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    OSS 117 : Rio ne répond plus
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    Fabien S.
    Fabien S.

    466 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    Une très suite très marrante du premier volet d'OSS 117 avec Jean Dujardin, Louise Monot et Alex Lutz .
    hpjvswzm5
    hpjvswzm5

    38 abonnés 459 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2014
    Peut-être que c’est moi, mais si j’avais trouvé le premier sympathique, je trouve ce second film carrément pas mal du tout. J’avais quelque peu de mal avec certains gimmicks du premier, qui faisait que, malgré que ça m’avais fait marrer, je trouvais qu’il manquait quelque chose pour que j’adhère vraiment. Mais avec cette suite je me suis régalé. Quel dommage qu’Hazanavicius ne reste pas dans la comédie parodique à la con et qu’il veuille s’attaquer à des sujets « sérieux », je pense qu’il est plus doué pour ça.
    La principale qualité du film c’est son écriture, ses dialogues, qui donnent lieu à des scènes justes démentes. J’aime lorsque les films se vautrent dans la connerie tout en restant suffisamment de bon goût pour ne pas tomber dans la lourdeur. Dujardin est bon dans son surjeu parce qu’il est censé être un abruti, crâneur, débile, macho et raciste, et sérieux que c’est bon. Sa répartie sur les femmes est juste tordante, et franchement vraie. Il y a des scènes vraiment jouissives, comme celle dans l’ascenseur avec les chinois, ou la poursuite dans l’hôpital, ça pourrait difficilement être plus con. Aussi, j’ai trouvé que le côté parodique fonctionnait mieux que dans le premier, on joue vraiment avec les clichés, le méchant qui révèle son plan, la névrose à la con du héros, le rôle féminin, tout ça est passé à la moulinette pour donner un résultat réjouissant. La connerie de ce type est sans limite et c’est ça qui est bon. Après à la longue on pourrait trouver ça un peu long, il y a un léger ventre mou vers la fin mais rien de bien grave, le rythme du film est suffisamment bien géré pour qu’on n’ait pas le temps de s’emmerder.
    Bon après il ne faut pas forcément le porter aux nues en tant que chef-d’œuvre, il y a quelques gags qui fonctionnent moins, mais rien que pour OSS et son pote amerloque qui rient comme des cons (euphémisme) ça vaut au moins le coup de s’y pencher. Franchement je n’ai pas boudé mon plaisir et j’ai bien ri. Alors qu’Hazanavicius arrête avec ses conneries et qu’il nous fasse une suite maintenant, histoire de faire des trucs qu’il sait faire !
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2014
    Pris séparément, OSS 117 Rio ne répond plus est sans doute aussi exaltant, donc réussi, que le précédent Le Caire nid d’espions. Pour autant, en comparaison, ce deuxième périple de l’agent secret français le plus imbattable dans l’ignorance et dans la maladresse ne possède pas l’atout si rafraîchissant de son aïeux. Alors que Jean Dujardin et Michel Hazanavicius avaient surpris tout le monde avec leur excellente collaboration, quelques années plus tôt, ici, ils sont attendus au tournant. Sans décevoir le moins du monde, oh combien non, le duo reprend les choses là où elles avaient été laissées, repartant sur les mêmes bases solides, pour envoyer cette fois-ci le dénommé Hubert, avec toute sa bêtise hilarantes, en mission au Brésil. Parti pour un simple échange, voilà notre agent embarqué dans une chasse au nazi en plein pays en développement.

    OSS 117 commet toujours les mêmes impairs, s’enorgueillis toujours de sa médiocrité, pour notre plus grand plaisir. Usant toujours aussi bien du comique de situation que du ton diablement efficace des séquences de dialogues inimitables, Michel Hazanavicius n’aura pêché ici que de vouloir en faire trop. Oui, si le scénario n’est certes pas le moteur unique d’une production telle que celle-ci, il apparaît pourtant, dans Rio ne répond plus, malgré une bonne idée de base, que les choses s’éparpillent très rapidement. A l’inverse du premier volet, qui soulevait tout de même un certain mystère devant mériter conclusion, ici le script n’est que prétexte à aligner séquences de rires et dialogues ambigus. Si, dans le fond, cela n’est pas foncièrement préjudiciable au film, dans sa globalité, un scénario un tant soit peu intéressant n’aurait pas dépareillé dans un film par ailleurs aussi drôle qu’escompter.

    Jean Dujardin, éprouvant visiblement un plaisir authentique à incarner cette quintessence du chauvinisme ignorant d’autrui, démontre une nouvelle fois son talent comique, indiscutablement son atout majeur. Chaque apparition, et elles sont nombreuses, du bonhomme amènent rire et moquerie, le tout à un rythme diablement soutenu. En gros, OSS 117 n’en manque pas une et encore une fois, il s’avère aussi constant dans la bêtise que peut l’être son modèle, James Bond, dans la stature et l’élégance. L’acteur possède non seulement la tête de l’emploi mais excelle dans toute ses démarches, toujours aux aguets pour sortir une bêtise, toujours alerte pour se rendre ridicule mais attachant. Rio ne répond plus, en ce sens, est l’égal de son grand frère, une très belle référence au genre de l’espionnage, en mode année 60, ainsi qu’une comédie délirante qui remplit honorablement son cahier des charges.

    Plus encore que dans Le Caire nid d’espions, c’est ici la différence des cultures qui amènent souvent à rire bien fort. L’homme s’attaque cette fois-ci aux israéliens et leur sens de la justice, aux allemands et à leur histoire honteuse ainsi qu’aux asiatiques, à leur culture dont le héros ne saisit rien et dont il se moque généreusement. Les barrières de la langue sont-elles-aussi mises en avant, aux travers de séquences certes grossières mais hilarantes avec un agent américain en poste à Rio. En gros, ce second volet de OSS 117 par le remarquable metteur en scène qu’est Michel Hazanavicius est une seconde réussite, certes amoindrie par quelques errements narratifs. 16/20
    Scorcm83
    Scorcm83

    89 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mai 2016
    Aussi bon, fun et décalé que le premier, avec quelques effets de montage en plus très bien sentis, ce second opus d'*Oss 117* prend maintenant place au Brésil. Au programme, dialogues aux petits oignons, Jean Dujardin toujours aussi excellent et le reste du casting parfaitement assorti. J'ai beaucoup aimé le comique de répétition concernant les maladresses politiques d'Hubert vis à vis des Juifs, Nazis et français. Parce que ce que j'adore avec Oss 117, c'est que le film se révèle beaucoup plus fin et subtil qu'il n'y parait, et lorsqu'il parle de politique, c'est bien meilleur que la plupart des comédies françaises soit disant spécialisées sur le sujet. Hazanavicius nous prouve donc qu'il ne s'agit pas d'en faire des tonnes mais de savoir doser pour faire un cocktail explosif, sans oublier l'ingrédient le plus important : le langage cinématographique.

    Bref, à voir, une suite utilise et complémentaire au premier.
    dougray
    dougray

    213 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2010
    Après un 1er épisode génial, OSS 117 revient dans un épisode un brin inférieur mais qui repousse les limites du politiquement correct. Dans le contexte actuel, faire dire au héros que les Juifs sont reconnaissables à leur nez ou qu’il a déjà entendu parler de la théorie selon laquelle tous les Allemands n’étaient pas Nazis relève du miracle ! Car s’il y a une chose à retenir de ce film, outre le travail phénoménal de mise en scène qui épinglent les défauts de réalisation de l’époque (la façon de conduire des personnage, les coups de feu qui ne touchent jamais le héros…) et les multiples hommages (à Hitchcock, à Belmondo…), ce sont les dialogues tout simplement ahurissants (après les Arabes dans le 1er opus, c’est au tour des Chinois, des Hippies et des Juifs d’être la cible des remarques de l’espion français) qui nous offrent quelques pépites telles que l’énorme "Pourquoi ne pas rêver un jour à une réconciliation entre Juifs et Nazis ?". Quant aux gags, ils brillent par leur originalité en refusant le vulgaire facile (le crocodile qui ne cuit pas, le gag des boules de Noël, le pédalo à tête de canard, le running gag des Chinois…). Mais que serait le film sans Jean Dujardin ? A mi-chemin entre George Lazenby et Paul Newman, il éclabousse le film de son génie comique grâce à son rire improbable et son regard dépassé et réussit, une fois encore, à faire aimer un personnage aux tendances machistes et racistes. Un tour de force qui se fait un peu au détriment des autres personnages, très réussis mais peu mis en valeur (la belle Louise Monnot, Rüdiger Vogler cabotin, Pierre Bellemare excellent…). Autre défaut : quelques scènes sont un peu poussives comme la partouze ou le flash-back de l’accident de trapèze. Mais, "OSS 117" reste malgré tout ce qui se fait de mieux en comédie française depuis "La Cité de la peur" même s'il en laissera certains sur la touche...
    D. Dream
    D. Dream

    37 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    Toujours aussi bon que le premier, peut être même plus.
    On ne s'en lasse pas !
    Nico2
    Nico2

    78 abonnés 939 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 avril 2009
    Une suite encore plus réussie que le premier volet, plus insolente, plus loufoque, plus outrancière, avec un Jean Dujardin formidable encore une fois dans le rôle d'Hubert Bonnisseur de la Bath, toujours aussi stupide et réac. Là encore, le film reprend un filmage à l'ancienne, avec une grande utilisation du split-screen très en vogue dans les années 1960 depuis L'Affaire Thomas Crown de Thomas Jewison, une photo et des truquages à l'ancienne. Tous les codes du genre sont parodiés: un scénario incohérent mais on s'en moque, un décor paradisiaque, de jolies filles et des méchants nombreux à savoir des nazis et des "Chinois de Chine" (Voyez le film, vous comprendrez). Certaines répliques sont promises à devenir cultes, le film contient de nombreux clins d'oeil (Robin des Bois de Michael Curtiz, Vertigo), le film n'est pas avare de situations comiques dont une scène de poursuite dans un hôpital promise à devenir une référence. Enfin, il y a OSS 117, plus odieux mysogine et raciste chaque jour avec cette fois une nouvelle facette: l'antisémitisme. Le film va très loin dans la crudité de ses dialogues pour mieux dénoncer la bêtise et l'arrogance d'un certain état d'esprit français que l'on peut espérer disparu. Les seconds rôles sont très bons et surjouent pour notre plus grand plaisir, Pierre Bellemarre succède au regretté Claude Brosset comme chef des services secrets et livre une bonne prestation, même si la filiation avec les films de Belmondo personnifiée par Brosset disparaît. Louise Monot, par contre, est peu crédible, elle peine à exister face à Jean Dujardin et lui manque de répondant, contrairement à Bérénice Bejo dans le précédent opus, et sa manière trop sérieuse d'appréhender le rôle la pose trop en décalage avec le reste de l'ensemble. A part cela, embarquez sans hésiter pour cette nouvelle mission avec OSS 117 Rio ne répond plus: "si vous aimez la danse et les Chinois, vous allez être servis".
    Flōrens PAB
    Flōrens PAB

    76 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2020
    Une suite plus burlesque, donc meilleure que le premier opus pour moi. La mise en scène et les trucages "a l'ancienne" sont toujours aussi réussis, et même l'histoire est mieux écrite, plus stimulante. Hubert Bonisseur de La Bath (Jean Dujardin) est toujours aussi... français, donc forcément tous le monde en prend pour son grade a cause de sa vision étriquée du monde moderne. Le charme a la française.
    Kalie
    Kalie

    53 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2012
    Ce OSS 117 est plus riche en action que le précédent. On retrouve un Hubert Bonisseur de La Bath avec toujours un métro de retard sur son époque. Raciste, misogyne et tout simplement bête, il fait rire ou exaspère, c’est selon. En tout cas, ses défauts sont le prétexte à des scènes marrantes/choquantes (la rencontre avec sa coéquipière, sa position sur l’Holocauste et son avis sur le mouvement hippie...). Avec ses jolies filles, ses méchants nazis, ses déguisements, le film est un hommage à un certain cinéma. L’utilisation du split screen, technique cinématographique à la mode dans les années 60, renforce le côté rétro du film. Les seconds rôles complètent efficacement le tableau (notamment Ken Samuels en espion de la CIA). Tout est réuni pour un divertissement de qualité.
    Louis Morel
    Louis Morel

    37 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 juin 2013
    Si le film débute très bien avec une ouverture burlesque hilarante, il se ralentie malheureusement et la durée entre les gags s'étire, jusqu'à détruire totalement le rythme de cette décevante comédie.
    Prymo
    Prymo

    53 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2009
    Après le Caire nid d'espion, Jean Dujardin réendosse son rôle de parfait crétin en agent secret et cela ... pour notre plus grand plaisir ! Plus grave, plus nul, plus con que le premier opus, Rio ne répond plus remplit très bien son contrat et fait même plus : son humour décalé ne nous lasse pas. Jean Dujardin est simplement irrésistible et son rôle lui va comme un gant. Raciste, homosexuel refoulé, bête et narcissique, son personnage nous fait rire par ses blagues pas drôles, ses vannes qui font pitié, et son sourire qui trahit sa niaiserie. Louise Monot, quant à elle,joue bien son rôle avec ses hilarantes mimiques, des répliques savoureuses, recherchées, qui font toujours mouches mais à long ou moyen terme, ça pourra en rebuter certains. Un petit bijou burlesque donc, qui met en scène un Dujardin super ringard et qu'on adore. On rit, c'est intelligent, les paysages sont splendides ... Que demander de plus ? Un autre volet pardi !Une des meilleures comédies françaises depuis bien longtemps!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 février 2012
    Je ne me rappelle plus pour quelle raison j'ai regardé ce deuxème opus de la série "Hazanaviciusienne" des OSS 117. Du moins,dans mes souvenirs, le film m'avait plutôt enchanté par son aspect pastiche du film d'espionnage. Disons que de Dujardin, outre son rôle dans "Le bruit des glaçons" de Bertrand Blier ou encore de George Valentin dans le très récent (et à présent surmédiatisé) "The Artist" ou son jeu d'acteur était très bon, le restant de ses films comiques sont mauvais si ce n'est nul à ch***! Souvenirs d'un "Brice de Nice" ou d'un "Lucky Luke" qui furent à la base de nombreux cauchemards. Pour "OSS 117", c'est l'inverse. Revu récemment, l'humour fonctionne parfaitement et même si le film reste très léger, il accompli sa première tâche, celle de divertir. Je mentionnais le cas de "The Artist" ou j'ai regrété l'aspect pastiche du long-métrage qui dénaturait l'authenticité du film muet, même si ce fut un choix assumé, notamment lors de la partie drame du récit. Or, pour ce "Rio ne répond plus", le monde foutraque et sans limites d'Hubert Bonisseur de la Bath le permet car totalement émancipé de tout arc dramatique.
    Sans être non plus un chef d'oeuvre, Hazanavicius séduit, son film renvoyant directement aux films d'André Hunebelle comme les "Fantomas" ou même, sa première série du célébère agent secret français! Plus que l'avalanche de boutades qui opèrent du début à la fin, c'est cet aspect "vintage" qui fait tout le charme de la production, reflet d'une époque révolue des films français d'aventure qui savaient charmer le public par leurs histoires pourtant simples mais ô combien divertissantes.
    "OSS 117: Rio ne répond plus" reste un sympathique pastiche, sans jamais voler vers des idées de génie, mais qui a au moins le mérite de renouer avec ces productions françaises des années 60-70.
    Hommage au film muet avec "The Artist", au film d'espionnage et d'aventures teintés de comédie avec les "OSS 117"... Qui a dit que Michel Hazanavicius était un réalisateur nostalgique?
    Der Metzgermeister
    Der Metzgermeister

    32 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 juillet 2014
    Une suite qui assure. On reprend les mêmes éléments que le premier mais c'est plus varier en réalité. L'histoire se déroulant à Rio, OSS 117 ( Hubert ) se doit de coopérer avec le Mossad pour retrouver une liste de collaborateurs durant la Seconde Guerre. L'histoire me plaît déjà. On sait que la maladresse de l'espion français fera ( une nouvelle fois ) des ravages. Le meeting entre les dirigeants du renseignement d’Israël est hilarant. " Le nez... La bouche... " Le regard suspicieux qu'on lui lance ne fait que renforcer notre attachement à ce film. Hazanavicius ose tout, mais pas en mal. Il y aurait pu y avoir une polémique autour de ce film mais non. Cette comédie fait rire et ne cherche seulement qu'à faire rire. Plusieurs scènes demeurent mémorables : La plus culte me semble être celle où Hubert retrouve son vieux pote Bill, et du trajet qui s'ensuit juste après... Que dire ? Qu'est ce qui est le plus poilant ? La série d'insultes ? Le rire niais d'OSS 117 ? Ou encore le fameux " Kiss my ass " et la réponse qui vient ? Si vous ne rigolez pas à cette scène, il y en a forcément une qui vous plaira. C'est sans doute ça la force de cette suite : Jamais l'absurde ne s'estompe. Tout est encore parodié à merveille : Les combats, les phrases cucu, les femmes des 60's, les Nazis... On ne s'en lassera sans doute jamais. Le potentiel de cette suite est inouïe, on aurait pu craindre une suite des plus décevantes, qui ne trouverait pas les ressources suffisantes, mais que nenni, le film assure et conquis.
    svtlben
    svtlben

    21 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2009
    autant que j'ai adoré le premier oss 117, celui - là ne m'a pas fait rire du tout. Jean DUJARDIN est toujours séduisant et bien dans son rôle,mais il manque une peu de suspens dans le scénrio
    CarpeDyem
    CarpeDyem

    14 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2015
    La suite des aventures de notre espion franchouillard préféré est un régal. Plus drôle, plus osée, plus politiquement incorrecte. Douze ans après sa mission en Egypte, revoici OSS 117 sous le soleil brésilien à la poursuite d'un ancien dirigeant nazi et de microfilms compromettants. Du fin fond de la savane amazonienne aux favelas de Rio, Hubert Bonisseur de la Bath et sa OSS girl jouée par la délicieuse Louise Monot vont déjouer tous les plans fomentés aussi bien par les nazis que les chinois ou les américains ...
    Les dialogues sont toujours d'une incroyable finesse et les répliques d'OSS 117 déjà mythiques ("Habile Bill"), le tout sous la magnifique orchestration de Michel Hazanavicius et de sa réalisation old school qui fonctionne à merveille.
    Dans l'attente du troisième opus, la saga des OSS 117 apparaît comme la plus belle réussite du XXIème siècle en matière de comédie. C'est dit !
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