Les Amours d'Astrée et de Céladon : Critique presse
Les Amours d'Astrée et de Céladon
Note moyenne
4,0
21 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Obs
Le Figaro
Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
Positif
Télérama
Elle
L'Express
L'Humanité
Le Monde
Libération
MCinéma.com
Ouest France
TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
Paris Match
Première
Télérama
Le Parisien
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Arnaud Macé
Le film auquel nous avons affaire est une aurore, et nous n'avons pas fini de sonder la profondeur qui a rendu possible une telle liberté.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Devant ces amours, on est à la fois en terrain connu (...) et dans le champ d'à côté, comme si Rohmer, loin de l'oeuvre ultime et testamentaire que le mauvais réflexe critique attend des cinéastes vieillissants, tentait de nouvelles combinaisons, injectait de l'altérité et évitant ainsi de s'encroûter.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) les nouvelles de celui que Chabrol n'a jamais appelé autrement que "Grand Momo" sont bonnes. Excellentes même ! Le terme de gauloiserie convient en effet assez bien à son nouveau film (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
(...) un film éblouissant de grâce et de fraîcheur, de sensualité joueuse et d'élégance morale (...) Rohmer nous offre un petit miracle de beauté intemporelle mais pleine d'humour et de joie de vivre.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
(...) ce film, le plus joyeux de son auteur depuis longtemps (...), d'une fraîcheur et d'une euphorie insensées, pourrait presque être le premier film du monde tant il manifeste d'un bonheur presqu'enfantin (...) à penser et agencer des plans.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
(...) l'une des plus belles réussites de son auteur (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Louis Guichard
POUR : Il faut remonter à La Collectionneuse (1967) pour trouver chez Rohmer un tel rayonnement du corps. Et c'est la première fois dans son oeuvre que la sensualité déborde à ce point le verbe et la volonté, selon un crescendo épidermique qui dit à la fois le triomphe des sentiments et leur défaite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Elle
par Florence Ben Sadoun
Etes-vous prêtes à entrer dans un conte de fées magiquement mis en image par le maître conteur du cinéma français ? (...) des tableaux à part entière qu'on regarde (...) avec délectation, pour ce moment poétique hors du monde.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Emile Breton
Ce projet, Rohmer l'a fait sien, dans le plus strict respect de l'oeuvre d'Honoré d'Urfé, se contentant d'éliminer les récits adjacents pour s'en tenir à l'intrigue principale.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Une jubilation communicative qui induit, chez le spectateur, un délicieux vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Olivier Seguret
Le réalisateur adapte le roman pastoral d'Honoré d'Urfé et signe un film d'amour exceptionnel, au suspense haletant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
ça marche ! (...) une charmante ode bucolique (...) un conte délicieusement décalé.
Ouest France
par La rédaction
Oui, on est bien chez Eric Rohmer. Et pour peu que l'on accepte les conventions formelles et artistiques de sa manière, le bonheur est là, à se laisser bercer par une langue élégante et raffinée que tonifient le jeu éthéré et candide des protagonistes et le phrasé châtié de leur parler sophistiqué.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Gueran
Cette escapade buissonnière séduit par sa fraîcheur et la grâce de ses interprètes peu ou pas connus. Quant à la langue, passé l'effet de surprise, on succombe à son charme en se laissant porter vers des rivages insoupçonnés.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Entre poésie, théâtre et cinéma, Rohmer se balade et impose un archaïsme bucolique d'un modernisme étonnant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Paris Match
par Christine Haas
Toujours vert, libre et spirituel dans les deux sens du terme, il signe une ode à la vie très en marge du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Olivier De Bruyn
Sale temps pour les ex-héros de l'insolente Nouvelle Vague.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Ferenczi
CONTRE : Comme tous les vieux profs de lettres classiques, Eric Rohmer a des marottes : celle, par exemple, de réunir chaque année les plus jolis élèves d'hypokhâgne pour une représentation dans le préau, immortalisée sur film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
par Marie Sauvion
Si Lagarde et Michard figurent parmi vos auteurs favoris, vous avez une chance de vous sentir concerné. Dans le cas contraire, cette oeuvre précieuse et bavarde, à l'interprétation incertaine risque de vous soûler jusqu'à ce qu'ennui s'ensuive.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
Le film auquel nous avons affaire est une aurore, et nous n'avons pas fini de sonder la profondeur qui a rendu possible une telle liberté.
Chronic'art.com
Devant ces amours, on est à la fois en terrain connu (...) et dans le champ d'à côté, comme si Rohmer, loin de l'oeuvre ultime et testamentaire que le mauvais réflexe critique attend des cinéastes vieillissants, tentait de nouvelles combinaisons, injectait de l'altérité et évitant ainsi de s'encroûter.
L'Obs
(...) les nouvelles de celui que Chabrol n'a jamais appelé autrement que "Grand Momo" sont bonnes. Excellentes même ! Le terme de gauloiserie convient en effet assez bien à son nouveau film (...)
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) un film éblouissant de grâce et de fraîcheur, de sensualité joueuse et d'élégance morale (...) Rohmer nous offre un petit miracle de beauté intemporelle mais pleine d'humour et de joie de vivre.
Les Inrockuptibles
(...) ce film, le plus joyeux de son auteur depuis longtemps (...), d'une fraîcheur et d'une euphorie insensées, pourrait presque être le premier film du monde tant il manifeste d'un bonheur presqu'enfantin (...) à penser et agencer des plans.
Positif
(...) l'une des plus belles réussites de son auteur (...)
Télérama
POUR : Il faut remonter à La Collectionneuse (1967) pour trouver chez Rohmer un tel rayonnement du corps. Et c'est la première fois dans son oeuvre que la sensualité déborde à ce point le verbe et la volonté, selon un crescendo épidermique qui dit à la fois le triomphe des sentiments et leur défaite.
Elle
Etes-vous prêtes à entrer dans un conte de fées magiquement mis en image par le maître conteur du cinéma français ? (...) des tableaux à part entière qu'on regarde (...) avec délectation, pour ce moment poétique hors du monde.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ce projet, Rohmer l'a fait sien, dans le plus strict respect de l'oeuvre d'Honoré d'Urfé, se contentant d'éliminer les récits adjacents pour s'en tenir à l'intrigue principale.
Le Monde
Une jubilation communicative qui induit, chez le spectateur, un délicieux vertige.
Libération
Le réalisateur adapte le roman pastoral d'Honoré d'Urfé et signe un film d'amour exceptionnel, au suspense haletant.
MCinéma.com
ça marche ! (...) une charmante ode bucolique (...) un conte délicieusement décalé.
Ouest France
Oui, on est bien chez Eric Rohmer. Et pour peu que l'on accepte les conventions formelles et artistiques de sa manière, le bonheur est là, à se laisser bercer par une langue élégante et raffinée que tonifient le jeu éthéré et candide des protagonistes et le phrasé châtié de leur parler sophistiqué.
TéléCinéObs
Cette escapade buissonnière séduit par sa fraîcheur et la grâce de ses interprètes peu ou pas connus. Quant à la langue, passé l'effet de surprise, on succombe à son charme en se laissant porter vers des rivages insoupçonnés.
aVoir-aLire.com
Entre poésie, théâtre et cinéma, Rohmer se balade et impose un archaïsme bucolique d'un modernisme étonnant.
Paris Match
Toujours vert, libre et spirituel dans les deux sens du terme, il signe une ode à la vie très en marge du cinéma contemporain.
Première
Sale temps pour les ex-héros de l'insolente Nouvelle Vague.
Télérama
CONTRE : Comme tous les vieux profs de lettres classiques, Eric Rohmer a des marottes : celle, par exemple, de réunir chaque année les plus jolis élèves d'hypokhâgne pour une représentation dans le préau, immortalisée sur film.
Le Parisien
Si Lagarde et Michard figurent parmi vos auteurs favoris, vous avez une chance de vous sentir concerné. Dans le cas contraire, cette oeuvre précieuse et bavarde, à l'interprétation incertaine risque de vous soûler jusqu'à ce qu'ennui s'ensuive.