meme en adorant dupontel, une fois le postulat de depart posé , le film devient atrocement triste casi pathetique, trop de drame tue le drame non? ici on en fait des tonnes et les violons par leur trop grand nombre sont dissonants , l histoire est emouvante sur le papier mais a l ecran c est incontestablement trop triste
J'aurais pls défini ce film comme une comédie dramatique. Dupontel rentre dans un rôle dans lequel on est moins habitué à le voire avec beaucoup de talent. Un personnage fort rendant le film très immersif et un final très réussi.
La surprise de l'année. Deux jours a tuer m'a complètement scotché. Dupontel est merveilleux dans son personnage, l'histoire est belle. C'est la première foie pour moi que le film dépasse le livre dont il est tiré. 2motion garantie, superbe.
Un rôle dramatique superbe pour Dupontel qui prouve ses talents de grand comédien. Ce film est certainement le meilleur de Becker et un des meilleurs rôles de Dupontel. Je l'ai revu aussitôt une deuxième fois car, une fois l'intrigue connue, on ne le voit pas de la même manière, on le déguste. Du grand cinéma, touchant et émouvant.
Magnifique....sensible également par les musiques qui accompagnent les images.J'ai adoré......Un film est réussi lorsqu'il vous procure des émotions,eh bien j'en ai eu...superbe film à voir.
Jean Becker frôle la perfection avec cet énième film sur M.Untel. Sincère et émouvant, le scénario évite avec brio le patho du sujet. La mise en scène est irréprochable, surtout pour la scène du dîner. Et autant je n'aime pas Dupontel et ses interventions dans les médias, autant il faut reconnaître que c'est un grand acteur et que c'est sûrement son meilleur rôle jusqu'à présent.
un film certes desservi par sa faim mais le début et la montée en puissance de dupontel est tout simplement exceptionnel il est odieux et on en redemande
Très beau film. Dupontel est étonnant, bien meilleur que dans ses rôles "comiques". La photographie et les paysages irlandais sont superbes. Le film commence par le héros crachant ses quatre vérités, son mal-être bourgeois à son entourage bourgeois. C'est un peu du déjà-vu mais c'est bien joué. Je trouve assez malsain que certains considèrent cette scène comme la plus "jouissive" du fim. Certes l'hypocrisie de l'humanitaire bourgeois et des proverbes nantis ("L'argent ne fait pas le bonheur") est désespérante, mais ce plaisir dénote l'ultra-individualisme, le fantasme de la "vie à fond" et l'oubli que la compromission est l'essence même de la vie en communauté, quoi qu'on en dise. La fin du fil est plus originale et plus profonde, le ton est grave mais la mise en scène estompe le pathos du scénario. Une grande leçon de mise en scène.