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    Bienvenue à Suburbicon
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    225 critiques spectateurs

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    Le cinéphile
    Le cinéphile

    608 abonnés 2 712 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 mars 2019
    Le film de Clooney est une copie du cinema des frères Coen. L'écriture de ces deux génies du cinema se ressent constamment dans le film, tandis que la mise en scène épurée de Clooney est certes professionnelle mais manque légèrement de folie, en étant trop académique. Le casting est parfait, et la musique de Alexandre Desplat est délicieuse. Bienvenu à Suburbicon n'atteint pas la qualité des œuvres des frères Coen mais reste un convenable divertissement sadique.

    https://m.facebook.com/la7emecritique/

    http://www.lavisqteam.fr/?p=32933
    dominique P.
    dominique P.

    792 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    Cela parle d'une petite ville américaine charmante en surface mais complètement dangereuse, folle, crapuleuse et violente sous la surface. Tandis qu’une famille blanche, caricature de l’american way of life, s’enlise dans des magouilles et autres horreurs, une autre famille noire voisine subit le racisme et le harcèlement des riverains. Le film est la satire grinçante de cette petite société hypocrite et raciste de la fin des années 1950.
    J'ai bien aimé ce film de grande qualité, bien foutu, grinçant et intéressant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 206 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    Le générique du début est en tous points parfaits et nous vante la charmante de bourgade de Suburbicon telles les publicités de l’époque. Elle incarne le rêve américain et l’American Way of Life dans ce qu’ils avaient de plus parlant dans les années 50 et 60 : rues et quartiers propres aux maisons identiques avec des habitants bien sous tous rapports - et surtout blancs - qui oeuvent pour une communauté soudée et en tous points parfaite. Et dans un mélange de comédie, de polar et de constat social d’époque, c’est tout ce que George Clooney va s’employer à dézinguer dans son nouveau film « Bienvenue à Suburbicon », lui qui aime à sonder le passé de son pays dans ses différentes réalisations. Sous le vernis propret de la vie idéale à l’américaine se cache bien des plaies et stigmates mal pansées et en tout premier lieu celle du racisme et de l’intégration des personnes de couleur.

    Et c’est ce dernier thème qui s’avère le couac majeur et le problème du film justement. Car si la partie qui mélange polar et comédie est assez réussie et qu’on sent fortement l’influence de la fratrie Coen (c’est d’ailleurs eux qui ont écrit le scénario), les séquences mettant en scène ce couple de couleur qui s’installe à Suburbicon avec la désapprobation des voisins puis leurs menaces, ne s’imbriquent pas du tout avec le reste de l’intrigue. Pire, on a rarement vu une sous-intrigue aussi mal liée avec le sujet principal. Tout ce qui concerne cette famille noire, par ailleurs sous exploitée comme jamais à tel point que le patriarche n’a qu’une réplique, semble venir d’un autre film, dramatique lui. On ne peut en vouloir à Clooney d’avoir voulu écorcher le racisme ambiant (bien que des œuvres aient traité beaucoup mieux ce sujet même en mélangeant deux histoires, on pense au premier film méconnu d’Antonio Banderas, « La Tête dans le carton à chapeaux ») mais il aurait du attendre un prochain film. Car là on a la désagréable impression qu’il traite son sujet par-dessus la jambe.

    Quant au reste de l’intrigue, on la suit avec un certain plaisir mais pas avec passion non plus. En effet, ce type de sujet ne brille guère par son originalité et il enfonce des portes ouvertes. De plus, l’allumage est un peu long avant que tout cela ne devienne vraiment prenant puis drôle. Mais quand tout part en sucette, notamment avec l’arrivée de l’excellent Oscar Isaac en inspecteur des assurances, cela devient plutôt jubilatoire. Le jeu de massacre commence et par le biais du personnage du jeune garçon, le seul vraiment bon dans cette galerie de personnages affreux, sales et méchants, on assiste à un délire peut-être un peu trop sage mais assez plaisant. On aurait aimé encore plus de folie, que Clooney aille encore plus loin dans mise en branle de cette banlieue proprette et de ses habitants. Mais « Bienvenue à Suburbicon » reste bien réalisé et doté d’une direction artistique optimale. Pas le grand huit espéré mais un divertissement sympathique en dépit de sa béquille de double scénario et de son manque d’innovation thématique.
    btravis1
    btravis1

    99 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    Avoir voulu mettre en relation les problèmes d'escroquerie d'une famille blanche apparemment modèle et l'accueil réservé par les habitants à une famille de couleur dans un lotissement résidentiel des années 50 paraissait une bonne idée mais, finalement, le traitement mineur et très caricatural en tache de fond du problème ségrégationniste dessert plutôt l'histoire, car il ne sert qu'à démontrer que les problèmes ne sont pas liés à la couleur de peau des gens. Et l'intrigue principale, certes assez drôle, est quand même un peu mince et la famille est trop vite survolée. La réalisation assez standard, avec musique à la Hitchcock, est plus un hommage qu'un gage de qualité. Le casting est parfait. Film plaisant donc, mais on pouvait s'attendre à mieux.
    Yves G.
    Yves G.

    1 309 abonnés 3 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2017
    À Suburbicon, les Lodge mènent une vie paisible. Tout se détraque avec l'arrivée dans cette banlieue très wasp de nouveaux résidents de couleur.

    Mon résumé est mauvais. Il essaie de donner au sixième film de George Clooney - le premier dans lequel il ne joue pas hélas - une unité qu'il n'a pas.

    En fait "Bienvenue à Suburbicon" (audacieuse traduction de "Suburbicon") est le croisement maladroit de deux histoires qui ne se mélangent jamais vraiment.

    D'un côté, un vieux script des frères Coen qui présente tous les ingrédients de leurs meilleurs films : une satire grinçante de l'Amérique, des personnages aussi laids que lâches, un humour noir et sanglant. Soit, comme dans "Fargo" ou "Burn after reading" l'histoire d'Américains ordinaires plongés dans une histoire extraordinaire dont ils sont tout à la fois les acteurs maladroits et les victimes malchanceuses. Le sympathique Matt Damon y joue à contre-emploi le rôle d'un père de famille veule. Julianne Moore en incarne deux : celui de son épouse et celui de la sœur jumelle de celle-ci.

    De l'autre, George Clooney s'est inspiré d'un fait divers qui s'est déroulé en 1957 lorsqu'une famille de couleurs est venue s'installer à Levittown en Pennsylvanie dans une banlieue exclusivement blanche. L'ostracisme dont ils sont victimes, reconstitué avec soin, a certes un écho dans l'Amérique raciste de Donald Trump. Mais, faute de s'inscrire harmonieusement dans l'histoire de la famille Lodge, ces développements sont condamnés à rester en arrière plan d'un scénario qui fonctionne très bien sans eux.

    "Bienvenue à Suburbicon" est un jeu de massacres réjouissant, remarquablement interprété, habilement filmé... mais hélas rapidement oubliable faute d'avoir ce plus qui le rendrait réellement original.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    Très déçu, le gros problème pour moi est que le déroulement de la bande annonce laisse présager un film avec un personnage principal qui défend sa famille face à la mafia avec une légère pointe d'humour alors qu'il n'en est rien: L'histoire est sombre avec deux scénarios mélangés (le racisme américain des années 50 et Matt Damon qui trempe dans des magouilles financières).
    Pierre L.
    Pierre L.

    16 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2017
    Réelle déception. Un angle de scénario eut été possible avec l 'amérique ségrégationniste des années 50 mais IL est hélas trop brièvement utilisé..
    la présence de Mat Damon et George Clooney, promettait quelque chose d'original. mais hélas , c est long ,
    'histoire ne décolle pas . l' habillage des années 50 n est qu une façade. commerciale.
    Les seconds roles( le petit garcon , l expert en assurances le mafioso) sont trés bons mais ce sont les seuls.

    Je ne suis pas resté totalement insensible à l'histoire même si j aifailli quitter la salle.Au final, il me reste une impression assez mitigée. Frustrant
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    695 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 décembre 2021
    Ce nouveau scénario des frères Coen, réalisé par George Clooney, promettait quelque chose d'original.
    Amis de l'humour noir et du ton décalé, bienvenue à Suburbicon, une petite ville paisible américaine des années 50-60.
    Cette bourgade, paisible de façade, va rapidement basculer dans le chaos après quelques événements fâcheux.
    L'ambiance générale du film est très particulière et assez prenante. La réalisation est minutieuse, un peu à la façon du maître Alfred Hitchcock.
    Je ne suis pas resté totalement insensible à l'histoire même si au final, il me reste une impression assez mitigée.
    Moyen.
    --> Site CINEMADOURG
    1ou2mo
    1ou2mo

    7 abonnés 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 février 2018
    Cela aurait pu être mieux traité, c'est le sentiment mitigé que l'on ressent en sortant de salle. Film noir, grinçant? Gore ? Ce démarrage , certes lent, aurait dû captiver davantage le spectateur. Il est à penser en fin de compte que cette musique mal agencée a desservi l'intrigue. Pour mieux appréhender l'histoire il faut se dire que l'on va avoir affaire à un reflet de la société provinciale américaine. Toute une ville se focalisant sur une famille dans un contexte de ségrégation ce, avec un aveuglement terrible au point de laisser se dérouler sous sa barbe des horreurs (finement distillées par des scénaristes experts en la matière). Peut-être un manque de punch de la part du réalisateur ?
    crachou94
    crachou94

    22 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2017
    On retrouve l'atmosphère de la série Fargo et la patte des frères coen.
    De bons acteurs, surtout Noah Jupe, petit garçon pris dans deux tourmentes, la folie raciste de la communauté blanche et l'engrenage meurtrier causé par son père.
    Mais on n'y croit pas, des ficelles trop grosses et beaucoup d'invraisemblances.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    Bienvenue à Suburbicon raconte l’histoire d’une famille paisible dans une petite ville idyllique des Etats-Unis dans les années soixante. Mais l’apparente paix qui règne dans la ville renferme quelque chose de beaucoup plus sombre.
    Le film est réalisé par George Clooney et est scénarisé par les frères Cohen et ça se sent. Le Film ne m’a pas foncièrement déplu, mais il y a certains points sur lesquels je suis très réservé.
    Tout d’abord, la mise en place de l’intrigue est assez lente et j’ai été surpris de m’ennuyer même lors de scènes où elle évoluait. spoiler: La scène ou la mère de la famille est tuée est très lente et n’est pas spécialement pesante (elle est même un peu grotesque par moment tant elle est inutilement longue).

    Mais le plus gros problème que j’ai avec ce film concerne le ton de ce dernier. L’intrigue est très sombre et glauque, et cela marche si le ton du film est soit très sérieux pour en faire un film bouleversant, soit très burlesque pour en faire un film totalement loufoque et humoristique. Dans ce film, on est entre les deux ce qui est dérangeant selon moi (doit-on rire de ce qui se passe devant nos yeux, ou en pleurer ?). Je pense que le film avait pour vocation d’être plus fun que bouleversant, mais au final il n’y a que très peu d’humour (d’autant que les scènes d’humour sont souvent trop appuyées dans la longueur ce qui est amusant au début, mais qui devient très vite énervant).
    Les personnages ne sont pas attachants non plus spoiler: (en grande partie parce que ce sont presque tous des ordures dans ce film)
    , et cela fait que nous n’avons ni sympathie, ni peur pour eux. Du coup, je trouve qu’il est assez difficile de ressentir quoi que ce soit devant ce film. spoiler: Même lorsque la famille de couleur est attaquée pendant la nuit, je n’ai pas réussi à ressentir de la peur pour eux, étant donné leur faible temps à l’écran et leur manque de profondeur (D’ailleurs, leur couleur de peau est leur seul et unique développement).

    Mais le film est cependant très bien réalisé et transcrit à merveille la fermeture d’esprit des habitants de cette ville par des plans sombre et très refermés sur les personnages pendant tout le film. spoiler: D’ailleurs, le dernier plan du film est très lourd de sens étant donné que c’est le seul plan qui respire un peu, et qu’il intervient lorsque les deux jeunes garçons jouent au baseball, montrant l’ouverture d’esprit du petit garçon contrairement aux autres habitants de la ville.
    La réalisation rend de plus parfaitement hommage aux films des années soixante puisque cette dernière est très « plan plan ». La musique également retranscrit bien l’ambiance que nous pouvions avoir pendant ces films, notamment pendant les scènes d’agression.
    Les différents acteurs s’en sortent de plus à merveille spoiler: (d’autant qu’ils doivent jongler entre la vrai nature de leur personnage, et l’aspect qu’ils montrent aux autres habitants de la ville)
    .
    Pour conclure, je dirais que le film n’est pas mauvais mais qu’il n’est pas bon non plus. Rien n’est vraiment honteux, mais rien n’est vraiment excellent non plus. C’est un film très plat et très oubliable en grande partie à cause du manque d’émotion qu’il suscite.
    selenie
    selenie

    5 515 abonnés 6 034 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    S'il s'agit d'une histoire policière, une comédie grinçante à humour noir, en arrière-plan il s'agit d'un contexte ségrégationniste. Mais toute cette partie "ségrégationniste" reste très superficiellement traitée et finalement devient un peu superflue. En effet, l'intrigue reste focalisée sur la famille blanche dont le patriarche joué par Matt Damon perd un peu pied à l'insu de son plein gré. Clooney n'étant pas Coen, la grande différence c'est que Clooney appuie un peu moins le décalage noirceur-humour, avec un petit soucis de rythme, un peu trop monocorde sur la durée. Un bon moment à défaut d'être un film majeur.
    Site : Selenie
    benoitG80
    benoitG80

    3 326 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    « Bienvenue à Suburbicon » est une fable amère et macabre, totalement folle et décalée, assumée comme telle par un George Clooney épatant !
    C’est en effet tout simplement excellent d’avoir su trouver ce ton faussement tranquille au départ pour nous embarquer dans un tourbillon de folie familial en presque huis-clos, alors qu’en toile de fond et à deux pas de là, le racisme bat son plein !
    C’est un cinéma qui sent la patte des frères Coen et pour cause (!), et dont le cynisme, doublé d’une escalade dans l’horreur nous est servi dans un contexte qui en apparence est en total décalage...
    Un véritable pied de nez à l’American Way of Life, dont cette satire se moque à travers une sombre et caustique affaire qui va prendre une ampleur incroyable !
    De plus, le spectateur est bien loin de pouvoir prévoir les rebondissements tant tout part dans tous les sens, ou « à vau l’eau » comme dirait notre Matt Damon dépité, complètement inattendu et à contre-emploi ici !
    Julianne Moore, assez écervelée (dixit son propre frère !) et franchement hilarante, en nous offrant un numéro tout sourire, et pas trop futée comme jamais.
    Certaines scènes où le petit Nicky/Noah Jupe est pris au piège, sont stupéfiantes et nous renvoient au film « la Nuit du Chasseur », alors que son jeu vaut vraiment le détour dans ce sac de nœuds peu commun dont il fait les frais !
    Tout est dans ce film extrêmement bien fichu afin de nous perdre dès le début en conjectures à propos de telle ou telle situation, et rétrospectivement on se met même à réfléchir aux quelques détails qui avaient tous leur sens et donc toutes leurs explications, et peut-être même plus si on cherche bien !
    La violence verbale et physique est totale, et va dans des extrémités insoupçonnables en étant mêlée à un humour noir grinçant à souhait !
    Si on y ajoute des seconds rôles aux petits oignons plutôt originaux, qui se télescopent et interviennent sans s’y attendre, on est comblé !
    Alors que tous ces acteurs sont filmés soit en très gros plan, ou sous des angles surprenants et plutôt nouveaux, ce qui leur donnent le plus souvent une dimension angoissante à la présence étonnante...
    L’esthétique de ce film en est alors encore plus remarquable, parmi une Amérique des années 50 reconstituée avec finesse, tout cela pour un plaisir des yeux évident !
    Franchement bravo pour cette réalisation haut la main, qui pourra sans doute déplaire à certains, mais dont la presse fait la fine bouche sans comprendre vraiment tant ce film est pétri de qualités à tous niveaux...
    À découvrir évidemment !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 décembre 2017
    Belle réalisation, bon casting, mais film sans intérêt pas d’histoire. C’est plat. Ça ne vaut pas certaine bonne série sur Netflix sur le même thème...
    tyler77durden
    tyler77durden

    83 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2017
    Le retour de Clooney à la réalisation se fait sous la plume des frères Coen (scénaristes et qui devaient réaliser le film il y a longtemps) et on peut dire qu'on sent l'ombre des frangins planer tout au long du film. "Suburbicon" est une fable qui slalome entre comédie noire et satire politique de manière (relativement) habile. La première demie-heure est un peu chaotique car le film tâtonne pour trouver son genre et son rythme, mais quand le film trouve alors la bonne cadence, il déroule un cinéma bien mené qui convoque tour à tour le suspens d'un Hitchcock ou le côté décalé d'un Jeunet.
    La partie politique (et l'allégorie à la politique Trump) manque parfois de subtilité mais offre un background solide et une portée insoupçonné au film. On pense ici à "Edward au mains d'argent" qui avait déjà montré du doigts les "ghettos blancs" de la middle classe US et leur rejet de la différence.
    Au final, le film est une réussite, surtout les parties où il se concentre sur le fils, en montrant l'innocence de l'enfance face au monde vicié des adultes.
    Déconcertant.
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