Avis : Pénélope - Page 4

A l’origine du projet Reese Whitherspoon et Jennifer Simpson…Toutes deux très motivée à faire naître ce film

Une jeune fille issue d’une famille noble paye les conséquences de la malédiction qu’une sorcière a jeté à son arrière, arrière, arrière, arrière grand père. Effectivement, cette demoiselle se retrouve défigurée par un…Groin…Le seul moyen pour elle de lever la malédiction est d’épouse un noble. Le problème est que tous les hommes la fuient…


Ne supportant plus cette vie dans sa tour dorée…éloignée du monde par ses parents…Elle décide de s’enfuir et découvrir le monde mais également apprendre à s’accepter.


Pour ce joli petit conte assez inspiré de l’univers de Tim Burton, la ravissante Christina Ricci accepte de s’enlaidir pour le plaisir de découvrir cet adorable conte de fée des temps moderne. L’actrice montre une fois encore son talent, donnant une impressionnante consistance à son personnage…Avec un groin ou nom, elle est jolie…Touchante et parfaitement crédible.

Le couple qu’elle forme avec James McAvoy est émouvant…Très attachant…

D’ailleurs, l’ensemble du casting est impeccable.

Le réalisateur, Mark Palansky croit en son film…Et ça se voit ! Simple, honnête, touchant…Il crée un univers surprenant et riche. Toujours juste, sans en faire trop et vraiment généreux. Chaque scène, chaque moment du film est un vrai bonheur !

Quelle vrai bonne surprise ce film !!! Laissez vous tenter par ce ptit bijoux d’ingéniosité !

Suite à une malédiction jetée sur sa famille, Pénélope est née avec un groin de cochon à la place du nez cependant son sort pourra être changé si un prince charmant l’épousera, ce que tentent en vain de trouver ses parents malgré qu’ils dissimulent Pénélope aux yeux de tout le monde.
Il est vrai que le sujet fantastique du film d’une fille affublée d’un groin de cochon est des le départ très original et pouvait potentiellement passionner, ce qui est presque un chouilla le cas même si l’histoire débouche finalement sur un discours plutôt convenu sur l’acceptation de soi et de devenir l’acteur de son propre destin. Car en effet, le film réussit avec une certaine élégance malgré sa mièvrerie, à produire un excellent exercice de style entre conte de fée et comédie romantique grâce à une histoire d’émancipation dont l’argument ne tombe jamais dans le cynisme. De plus, malgré sa naïveté dans les bons sentiments que le film assume complètement, la confrontation de Pénélope avec un monde où les apparences prévalent sur la beauté intérieur donnent à voir à des scènes uniques ou décalées non dénuées d’humour tout comme à l’image des personnages secondaires un peu déjantés comme le père, la mère ou du personnage de James McAvoy qui ne possède rien au début l’attrait du prince charmant idéal. Quant à la lumineuse et charmante Christina Ricci, excellente par son interprétation, elle parvient grâce à son ravissant regard et son adorable sourire à faire oublier son affreux groin de cochon, ce qui est une performance remarquable en soi.
Ce film donc au charme indéniable mérite un minimum de curiosité, sans oublier que ce long métrage possède vraiment tout au long de l’histoire une esthétique très particulière qui n'est pas négligeable non plus à regarder.

Long-métrage divertissant, "Pénélope" jouit d'un scénario plaisant et bien écrit. D'autre part, les acteurs jouent bien sans trop rentrer dans le cliché. Quant à la réalisation, elle effectue un travail juste. Ainsi, l'ensemble est à la hauteur pour offrir un bon film.

A mi-chemin entre l'univers de Disney et le cinéma de Tim Burton, Pénélope apparaît comme un conte de fées moderne aussi agréable que divertissant. Mark Palansky nous plonge ainsi dans l'univers naïf et envoûtant de la magie pour proposer une histoire pleine de charme et d'humour. Comme dans tous contes, on se doute assez rapidement du dénouement de l'histoire et l'on n’échappe pas au message moralisateur porteur de belles idées universelles, et ainsi ici est abordé l'acceptation de soi, mais le thème le plus récurrent demeure la jugement des gens sur les différences. Tout ça ne semble guère très novateur. Toutefois, grâce à une mise en scène brillante et un univers atypique, le cinéaste a su épargner au spectateur les habituels clichés et a surtout évité de faire chavirer son oeuvre dans le mélo gluant (ce qui aurait été facile en traitant des différences). En ressort, au contraire, une oeuvre riche et originale, dotée d'un humour savoureux et de personnages attachants. D’ailleurs, le couple Christina Ricci/James McAvoy est resplendissant et apporte une grande fraîcheur au film, parvenant même à dissimuler la description caricaturale de leurs personnages derrière la justesse et la sobriété dans leurs interprétations. Traité avec délicatesse et humour, avec poésie et tendresse ou encore avec enthousiasme et générosité, Pénélope s'apparente à ce genre de films dont on ressort avec un immense sourire. Voilà donc un film lyrique et sensible qui mérite le coup d'oeil.

Parce que le casting est génial, parce que c'est rafraîchissant, parce que c'est un conte de fées, parce qu'il y a des dizaines de bonnes raisons d'aimer ce film...

Victime d’un tour de cochon fait par une sorcière qui avait visiblement sa famille dans le nez, Penelope est persuadée qu’un jour son prince viendra et la délivrera du sortilège (les doigts dans le nez, naturellement). Confinée chez elle pour cacher ce groin que l’on ne saurait voir, la jeune fille attend son sauveur en faisant de la balançoire dans la plus haute tour du château... Elle nous prouve ainsi combien avoir une balançoire dans sa chambre, c’est fun. Plus tard, elle démontrera l’importance de s’aimer soi-même et de s’accepter tel que l’on est, le tout dans des décors féériques et des vêtements fort seyants.
Discours engagé et prises de position chocs, donc... Malgré tout, la magie opère et ce conte (garanti pur sucre) séduit par sa naïveté touchante. De plus, James McAvoy et Christina Ricci sont à croquer, alors pourquoi se priver?

A première vue, Pénélope est une fille comme une autre, car en s’attardant un peu plus sur son cas, on découvre en réalité une jeune femme maudite depuis sa naissance. En effet, elle est née avec un groin ! Un nez de cochon en plein milieu de la figure, rien de tel pour repousser quiconque s’intéresserait à elle. Le bémol, c’est qu’il lui faut un prétendent de bonne famille pour rompre la malédiction. Si seulement ils ne s’enfuyaient pas comme des lièvres à la moindre vue de son faciès, elle en aurait finit depuis des lustres avec ce nez, « ce cap, ce pic, que dis-je, c'est un cap ? C'est une péninsule ! ».
Jeune réalisateur fraîchement débarqué de nul part, Mark Palansky séduit avec ce conte moderne joliment mise en scène, nous rappelant l’univers magique de Tim Burton et celui de Disney pour ces douces leçons de morales.
Le casting est tout bonnement parfait, à commencer par la très ravissante Christina Ricci (même avec un groin placardé sur la figure), aux côtés de James McAvoy, Reese Witherspoon et l’hilarante Catherine O'Hara.
Une fable qui nous délivre des messages déjà bien connues de tous, comme « pour s’aimer, il faut d’abord s’aimer soi-même » ou « s’accepter telle que l’on est », ceux qui sont réticents au joli conte de fée, ne risquent pas d’adhérer, mais la prestation de Ricci est tellement « so chic » que l’on ne peut s’empêcher de rester émerveiller par tant de malchance, d’amour et d’humour !

Même si cette histoire de fille au groin semble totalement farfelue et en soi assez originale, "Pénélope" se caractérise néanmoins par un surprenant classicisme dans son intrigue et dans sa forme. Mais à dire vrai qu’importe ! C’est vrai qu’on s’imaginait tout de suite un univers à la Burton, alors que pourtant il n’en est rien. En même temps, vu le mauvais goût des productions actuelles de l’ami Tim, on ne s’en plaindra sûrement pas. Car au fond ce film sait, sans véritable fioriture ni surprise, mener sa barque de manière assez sympathique. C’est niais mais assez léger. C’est parfois dit et redit mais toujours dans une atmosphère assez sympathique… On rigole un peu, on sourit souvent. Bref, même si on n’est pas chaviré, on peut sortir de là plutôt satisfait. Pas indispensable donc, mais honnête.

A la fois conte de fée moderne et comédie romantique, "Penelope" enchante par son univers, ses décors magnifiques et sa somptueuse lumière qui rappellent l'ambiance des films de Jeunet et de Burton. Penelope, c'est Christina Ricci, qui nous prouve encore une fois toute l'étendue de son talent. Elle incarne ce personnage merveilleux, doté d'un groin, la faute à une malédiction tombée sur sa famille des générations auparavant. Pour contrer le malheur, elle devra épouser un aristocrate qui lui seul pourra la transformer. Celui qui va la charmer est interprété par le très séduisant James McAvoy, la révélation du film, je ne l'avais jamais vu au cinéma. Mais en plus d'être une très jolie histoire digne des plus beaux contes de notre enfance, Penelope est un film sur la tolérance et l'acceptation de soi, et délivre un message plus ancré dans notre société quand il s'attaque au pouvoir des médias. Jamais niais, un peu naïf, parfois très drôle, parfois émouvant, le film touche juste et est un vrai bonheur. En tout cas, pour son premier long-métrage, Mark Palansky s'annonce plus que prometteur.

Il était une fois, une jeune fille. Burtonnienne sans l'être trop, nantie d'une existence agitée mais pas trop et d'un destin exceptionnel mais pas trop. Princesse en devenir, monstre au demeurant, elle attendait quelqu'un même s'il n'était pas charmant. Cette histoire nous la connaissons tous, toutefois il n'est jamais trop tard pour s'en émerveiller une fois pour toutes.

Un film qui allie l'univers de Tim Burton au charme britannique. C'est franchement bien écrit, surprenant, dynamique, tendre et l'interprétation est impeccable. Un film que je conseille pour son originalité, son scénario et pour ses couleurs qui nous réchauffent le coeur et l'esprit!!

"On ne voit bien qu'avec le coeur" pourrait être le leitmotiv de ce film où l'intraitable Christina Ricci est affublée d'un groin fort disgracieux. Mais que voulez-vous, c'est la faute commune et le pêché véniel, c'est la face cachée de la lune de miel et la rançon de pénélope. Morale simpliste, certes, mais que l'on sentait de toute façon venir dans cette histoire à l'eau de rose pour le moins originale. Avec dans un rôle oscillant entre le Petit Prince et un Ulysse de banlieue le bellâtre James McAvoy qui a quand même le mauvais goût d'hésiter quand notre malheureuse héroïne, que l'on ne voit toutefois jamais penchée sur des travaux de toile, le demande en mariage. Enfin, Reese Whiterspoon vient compléter un trio d'acteurs attachants dans une histoire romantique en forme de conte de fées finalement assez mignonne. Oui, tout est bon dans le cochon.

Je m'attendais à un conte très enfantin et une histoire cul-cul, mais c'est une agréable surprise. On est bien dans le fantastique de récits typiques de malédictions et de sorcières dans la source du sujet, mais le fait que ce soit transporté à notre époque rend la chose différente et plus attirante. Ça change. On reste dans l'ambiance avec des couleurs féeriques en ce qui concerne le personnage de Pénélope, et c'est franchement beau. Un rôle bizarroïde clairement fait pour Christina Ricci.

Ce film est une bonne surprise, il est beau et on en ressort avec du baume au cœur. Même si la fin est courue d'avance, on prend plaisir à regarder Penelope évoluer dans le monde "réel" et "Max" tomber amoureux. James McAvoy et Christina Ricci forment un excellent duo. Les rôles secondaires sont tout aussi sympathiques. Une jolie histoire à voir!

Très beau conte plutôt pour les "grands" lol avec une Christina Ricci très touchante, attendrissante et bourrée de charmes dans le rôle de Pénélope (car je ne trouve pas qu'elle soit si laide ! lol) et un James McAvoy craquant (acteur qui commence à se faire un nom et dont on n'a pas fini d'entendre parler !) et une Reese Whitherspoon un peu "cinglée" ! Morale de l'histoire : S'aimer comme on est !