme sans Age" n'a été vu en deux semaines que par 85 000 spectateurs français. Dommage, surtout quand on découvre que 300 000 spectateurs sont allés voir "Saw 4" en une semaine...

    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    Au départ, un coup de foudre. Un soir d’orage, Dominic Matéi (Tim Roth) se prend des milliers de volts sur son corps vieillissant. Coup de bol, au lieu de le brûler vif, ça le fait rajeunir miraculeusement. Le temps qui passe, et qui ne reviendra pas, est un sujet éternel. Certes. Mais encore ? Malgré quelques plans très esthétiques, le scénario est alambiqué et sans surprise. Bref, le contraire d'un coup de foudre.
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