Mon compte
    L'Homme sans âge
    Note moyenne
    2,3
    2435 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme sans âge ?

    224 critiques spectateurs

    5
    25 critiques
    4
    35 critiques
    3
    13 critiques
    2
    63 critiques
    1
    49 critiques
    0
    39 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 novembre 2008
    Une oeuvre intègrale, mais faite de longueur difficilement surmontable. Copolla aborde les questions existentielles avec une pénibilité incongrue. Dommage.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 027 abonnés 4 096 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 mars 2015
    Fini les grandes fresques comme la saga du « Parrain » ou les films épiques comme « Apocalypse Now » . A l’approche de ses soixante dix ans et après une période de vaches maigres, Coppola choisit d’aborder des thèmes plus existentiels comme le temps qui passe ou les origines de l’homme. Son film un peu inabouti soulève plein de questions. La foudre telle une volonté divine s’abat sur ce vieil homme inquiet de ne pas pouvoir finir l’œuvre de sa vie : retrouver les origines de l’homme à travers l’étude de ses langages les plus primitifs. Un rajeunissement soudain lui donne une nouvelle chance de poursuivre son étude tout en attisant la convoitise des nazis dont on sait qu’ils étaient friands d’expériences sur le sujet. Passée cette période trouble, il trouvera un sosie de sa fiancée de jeunesse elle aussi frappée par la foudre. Ce choc donnera à la jeune fille la possibilité de remonter par catalepsie dans le temps et d’y lire les langages les plus primitifs. Cette faculté soudaine n’est pas sans prix et elle fait le chemin à l’envers de son amoureux en vieillissant prématurément. On approche alors de la fin du film. Et si tout ceci n’était qu’un rêve ? Ce film bizarre et parfois compliqué possède malgré tout un charme envoûtant renforcé par les cadrages de Coppola parfois à la limite de l’expressionnisme et par le jeu très habité de Tim Roth pas mécontent de retrouver ici l’occasion de sortir des seconds rôles. L’utilisation de bleus saturés contribue à l’impression d’étrangeté. Au final ce film de la maturité de l’ex-trublion d’Hollywood s’avère une bonne surprise ou plutôt un bon cru pour rester dans le domaine viticole cher au réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 août 2008
    Un début très fort, un milieu intéressant, une fin qui casse les deux premiers
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 août 2008
    Sincèrement déçu... On s'ennuie. On ne comprends pas trop l'intérêt de tout ça. Autant les acteurs ne sont pas mauvais, autant l'histoire aurait pu être mieux tourné. Les raisonnements des personnages sont artificiels, et certains personnages sont carrément des caricatures. De plus, l'ambiance est mollassonne et rien n'attise l'intérêt. Bref, je m'attendais à un film profond, mais j'ai juste conservé un profond ennui.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 décembre 2008
    Long et chiant, mais surtout décevant de la part de Coppola.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 31 mai 2008
    Un film sans queue ni tête, tout y est superficiel, à peine abordé: les sujets métaphysiques, la guerre nucléaire qui sélectionnera le sur-homme de demain (qu'est-ce que ça vient faire là ???) les pouvoirs magiques du personnage principal ne sont pas exploités, des évènements dans le scénario (le double de Tim Roth qui apparaît à sa femme, juste une fois sans suite ???, le voyage en Inde et la découverte d'une caverne, et après ???). Le scénario lui-même est très mal foutu, on a l'impression qu'il y a 2 films en un: Tim Roth s'emmerde en Suisse et hop, tout à coup lors d'une randonnée en montagne (qu'est-ce qu'il fiche là ???), il rencontre une femme, sosie de son premier amour. Il est persuadé qu'il lui est arrivé un accident, alors il va la chercher et comme par hasard, quand il la retrouve, elle parle une langue ancienne et va l'aider à suivre la quête qui l'anime depuis toujours... Et puis c'est long, très long. On serait tenté d'expliquer le film par la mise en image d'un rêve, genre Mulholland Drive, mais ça ne colle pas... Ce n'était pas encore le temps du retour pour Coppola.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mai 2008
    Un retour à part du maestro. Entre autoportrait, réflexion mystique sur le temps et son propre travail. Merci pour le Coppola.
    Jérôme H
    Jérôme H

    144 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 mai 2008
    Coppola ne nous avait pas habitué à réaliser des films aussi poussé sur la psychologie humaine. il fait ici du Kubrick en se basant sur une histoire très belle mais diablement compliqué à suivre, un mélange de fantastique et de mysticisme assez surprenant.
    Le final laisse perplexe et peut conclure à un simple délire ou a une aventure au déla des limite du cerveau humain.
    Thibault L
    Thibault L

    119 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2008
    Le réalisateur préféré de la génération de nos papa maman réalise un bon film après plusieurs années sabbatique.Il faut dire que l'acteur tim roth signe une bonne prestation , la voix du narrateur colle bien au film ,les images soignées et l'histoire très intéréssante jusqu'au 3/4.Après un certain temps ça dévi vers une face que on se serait passé de voir.Les décors et les lieux sont toutes la beautés du film.
    pitch22
    pitch22

    148 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2008
    Bien étrange retour coppolesque que ce film poétique, baigné de mysticisme voire d'occultisme. Les critiques générales tournent injustement à la grosse déception. Supercherie métaphysique? Je m'y suis pourtant laissé prendre et j'en suis ressorti enchanté, sous le charme, en plein irréalité... Ce jeu sur le trouble, la question de l'identité, sur la quête impossible du soi profond, m'a bel et bien emballé. J'ai bien aimé, malgré certes cette espèce d'inaboutissement étrange (qui, du coup, permet de poser des questions). Tim Roth y est excellent, tout comme Alexandra Maria Lara. Visuellement, j'ai été à plusieurs reprises bluffé par le talent à l'oeuvre, hypnotisé par l'atmosphère envoûtante en grande partie présente. Musicalement, c'est moyen. Je préfère le titre original "Youth without Youth" qui signifie "Une jeunesse sans jeunesse" (comprendre non "vécue") mais qui peut aussi être traduit par "La Jeunesse hors du temps". Ce film n'est pas un divertissement facile, il détient un mystère, et c'est ce qui le rend attachant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 janvier 2008
    Beaucoup de questions nous viennent à l’esprit une fois ce film terminé et aucune réponse ne paraît véritablement satisfaisante. L’histoire n’est pas traditionnelle du tout et les éléments développés dans ce film méritent effectivement réflexion. A voir donc.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2008
    Wahhhhoooooooooooooooo !!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 janvier 2008
    Après avoir passé une éternité dans les limbes de l'oubli, Francis Ford Coppola reviens pour cette fresque mystique et impressionniste sur la mémoire. Si l'ensemble manque parfois de rythme la beauté visuelle du film et la justesse des acteurs se suffisent amplement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 janvier 2008
    Sur des thèmes aussi complexes que l'origine des langues, le pouvoir de la science, son instrumentalisation au service d'une idéologie, et de nombreux autres encore brassés par le réalisateur, mais qui posent toutes en filigrane la question centrale de l'homme, sujets par ailleurs difficiles à traiter avec une caméra sans verser dans le "grand guignol", Coppola nous signe ici un film maîtrisé et passionant, où nous frôlons souvent l'univers de l'occultisme, et dont le rythme enlevé ainsi qu'une trame de fond assez simple à comprendre soutiennent aisément l'intérêt du spectateur pendant les deux heures que dure ce voyage. Au final, ce film laisse une empreinte persistante dans la conscience du spectateur longtemps après avoir été vu.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    212 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 janvier 2008
    Les cliquetis d’une horloge, objet du temps, sonnent dans la pénombre d’un écran noir. Tout va très vite s’accélérer dans le tunnel temporel de «Youth without youth» (USA, 2007) de Francis Ford Coppola. L’odyssée de ce linguiste universitaire dans l’espace temporel de son inconscient est l’occasion pour Coppola, sur son retour, d’ériger une expérience nouvelle. Nouvelle en un sens, par son format vidéo haute-définition. L’esthétique du film se voit donc libéré par une aisance de tournage, fournissant un format cinématographique plus malléable. La révolution numérique est en marche, bien que le fantôme de la pellicule hante encore le terrain du film. Notamment lors de la scène en Inde où une caméra de 1960 filme, le bruit de la pellicule s’adjoignant au monde enregistré. Comme le cinéma qui s’acquitte de contraintes grâce à la «légèreté» du numérique, Dominic Matei (Tim Roth), personnage central, se dégage de son enveloppe corporel pour naviguer dans le fleuve du temps. La scène est belle quand Matei, frappé par un coup de foudre spectaculaire et outrageusement numérique, gît calciné sur le parvis en même temps que s’embrase la toile de son parapluie, n’exposant plus que les os de l’objet, que l’essence de l’être. Le voyage, on peut même parler d’odyssée, de l’homme dans son inconscience permet au temps de se ralentir. A un tel point qu’il recule. C’est ainsi que Matei rajeunit, revient sur ses erreurs, refait sa vie. Le film ne serait que cet instant limitrophe à la mort où l’on voit, comme le dit l’expression, «sa vie défiler devant soi». Coppola donne la chance à son personnage, probablement comme il aimerait se la donner, de revenir sur ses erreurs pour ne plus les commettre. Matei doit, pour donner un meilleur aspect à sa vie, faire montre de sacrifice, perdre une deuxième fois son amour. Il n’y aura pas de troisième tentative, de troisième rose, pour la reconquérir. C’est bien là la question qui reste en suspens : où mettre la troisième rose ?
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top